Automédication contre la COVID-19 / self-medication

Pandémie COVID-19 – en sortir ! 

// Note du 1.12.2020

Comment devient-on malade ? 

C’est contaminé par la production d’aérosols, de gouttelettes et de gouttes (contenant du virus SARS-COV-2) d’une personne malade, et qui elle-même ne le sait pas toujours; la zone décrite en rouge (surtout la bouche et les fosses nasales) les produit. C’est le mécanisme principal connu de transmission du virus: par la respiration, par la parole, par la toux, par le chant, par tous les instruments à vent (hélas pour les artistes).

 Source:   RTS TV émission 36°9 du 25.11.2020 

Les cellules tapissant cette zone du nez sont envahies en premier par des virus de SARS-COV-2, qui s’y cachent pour se reproduire: il en sort entre 100 et 1000 virus nouveaux par cellule, la durée d’incubation étant observée de 2 à 5 jours, débutant plusieurs jours avant les premiers symptômes.

Source des chiffres:  Cours de virologie générale Université Paris Descartes (V)

Et y a-t-il moyen de se défendre ?

Il est évident qu’un désinfectant chimique pourra agir sur les virus arrivant par la respiration, si le produit désinfectant a été administré régulièrement dans le nez et les fosses nasales par un spray, dans la bouche par un gargarisme: il est donc possible de faire ainsi de la prévention.

Les virus ayant émergé des cellules, contenus dans les sécrétions, seront inactivés si l’on parvient par spray ou gargarisme à les amener au contact du produit: il existe donc un traitement ! Mais il faut se souvenir que tous les virus cachés dans des cellules  du patient échappent au désinfectant et qu’en utilisant un spray, on affaiblit l’infection, à la manière dont on combat un abcès, mais qu’il faut encore compter sur le système immunitaire pour finir le travail. L’important dans l’opération, c’est surtout de barrer la route à l’émission des virus vecteurs de contagion: un effet probable, pas une guérison! Mais on se trouve à la pointe du combat contre la pandémie, tarissant tant que possible la source suivante de virus …

Calendrier du patient au début de la maladie COVID-19:   

Source: INSERM – LA SCIENCE POUR LA SANTÉ / Coronavirus et Covid-19

Dans l’idéal, il faut commencer le traitement chimique du nez et de la gorge dès qu’on soupçonne avoir été contaminé (J-…); en tout cas il faut persévérer avec les sprays et les gargarismes tant qu’il y a contagiosité – tant qu’il y a des symptômes et au moins une semaine après. 

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Schéma du mécanisme de contamination – sur la figure, le patient est déjà très atteint. Au début de la contamination: il y a le nez, les fosses nasales et la région de la gorge qui commencent à être contaminés: c’est juste le moment d’utiliser à la maison les désinfectants disponibles, pour anéantir le virus arrivant et après les premières multiplications: utiliser assidûment sprays et gargarismes.

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Diagramm des Kontaminationsmechanismus – in der Abbildung ist der Patient bereits schwer krank. Zu Beginn von COVID-19 sind Nase, Nasenhöhle und Rachen kontaminiert  (Luftröhre und Lunge sind noch nicht schwer betroffen): jetzt ist es der richtige Zeitpunkt, um die verfügbaren Desinfektionsmittel zu Hause zu verwenden, das ankommende Virus und nach den ersten Reproduktionen zu zerstören: verwenden Sie fleißig Sprays und Gurgeln.

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Diagram of the mechanism of contamination – in the figure the patient is already severely affected. At the beginning of the contamination: there is the nose, the nasal cavities and the throat area which begin to be contaminated: it is just the moment to use at home the disinfectants available, to destroy the virus arriving and after the first multiplications : assiduously use sprays and gargles.

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// Fin de note du 1.12.2020

// Note du 11.11.2020

Résumé de médicaments utilisables immédiatement à la maison contre le virus SARS-COV-2 . Plus loin dans l’article, on trouve les références de littérature universitaire documentant ces informations: je ne suis pas seul à avoir l’idée qu’on peut se soigner efficacement contre la COVID-19 !

  1. La préparation de solution physiologique avec 1% de Baby Shampoo est utilisable comme spray nasal et comme gargarisme. Il faut deux minutes au moins au produit pour détruire le virus.
  2. Pour ceux qui ne sont pas allergiques à l’iode: Bétadine gargarisme concentré en vente sans ordonnance. Il faut au moins 15 secondes au produit pour détruire le virus.
  3. Dans les pharmacies, on peut acheter en Suisse 50 produits contenant du Chlorure de benzalkonium, dont 60% environ sont des sprays nasals, un ou deux en vente libre. Ce produit aussi est désactivant énergique du SARS-COV-2.

 

 

 

 

 

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Summary of drugs that can be used immediately at home against the SARS-COV-2 virus of COVID-19. Further in the article, we find references from the academic literature documenting this information: I am not alone in having the idea that we can cure ourselves !

  1. The preparation of physiological solution with 1% Baby Shampoo can be used as a nasal spray and as a gargle. It takes at least two minutes for the product to destroy the virus.
  2. For those who are not allergic to iodine: Betadine Gargle concentrate, for sale without prescription.  It takes at least 15 seconds for the product to destroy the virus.
  3. In pharmacies, you can buy 50 products in Switzerland containing Benzalkonium Chloride, about 60% of which are nasal sprays, one or two over the counter. This product too is a strong deactivator of SARS-COV-2.

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Zusammenfassung der Medikamente, die sofort zu Hause gegen das SARS-COV-2-Virus von COVID-19 angewendet werden können. Weiter im Artikel finden wir Referenzen aus der akademischen Literatur, die diese Informationen dokumentieren: ich bin nicht allein mit der Idee, dass wir uns selbst behandeln können !

  1. Die Arzneimittelzubereitung einer physiologischen Lösung mit 1% Baby-Shampoo kann als Nasenspray und als Gurgeln verwendet werden. Es dauert mindestens zwei Minuten, bis das Produkt den Virus zerstört hat.
  2. Für diejenigen, die nicht gegen Jod allergisch sind: Betadine Gargle Concentrate. Over-the-Counter, ohne Rezept.  Es dauert mindestens 15 Sekunden, bis das Produkt den Virus zerstört hat.
  3. In Apotheken können Sie in der Schweiz 50 Produkte kaufen, die Benzalkoniumchlorid enthalten, von denen etwa 60% Nasensprays sind, ein oder zwei rezeptfrei. Auch dieses Produkt ist ein starker Deaktivator von SARS-COV-2.

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Ingrédients pour le médicament (1):

 

 

 

 

 

Verser 2 Monodoses Triofan (2 x 5 ml de solution physiologique stérile)   +  3 gouttes de détergents tueurs de virus Johnson’s Baby Shampoo dans un flacon de spray nasal; administrer 3 giclées dans chaque narine. Le but de ce traitement est de diminuer votre contagion en SARS-COV-2 envers votre entourage et de diminuer la contamination pour vous-même, en inactivant les grandes quantités de virus présentes dans vos sécrétions du nez. C’est en faisant avec assiduité des misères au virus qu’on diminue son action sur le patient, et qu’on fera peu à peu diminuer la pandémie.

// Fin de note du 11.11.2020, rév. 29.11.2020 

// Note du 14.11.2020

La chance n’a qu’un cheveu … Chez les Romains, la chance était une femme, avec une seule tresse très mince qu’il fallait saisir à son passage. En ce qui concerne la pandémie COVID-19, la chance se présente parfois sous forme de remèdes très simples.

§ Il arrive que des gens offensent le destin, en méprisant ouvertement leur chance quand elle se présente: ceux qui refusent de se soigner … Avant d’avoir travaillé à la recherche de produits chimiques capables de tuer le virus SARS-COV-2, je ne l’aurais pas cru: que tout un peuple, à commencer par quelques proches, refuserait de les employer – malgré la situation catastrophique où il se trouve – et c’est pourtant ce qui se passe !!!

§ Il y a ceux qui refusent d’en parler: les Autorités, les spécialistes (médecins, pharmaciens) et la Presse (cela comprend les TV et les radios); ils parlent dans tous leurs communiqués, reportages et articles de la COVID-19: pas un mot sur les moyens de la traiter, peut-être de la vaincre – très loin de la mentalité du pilote sauvant son avion en perdition. Incompétence, manque d’imagination, négligences, manque de diligence, dérobades devant les responsabilités: la grande honte !!! Comment expliquer ce déroulement pervers d’événements qu’on pourrait éviter ou au moins dont on pourrait amortir la dureté ? Une vraie malédiction ! 

Lecteurs, vous avez le droit d’être intelligents: ne faites pas comme eux; soignez-vous, parlez-en à votre entourage ! 

// Fin de note du 14.11.2020, rév. 18.11.2020

// Note du 9.11.2020

Dans un échange de courriels avec une pharmacie de la région, où j’évoquais les résultats de mes recherches, le pharmacien en charge, le responsable, m’a répondu: ” Après lecture, je constate que le traitement proposé ne rentre actuellement pas dans les guidelines suisses.  Par conséquent il est difficile de me prononcer à ce sujet.” Il s’agissait entre autres de Bétadine gargarisme concentré, que j’avais acheté dans une pharmacie concurrente, et de Baby Shampoo Johnson’s. Donc apprenant qu’un des produits vendu dans son magasin est un désinfectant de la gorge ou du nez, actif contre le SARS-COV-2, l’apothicaire n’allait pas faire un peu de pub à ses client(e)s sur cette intéressante propriété, ne ferait RIEN contre le SARS-COV-2. Ce n’est pas éthique du tout – c’est banalement immoral !

La raison invoquée: l’Office fédéral de la Santé Publique (OFSP) n’en a pas parlé, dans le texte (de lien):  Coronavirus: maladie, symptômes, traitement  on trouve, citation: “… Traitement / La maladie causée par le nouveau coronavirus ne peut pas être traitée avec des antibiotiques. En effet, ces derniers n’agissent pas contre les virus, mais seulement contre les bactéries.” … et c’est tout :=(( !  Et c’est pourquoi toutes les pharmacies du pays, suivant docilement ces “guidelines” ayant omis de parler – l’OFSP ayant en fait retenu à Berne les informations cruciales sur des remèdes simples – ne conseillent RIEN à leurs clients pour combattre la COVID-19 à la maison … avec des produits en vente libre (!). Or il y a eu échange de courriel avec la Direction de l’OFSP à ce sujet: coup d’épée dans l’eau, un dérapage fédéral.  QUI est en train de défier l’Art. 128 du Code pénal, les pharmaciens ou l’OFSP ? Tous …

Pendant ce temps, il y a en Suisse vers les 10’000 nouveaux malades chaque jour, traçages perdus dans la masse, patients livrés nombreux à l’hôpital; quelques jours plus tard, l’émission du téléjournal 19:30 de la RTS_TV rapporte qu’il y a saturation des soins intensifs en Suisse romande, que ce sera suivi d’une multiplication des morts … Cette TV n’a rien dit non plus sur les possibilités de combattre le terrible virus: quelle pagaille !

André Bovay-Rohr, Colombier (VD)

// Fin de note du 9.11.2020

// Note du 31.10.2020

Pour le patient fraîchement contaminé par la COVID-19, il existe des traitements à faire à la maison: l’usage de sprays nasals, plus des gargarismes; d’après les médecins ORL de la “Division of Rhinology, Department of Otorhinolaryngology–Head and Neck Surgery, University of Pennsylvania, Philadelphia”, on peut utiliser une solution à 1% d’un Baby Shampoo dans les fosses nasales (document de 2008). C’est un liquide qu’ils utilisent dans les sinus et dans les fosses nasales. 

Par une autre source universitaire, on apprend au 19.10.2020 qu’un contact de 2 minutes avec cette solution anéantit à 99.99% la charge virale en SARS-COV-2. C’est peut-être de la médecine de campagne: mais elle est bonne à prendre – elle nous permettra à terme, espérons-le, de nous débarrasser de la COVID-19. L’outil pratique, le flacon de 15 ou de 30 ml, rempli à l’aide d’une seringue de 10 ml. 

NB: N’ayant pas été contaminé, je n’ai évidemment pas essayé en personne les traitements susmentionnés (!); mais je les ai goûtés: c’est salé … Avec les connaissances réunies à ce jour, j’ai préparé sur le 1er remède de la famille, NFNGA© 1, une 2020.11-08 Notice NFNGA© 1 , en m’inspirant de ce qu’on trouve dans les emballages de médicaments.

Ce traitement ne viendra pas forcément à bout d’un rhume infecté, d’une surinfection;  si c’est manifestement le cas, appliquer deux jours en parallèle le Remède en automédication pour le “rhume ordinaire” décrit en fin d’article (Sangerol dilué à 50% par de la solution physiologique, utilisé comme spray nasal).

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Préparation: Verser deux monodoses de 5 ml (sérum physiologique stérile) dans le flacon neuf ou nettoyé; y diluer 3 gouttes de Baby Shampoo, fermer et bien agiter.

Mode d’emploi: Si un test est prévu dans l’immédiat, attendre quelques minutes que le prélèvement ait eu lieu. Ceci fait, envoyer dans chaque narine 3 giclées, sans rincer, le temps de laisser désinfecter; procéder matin et midi; à défaut de disposer d’un gargarisme comme la Bétadine, utiliser le même liquide avec Baby Shampoo dilué pour gargariser plusieurs fois par jour.

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Vorbereitung: Gießen Sie eine Einzeldosis von 10 ml (steriles physiologisches Serum) in die neue oder gereinigte Flasche. 3 Tropfen Baby Shampoo darin verdünnen, schließen und gut schütteln.

Gebrauchsanweisung: Wenn ein Test sofort geplant ist, warten Sie, bis der Abstrich erfolgt. Senden Sie dazu 3 Spritzer in jedes Nasenloch, ohne auszuspülen. Diese Prozedur morgens und mittags wiederholen. Wenn Sie kein Gurgelkonzentrat wie Betadine zur Verfügung haben, verwenden Sie dieselbe Flüssigkeit mit verdünntem Baby-Shampoo, um mehrmals täglich zu gurgeln.

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Preparation: Pour a single dose of 10 ml (sterile physiological serum) into the new or cleaned bottle; dilute 3 drops of Baby Shampoo in it, close and shake well.

Instructions for use: If a test is planned immediately, wait until the collection has taken place. This done, send 3 squirts in each nostril, without rinsing, the time to let disinfect; proceed morning and noon; if you do not have a gargle concentrate like Betadine, use the same liquid with diluted Baby Shampoo to gargle several times a day.

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Scientific documentation USA:

§ Baby shampoo nasal irrigations for the symptomatic post–functional endoscopic sinus surgery patient

Ce texte prouve simplement qu’on ose utiliser du Baby Shampoo (dilué à 1%) dans les fosses nasales, contrairement à des avertissements solennels de personnel médical mal renseigné. Publication, de titre: Shampooing pour bébé, irrigations nasales pour le patient, après chirurgie endoscopique symptomatique, article paru en 2008 (Am J Rhinol 22, 34 –37, 2008; doi: 10.2500/ ajr.2008.22.3122). Auteurs: médecins de la Division de rhinologie, Département d’oto-rhino-laryngologie – Chirurgie de la tête et du cou, Université de Pennsylvanie, Philadelphie, Pennsylvanie, États-Unis. Adressez la correspondance à Dr.Alexander G. Chiu, M.D., 3400 Spruce Street, 5 Ravdin, Philadelphia, PA 19104 / Courriel: Alexander.chiu@uphs.upenn.edu / Copyright © 2008, OceanSide Publications, Inc., U.S.A. 

§ Mouthwashes, oral rinses may inactivate human coronaviruses, study finds

Citations traduites:  «… Les produits évalués comprennent une solution à 1% de shampoing pour bébé, un pot de neti (rinçage du nez avec une solution de bicarbonate de soude), des nettoyants buccaux au peroxyde et des bains de bouche …» «… La solution de shampoing pour bébé à 1%, souvent utilisée par les médecins de la tête et du cou pour rincer les sinus, a inactivé plus de 99,9% des coronavirus humains après un temps de contact de deux minutes. Plusieurs des produits de bain de bouche et de gargarisme étaient également efficaces pour inactiver le virus infectieux. Beaucoup ont inactivé plus de 99,9% du virus après seulement 30 secondes de temps de contact et certains ont inactivé 99,99% du virus après 30 secondes. …»  Référence:  Pr.Craig Meyers, Richard Robison, Janice Milici, Samina Alam, David Quillen, David Goldenberg, Rena Kass. / Penn State / Réduire la transmission et la propagation du coronavirus humain. Journal of Medical Virology, 2020; DOI: 10.1002/jmv.26514. Référence pour le texte complet: 2020.09-17 Meyers Penn State – Lowering the transmission and spread of human coronavirus

§ Nanodroplet-Benzalkonium Chloride Formulation Demonstrates In Vitro and Ex-Vivo Broad-Spectrum Antiviral Activity Against SARS-CoV-2 and other Enveloped Viruses 

Citation traduite :

Résumé La pandémie de Covid-19 a mis en évidence l’importance des gouttelettes en aérosol inhalées par le nez dans la transmission des maladies virales respiratoires. L’inactivation des virus pathogènes à la porte d’entrée nasale peut réduire la charge virale, réduisant ainsi la transmission et la contagion. Nous avons développé une préparation de nanoémulsion huile-dans-eau (nanogouttelettes) contenant le puissant antiseptique 0,13% de chlorure de benzalkonium (NE-BZK) qui montre une activité antivirale sûre et large. Alors que les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont signalé que le BZK pourrait avoir une activité moins fiable que l’alcool éthylique contre certains virus, y compris les coronavirus, nous avons démontré que NE-BZK présente une activité antivirale à large spectre et de longue durée avec >99,99 %, de tuer in vitro des virus enveloppés, y compris le SRAS-CoV-2, le coronavirus humain, le RSV et la grippe à influenza B. En outre, des études in vitro ont démontré que NE-BZK continue de tuer >99,99% des coronavirus humains même dilué 20 fois, tandis que la solution aqueuse de BZK (AQ-BZK) à 0,13 ne l’a pas fait. Des études ex vivo de NE-BZK sur la peau de cadavres humains ont démontré une destruction persistante >99,99% du coronavirus humain pendant au moins 8 heures après l’application. AQ-BZK n’a pas réussi à démontrer une activité antimicrobienne durable sur la peau. L’application répétée de NE-BZK, deux fois par jour pendant 2 semaines sur les narines de lapin a prouvé l’innocuité sans irritation. Ces résultats démontrent que la formulation brevetée de BZK à la surface de nanogouttelettes offre un antiviral sûr et efficace en tant que contribution décisive aux stratégies de lutte contre la propagation des maladies infectieuses virales respiratoires.                      Jessie PannuSusan CiottiShyamala GanesanGeorge AridaChad CostleyAli Fattom 

// Fin de note du 31.10.2020, rév. 19.11.2020

// Note du 30.10.2020

Un médicament TUE le virus de la maladie COVID-19 en 15 secondes s’il est appliqué au bon endroit au bon moment, le plus tôt possible après contamination ! Le collutoire à recommander contre le virus SARS-COV-2 dans la gorge:  BETADINE gargarisme concentré.  Le lien mène à la notice officielle du Compendium, qui décrit les précautions et restrictions d’emploi indispensables; le produit contient de la povidone iodée et de l’alcool (36% en vol); ça s’applique à la maison !  

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Ein Medikament tötet das COVID-19-Virus in 15 Sekunden ab, wenn es zur richtigen Zeit am richtigen Ort verwendet wird, so bald wie möglich nach der Kontamination! Das empfohlene Mundwasser gegen das SARS-COV-2-Virus im Hals: BETADINE-Desinfektionsmittel-Gurgelkonzentrat. Der Link führt zur offiziellen Swissmedic-genehmigte Patienteninformation des Kompendiums, in der wesentliche Vorsichtsmaßnahmen und Nutzungsbeschränkungen beschrieben sind. Das Produkt enthält Povidon-Iod und Alkohol (36 Vol .-%); so können Sie zu Hause auf sich selbst aufpassen!

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A drug KILLS the COVID-19 disease virus in 15 seconds if applied to the right place at the right time, as soon as possible after contamination! The mouthwash to recommend against the SARS-COV-2 virus in the throat: BETADINE gargle concentrate/de. The link leads to the official Compendium leaflet, which describes the essential precautions and restrictions on use; the product contains povidone iodine and alcohol (36% by vol); you can apply it at home!

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// Fin de note du 30.10.2020

// Note du 29.10.2020

§ La RTS TV ou les représentants de l’OFSP n’ont à ce jour, à ma connaissance, pas dit un mot  de l’existence de désinfection pouvant être entreprise à la maison :=(( . Pourtant, ce devrait être de première importance pour juguler peu à peu la pandémie – cette rétention d’informations est à mon avis des plus COUPABLE !

§ Article scientifique (revue selon le thème) publié 10.6.2020 :   Povidone-Iodine Use in Sinonasal and Oral Cavities: A Review of Safety in the COVID-19 Era 

Citation traduite: … La povidone-iodée est sans danger dans le nez jusqu’à 1,25% et dans la bouche jusqu’à 5% pendant 5 et 6 mois, respectivement. L’absorption de l’iode est mal décrite, analysée de manière incohérente et sans conclusions claires. Quoi qu’il en soit, la PVP-I s’est avérée sans risque systémique à des concentrations allant jusqu’à 5% par jour pendant 5 mois. Le nez et la bouche contiennent des charges virales élevées de SRAS-CoV-2 et l’aérosolisation via ces surfaces est un problème important pour la transmission du virus. Des protocoles ont été proposés concernant la PVP-I dans les cavités nasale et buccale pour réduire la transmission du SRAS-CoV-2 …

§ Article scientifique publié 21.9.2020:   Safety alert for hospital environments and health professional: chlorhexidine is ineffective for coronavirus                                                      Citation:      

TABLE 3 INACTIVATION OF THE CORONAVIRUS BY DIFFERENT DISINFECTANTS. 

Biocidal Agent

Concentration

Virus

Exposure Time

Reduction of viral activity (log10)

Ethanol

70%

MHV

10 min.

≥ 3.9

Sodium hypochlorite

0.21%

MHV

30 s

≥ 4.0

Hydrogen peroxide

0.5%

HCoV

1 min.

>4

Povidone-iodine

0.23% 0.23%

SARS-CoV MERS-CoV

15 s 15 s

≥ 4.4 ≥ 4.4

Glutaraldehyde

2.0%

HCoV

1 min.

>3

Chlorhexidine gluconate

0.02%

MHV

10 min.

0.7-0.8

… en effet la chlorhexidine gluconate, à très faible concentration cependant, semble peu inactivante, contrairement à la Povidone-iodée (tous deux utilisés dans des collutoires).

// Fin de note du 29.10.2020, Rév. 19.11.2020

 

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Stratégie à engager:    Gagner la guerre contre le coronavirus COVID-19

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Résumé: Pour la mauvaise saison qui vient, il conviendra de pouvoir distinguer un rhume banal – et le soigner à la maison soi-même – d’une infection à SARS-COV-2, ne serait-ce que pour éviter de saturer les stations de dépistage. Le pas supplémentaire que je propose ici, consiste à soigner aussi à la maison la COVID-19 à ses débuts (un soignant par patient !), par désinfection locale du SARS-COV-2 des voies aériennes nez-gorge, dès une suite de traçage ou dès les tous premiers symptômes (rhume dû à la COVID-19, fièvre ou maux de tête, par exemple); un certain nombre de patients pourra peut-être ainsi échapper aux formes les plus graves de la COVID-19 et un frein sera peut-être enfin serré activement pour ralentir la pandémie. Δ IL LE FAUT !!! Sinon COVID-19 sera sans fin   ∞ ∞ ∞ 

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COVID-19-Pandemie – endlich raus?     

Zusammenfassung: Für die kommende schlechte Jahreszeit wird es notwendig sein, eine Erkältung von einer SARS-COV-2-Infektion zu unterscheiden – und sie zu Hause selbst zu behandeln -, schon allein, um eine Sättigung der Screening-Stationen zu vermeiden. Der zusätzliche Schritt, den ich hier vorschlage, ist die Behandlung von COVID-19 zu Hause in einem frühen Stadium (eine Pflegekraft pro Patient!), durch lokale Desinfektion von SARS-COV-2 der Nasen-Rachen-Atemwege, zum Beispiel nach einer Nachverfolgung der Rückverfolgung oder ab den ersten Symptomen (zum Beispiel Erkältung durch COVID-19, Fieber oder Kopfschmerzen); dies kann es einer Reihe von Patienten ermöglichen, den schwereren Formen von COVID-19 zu entkommen, und schließlich kann eine Bremse aktiv betätigt werden, um die Pandemie zu verlangsamen. Δ DIES IST ERFORDERLICH !!! Sonst wird COVID-19 endlos   ∞ ∞ ∞ 

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COVID-19 pandemic – finally get out of it?

Abstract: For the coming bad season, it will be necessary to be able to distinguish a common cold – and treat it at home yourself – from a SARS-COV-2 infection, if only to avoid saturating the screening stations. The additional step that I am proposing here is to also treat COVID-19 at home in its infancy (one caregiver per patient!), by local disinfection of SARS-COV-2 of the nose-throat airways, following a tracing procedure or at the very first symptoms (cold due to COVID-19, fever or headache, for example); this may allow a number of patients to escape the more severe forms of COVID-19, and a brake may finally be actively, applied to slow the pandemic. Δ we have to do it !!! Otherwise COVID-19 will be endless ∞ ∞ ∞

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// Note du 23.10.2020, rév. 19.11.2020

Mise au point d’un spray NFNGA© 2 anti- SARS-COV-2 à appliquer dans le nez, et d’un collutoire pour la gorge, pour contrer la survenue de la maladie COVID-19, en automédication. Par rapport à la désinfection contre le SARS-COV-2 avec simplement du Baby Shampoo, on prend ici en compte une surinfection: on sort l’artillerie …

Un développement est en cours – on comprendra qu’on doive laisser la paix aux pharmaciens … La liste des ingrédients: Thyrothricine, digluconate de Chlorhexidine,  Chlorure de Benzalkonium, Lidocaïne, Baby Shampoo.

§ En français: 2020.10-26 NFNGA 2 charges public:fr

§ En allemand: 2020.10-23 NFNGA 2 Oeffentliche Ausschreibung und Spezifikationen/de.pdf 

§ En anglais: 2020.10-23 NFNGA 2 Public invitation to tender and specifications/en.pdf

Documentation:

Remarque: il va s’agir d’un remède appliqué probablement par un grand public à des endroits particulièrement délicats: les fosses nasales, entre autres; on ne peut de ce fait pas risquer un accident d’allergie (jusqu’au choc anaphylactique), comme celui qui arrive très rarement avec le Lysozyme (signalé dans le Compendium  dans l’info.patient, effets secondaires); il sera donc remplacé dans le NFNGA© 2 par un autre désinfectant – on pourra penser à chlorhexidine et/ou chlorure de benzalkonium.

// Fin de note du vendredi 23.10.2020, rév. 19.11.2020

// Note du jeudi 22.10.2020

L’étude résumée ci-dessus s’est heurtée à plusieurs obstacles, révélés par les études préliminaires:

  • Il y a une transmission possible à la zone cervicale, de substances passant dans les fosses nasales; c’est bien connu depuis les efforts pour développer des médicaments administrés par cette voie: il va sans dire qu’une désinfection topique (locale) n’a rien à y faire … Les molécules utilisées comme désinfectants ou détergents ou autres devront donc l’éviter (candidates: substances de poids moléculaires soigneusement choisis très élevés ?).
  • Un expert me fait la remarque, d’ordre juridique: « Selon l’article 53 de l’ordonnance 817.02 du Conseil Fédéral Suisse sur les denrées alimentaires et les objets usuels, un produit cosmétique est destinée à être mise en contact avec certaines parties superficielles du corps humain telles que l’épiderme, les systèmes pileux et capillaire, les ongles, les lèvres ou les organes génitaux externes ou avec les dents et les muqueuses buccales en vue, exclusivement ou principalement, de les nettoyer, de les parfumer, d’en modifier l’aspect, de les protéger, de les maintenir en bon état ou de corriger les odeurs corporelles. Cette définition exclut l’utilisation dans le nez (surtout dans les fosses nasales) et la gorge, ainsi que l’automédication et l’utilisation antiviral p.ex. contre le SARS-CoV-2. …». Cependant, il ne fournit pas de raisons techniques: il s’avère que l’idée de base est bonne – l’alléguée exclusion est en fait “ouvrir le parapluie”-  il se trouve que des médecins font usage de produits cosmétiques, qui ont d’intéressantes propriétés médicinales.
  • On découvre dans le Compendium, que le lysozyme peut à l’occasion provoquer une réaction allergique, voire un choc anaphylactique.

Tout ceci a fait que l’article qui suit a été très fortement modifié, par rapport à celui d’hier; le principe: éliminer si possible d’un blog des données fausses. 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges

      // FIN de note du jeudi 22.10.2020, rév.31.10.2020

§ Hypothèses de travail

  1. Il y a des phases dans la maladie COVID-19; on fait ici l’hypothèse que le virus entre, séjourne et se multiplie d’abord dans les voies aériennes supérieures, en se manifestant peu ou prou. L’idée explorée ici est de l’inactiver dans cette zone, pour faire chuter la contagiosité, au moindre soupçon de contamination, par exemple après avoir été tracé. On ne peut pas trop espérer que le patient en soit totalement guéri, mais il faut appliquer le principe de désinfection au plus tôt, d’urgence, pour si possible empêcher la contamination des voies respiratoires plus bas les nuits suivantes.
  2. L’arrivée de vaccins va arranger peut-être les choses, mais on peut s’attendre à un comportement ressemblant à celui de la grippe, avec un virus beaucoup plus dangereux. Délai probable: des mois; fiabilité: ?

§ Scénario dans le meilleur des cas, avec un remède topique NFNGA ©.  

Le patient pense avoir contracté éventuellement le SARS-COV-2; cela peut se vérifier avec par exemple le site: https://coronavirus.unisante.ch/evaluation  Ayant en plus un rhume carabiné, il appelle le médecin traitant, obtient un test COVID-19 (RT-PCR ou rapide), un Prick-test du collutoire du NFNGA (précaution à propos d’allergie possible) avant la première utilisation du spray nasal ou du collutoire, une ordonnance pour le kit NFNGA © et se le fait livrer par une pharmacie en urgence (le kit à ~Fr.20- est aussi en vente libre et pourra être stocké à la maison pour gagner du temps). Ensuite, quel que soit le résultat du test COVID-19, il applique immédiatement l’ordonnance de NFNGA, reste à la maison comme pour une grippe, mais sévèrement isolé par précaution. Au bout d’une semaine si le test COVID-19 était positif, visite au médecin traitant. Par la suite, le patient pourra utiliser le NFNGA sous sa propre responsabilité.

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§ Remède en automédication pour le “rhume ordinaire” – longue expérience: chaque année, il a fallu faire face en saison froide à quelque rhume infecté, susceptible de tourner en bronchite ou même en pneumonie; les risques se sont aggravés avec mes 78 ans, + un lymphome de Hodgkin (avec traitements en oncologie, dès 2015, réussi dès 2019), + ces jours un traitement ophtalmique avec massivement de la cortisone, + en fond de l’asthme et une allergie aux acariens jamais disparus: patient à hauts risques, donc point de laisser-aller ! Dans ce but, j’ai alors risqué vers 2010 une invention: un collutoire qui contient un antibiotique, le Sangerol liquide (dilué à 50%) a été utilisé le matin et à midi, 3 giclées dans chaque narine après s’être mouché, une 2ème fois après 15 minutes ; durée du traitement: deux jours (l’irritation dûe au virus du rhume durant cependant jusqu’à une semaine). Généralement la toux baisse et disparaît dès la surinfection maîtrisée, le bombardement de glaires jaunes ou blanches de nuit dans la trachée ayant cessé. C’est à ma connaissance le seul traitement avec  antibiotique (Thyrothricine) à disposition en automédication: une grande chance. Depuis que je l’utilise, très rarement, ~ 10 ans, plus besoin d’antibiotiques de mon fidèle médecin traitant, pour mettre fin à une bronchite … qui n’a pas pu commencer.   

Le giclement par spray a pour effet d’atteindre le dernier recoin des fosses nasales, contrairement aux gouttes ou aux rinçages: c’est une découverte fortuite, dont j’ai tiré profit ici – une chance, je ne suis pas allergique au Lysozyme.

L’industrie fournit des pulvérisateurs vides en verre brun (donne un abri contre la lumière) – une mécanique résistant des années. Matériel d’application et de préparation trouvé en Suisse:

Marque (exemple) : erioctry 15 ML Spray nasal en verre avec pompe et couvercle

Marque (exemple) : rovagro. Seringue pour mesurer 5 ml ou mélanger 10 ml

§ Documentation: 

[] Lien vers le Compendium pour le collutoire (gargarisme liquide)  Sangerol en vente libre (Fr. 10.20).

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[] Citation de littérature :  COVID 19Inactivation du virus …  La perte de l’enveloppe virale, ou l’élimination des composantes lipidiques de l’enveloppe empêchent le virus d’infecter la cellule hôte. La composante la plus sensible de l’enveloppe virale, la membrane lipidique, peut être détruite par des alcools dissolvant les graisses … Les détergents doux ou le savon peuvent aussi diminuer les capacités du virus … Source: Université Côte d’Azur  Pr. André Galligo, sur SARS-COV-2, maladie COVID-19, 2020.

§ COVID-19 en octobre 2020: besoin d’un traitement ambulatoire.

Cette année 2020 est un peu spéciale: il faut tenir compte de la pandémie. Le traitement de l’IHU de Marseille PLQ+AZT n’a pas été adopté en Suisse (mais mis en oeuvre en partie à l’essai: étude #Stayhome d’Unisante , d’après mes informations, il y manquait l’AZT). Il faut aussi mentionner que le médicament que je prends le matin tous les jours est INCOMPATIBLE avec PLQ (!): donc un traitement avec hydroxychloroquine serait exclu.

La grande foule de patients testés positifs est actuellement abandonnée à son sort pour résister seuls à la maladie à la maison, sauf s’il y a besoin d’hôpital, en cas d’aggravation, par exemple par AVC ou par détresse respiratoire: le patient atterrit alors éventuellement aux soins intensifs. Ou naturellement il arrive après que cela finisse très mal: c’est alors le cimetière sans trop de cérémonie, spécialement pour mes contemporains ou mes aînés; je réclame donc le droit de me défendre par moi-même !

La désinfection des fosses nasales faite très tôt, du nez et de la gorge représente par hypothèse, dès le premier soupçon de contamination, un premier barrage contre l’invasion du virus et ses multiplications. Après tout, les surinfections des virus de grippe (se manifestant par des rhumes) ont d’évidence été combattues de cette manière avec succès, les forces du patient ensuite réservées pour se battre contre les virus; à noter que pour les infections à influenza (grippe), on dispose encore à cette étape d’un anti-viral systémique, le Tamiflu

Après tout aussi, dans tous les cas connus de contamination (ne serait-ce qu’une banale blessure au ménage, à l’atelier, au jardin ou autre maladie de goudron !) la recommandation universelle: désinfecter au plus vite; pourquoi y déroger, pour la pire des épidémies ?  

§ Développement indispensable : Il n’est pas du tout certain que le SARS-COV-2 soit sensible à la composition originale de la préparation de giclement des fosses nasales (Sangerol à 50%): je vais donc cette année ajouter comme additif de destruction du virus, 3 gouttes de Baby Shampoo (voir plus haut la documentation scientifique)

§ Fabrication du liquide de spray NFNGA © actuel (soin d’un rhume infecté) à la maison: Remplir un flacon 15 ml, y mesurer 5 ml de Sangerol + 5 ml de solution physiologique (eau à 9g/l de sel). C’est assez précis et le liquide va durer le temps de conservation du Sangerol. Utiliser du matériel très propre ou tout neuf.

Composition (5 ml de Sangerol): Lidocaïne chlorhydrate (1.78 mg) , Lysosyme chlorhydrate (2.67 mg) , Tyrothricine (3.33 mg), des conservateurs, E216 et E218. Excipients: Chlorure de sodium NaCl (45 mg), Eau bouillie (5 g).

Actions des substances actives: Lidocaïne anti-douleurs, Lysosyme désinfectant endogène, Thyrothricine antibiotique anti-germes à Gram+, E216 et E218 biocides.

§ Remarque, effet secondaire: après un traitement comme le NFNGA ©, il ne faut pas compter tester en sa présence, ou juste après, le virus de la COVID-19 prélevé dans les fosses nasales. Un test de la COVID-19 devra donc avoir lieu AVANT.

Articles sur des sujets voisins:

§ Traitement immédiat urgent au début de la maladie COVID-19. Ne pas l’appliquer est pénal.

André Bovay-Rohr, Colombier(VD), le 16 octobre 2020, rév. 31.10.2020, Rév.27.1.2023

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