CO2, CH4, … Méthode scientifique en échec

Date: 22 janvier 2020 01:10:18 UTC+1

À: “Prof. Seneviratne Sonia” <sonia.seneviratne@ethz.ch>, “Prof. Rebetez Martine” <martine.rebetez@unine.ch>, “Prof. Alexis Berne” <alexis.berne@epfl.ch>, “Prof. Philippe Thalmann” <philippe.thalmann@epfl.ch>, “Prof. Samuel Jaccard” <samuel.jaccard@geo.unibe.ch>, “Prof. Thomas Stocker” <thomas.stocker@climate.unibe.ch>, “Prof. Nicolas Gruber” <nicolas.gruber@env.ethz.ch>, “Prof. Reto Knutti” <reto.knutti@env.ethz.ch>, “Prof. Christoph Schär” <schaer@env.ethz.ch>, “Dir. IAC Prof. Dr. Wernli” <heini.wernli@env.ethz.ch>, “Dr. Augustin Fragnière” <Augustin.Fragniere@unil.ch>

Copies: “Prof. Suzette Sandoz” <Suzette.Sandoz@unil.ch>, Prof. Franz-Karl Reinhart, “Prof. JACQUOT Pierre” <pierre.jacquot@epfl.ch>, “Prof. Masson-Delmotte Valérie” <valerie.masson@lsce.ipsl.fr>, “Prof. Dufresne Jean-Louis” <jean-louis.dufresne@lmd.jussieu.fr>, Prof. Jean-Claude Pont, info.dubochet@unil.ch, daniel.pillard@ringieraxelspringer.ch, sbg@letemps.ch, gael.hurlimann@letemps.ch, sciences@letemps.ch

Le présent message est public

Destinataires: Les auteurs de l’article dans le Temps on-line du 21.1.2020 de titre «Le débat sur le CO2 est clos: réponse à Mme Sandoz» à savoir les signataires: 

  •  Dr. Augustin Fragnière, Université de Lausanne
  •  Prof. Alexis Berne, EPFL 
  •  Prof. Samuel Jaccard, Université de Berne 
  •  Prof. Martine Rebetez, Université de Neuchâtel 
  •  Prof. Sonia Seneviratne, ETH Zürich 
  •  Prof. Nicolas Gruber, ETH Zürich 
  •  Prof. Reto Knutti, ETH Zürich
  •  Prof. Christoph Schär, ETH Zürich
  •  Prof. Thomas Stocker, Université de Berne
  •  Prof. Philippe Thalmann, EPFL
  •  Prof. Heini Wernli, ETH Zürich 

Mme la Professeure,  M. le Professeur, 

Citation de l’article susmentionné: « … Les fondements physiques de l’effet de serre, à savoir le fait que le CO2 et d’autres gaz présents dans l’atmosphère piègent une partie de la chaleur qui s’échappe de la Terre vers l’espace, sont connus depuis le milieu du XIXe siècle. Il n’y a là aucun mystère et c’est un phénomène physique très bien compris. Les premières mentions d’un possible réchauffement du climat dû aux activités industrielles datent d’un article de 1896 du Prix Nobel de chimie Svante Arrhenius. Les mesures systématiques de la concentration de CO2 dans l’atmosphère ont commencé en 1958 et les reconstitutions sur la base des carottages glaciaires permettent de remonter à des centaines de milliers d’années. …» 

Elle prouve que le phénomène physique a été déterminé par corrélations – et pas calculé de manière directeA l’époque où cette détermination a été faite et par la suite utilisée pour conforter des conclusions, on ne disposait pas des outils de simulations numériques nécessaires: je n’ai pas connaissance que des scientifiques les ait utilisés il y a plus de 20 ans. Par malheur, il se trouve que le dit « effet de serre », tel qu’il est défini en physique, par exemple par le Prof. Dufresne, ne se vérifie pas, dès qu’on le décortique en simulations numériques, comme le Prof. Reinhart l’a publié en 2014. 

Il y a eu erreur de méthode en physique: en climatologie est utilisée la concentration en CO2 et CH4 (entre autres) comme catalyseurs de réchauffement; or l’intensité calculée en simulation numérique est microscopique: pas d’effet de serre possible. La loi des gaz parfaits s’applique rigoureusement, dans la troposphère où nous vivons. 

Ce n’est pas une catastrophe – ce n’est pas la première fois en sciences qu’une grande cohorte de savants se serait trompée … 

Le besoin de publier ces faits vient de l’usage qui a été fait de ces données: comme l’effet de serre dû aux gaz à plus de 2 atomes n’existe pas, il convient de changer de méthode scientifique: cette erreur est en train de nous entraîner dans un désastre civil. 

  1. L’urgence qu’il y a à réduire nos émissions de CO2 et de CH4, entre autres, en est invalidée – si l’on croyait freiner le  réchauffement climatique global. 
  2. Le traité de Paris en perd sa substance. 
  3. Nos Autorités ont légiféré sur le CO2 de manière devenue infondée – bien qu’elles aient été averties du problème.  

Devant l’importance de l’affaire, il me semble que la moindre des choses serait de se (re)pencher sur le problème du CO2 en physique (ce que j’ai suggéré hier au GIEC, voir la documentation). 

Meilleures salutations.

André Bovay-Rohr, Physicien 

  *   *   *

Bibliographie:   

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Suggestion au GIEC: calculs à (re) faire sur CO2 et CH4

Date: 20 janvier 2020 13:00:53 UTC+1

À: “Prof. Masson-Delmotte Valérie” <valerie.masson@lsce.ipsl.fr>

Copies: “Conseiller fédéral M. Guy Parmelin” <info@gs-wbf.admin.ch>, recteur@unige.ch, presidence@epfl.ch, “ETHZ, President” <joel.mesot@sl.ethz.ch>, wilfran.moufouma-okia@universite-paris-saclay.fr, “Prof. Dufresne Jean-Louis” <jean-louis.dufresne@lmd.jussieu.fr>, “Prof. Seneviratne Sonia” <sonia.seneviratne@ethz.ch>, Prof. REINHART Franz-Karl, “Prof. JACQUOT Pierre” <pierre.jacquot@epfl.ch>, “Prof. Suzette Sandoz” <Suzette.Sandoz@unil.ch>, Prof. Jean-Claude Pont 

Destinataire: GIEC   Le présent message est public

Madame la Présidente, 

La présente fait suite au document, de désignation complète: 

«GIEC   Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat,

Réchauffement planétaire de 1,5 °C Rapport spécial du GIEC sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels et les trajectoires associées d’émissions mondiales de gaz à effet de serre, dans le contexte du renforcement de la parade mondiale au changement climatique, du développement durable et de la lutte contre la pauvreté   Résumé à l’intention des décideurs» 

auteurs dont vous êtes Co-présidente. Lien:    https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/sites/2/2019/09/IPCC-Special-Report-1.5-SPM_fr.pdf   

Le constat est sévère: le document se fonde sur des travaux sur le CO2 et autres gaz à molécules de plus de deux atomes, qui datent largement d’avant le 21ème siècle. Les calculs sont à (re)faire avec les méthodes récentes de physique quantique, en tenant compte pour la troposphère des 3 mécanismes d’évacuation de chaleur (convection, conduction et infrarouges IR). Ceci fait, vous devriez constater, comme le Pr. Reinhart avant 2014, que les interactions entre CO2 et IR sont extrêmement faibles; comme de surcroît l’influence du CO2 en conduction est également extrêmement faible, du fait de sa très basse concentration, qu’en convection il participe au même titre que les autres gaz (l’équation des gaz parfaits s’applique), en troposphère le CO2 n’a pratiquement pas d’influence particulière – l’effet de serre y est à oublier

Quant à ce qui se passe au-dessus de la troposphère, on doit vérifier si les rayonnements IR sont susceptibles de s’ajouter à la source chaude au sol (effet des rayonnements ayant franchi les fenêtres optiques); d’après ce qu’on sait de l’astrophysique, l’atmosphère est opaque aux IR, donc ce n’est pas le cas – et donc les infimes traces de CO2 qui s’y trouvent vont être détectables par un satellite depuis l’espace, mais pas modifier d’importance l’évacuation vers l’espace de la chaleur du sol. Tout ceci est mesurable et doit donc être contrôlé avec précision. 

Il s’agit donc de physique – et non de climatologie – mais on ne peut pas laisser continuer à accuser CO2 (et CH4) de jouer un rôle dans un réchauffement de l’atmosphère, ce que le calcul des effets directs IR/CO2 interdit largement. 

Je suggère donc de constituer un groupe de physiciens, de reprendre les calculs avec des outils modernes, comme le savant physicien vaudois l’a fait pendant sa retraite. 

Liquider dans l’opinion les conclusions alarmistes et fantaisistes sur les responsabilités de l’humanité à propos de gaz à soi-disant effet de serre devient important – le désordre généré par cette erreur scientifique est croissant, même dans la paisible Suisse, ce qui va perturber violemment toute la Société, Universités et Ecoles polytechniques y compris. 

Meilleures salutations.

André Bovay-Rohr, Physicien

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Documentation Blog scientifique suisse indépendant « Toutes les énergies » sur internet, mot-clé « CO2 » 

Rév.: éditeur, 23.4.2021

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Arrêt de Mühleberg – la sottise du siècle

Communiqué 

Copie: Mme la Présidente Simonetta Sommaruga

Le 20 décembre 2019, au solstice d’hiver, dans 4 jours, est prévu l’arrêt de la centrale nucléaire de Mühleberg, la plus petite des centrales nucléaires de Suisse. Or les sources d’électricité comme panneaux photovoltaïques et éoliennes, à productions intermittentes, ne conviennent pas pour la remplacer, quels que soient leur nombre ou leur puissance; c’est un fait connu par le calcul et documenté depuis des années, contrairement à des propos répétés publiquement: la stratégie énergétique officielle n’a hélas aucune chance de fonctionner … Or pour construire une nouvelle centrale, après avoir surmonté la peur et les obstacles, il faudra au mieux dans les 10 ans. 

Pour avoir volontairement ignoré ces contraintes, il y aura pour les consommateurs une terrible punition durable: comme le remplacement se fera par des importations, généralement aux plus mauvais moments de l’hiver – les pays voisins ou européens n’étant pas au mieux de leur forme, avec leurs vieilles sources d’électricité – il s’ensuivra des coupures de courant prolongées (connues aussi sous le nom de «black-outs»)Il faudra beaucoup de chance, de mauvaises saisons très clémentes, pour y échapper … 

Ce n’est pas exactement la sécurité d’approvisionnement que nous garantit la législation !      *   *   *

Bibliographie jointe: 

Remplacer Mühleberg nucléaire ? Exclu !

Détruire sans peur les déchets nucléaires ! 

Ont reçu ce communiqué ce jour: 

Chancellerie fédérale (pour la Présidente de la Confédération)- a accusé réception, Office fédéral de l’énergie, Etat de Vaud (Direction de l’énergie DGE-DIREN), Commune d’Echichens.

Presse: 24Heures, Le Temps, le TJ de la RTS, Le Matin (internet), 20 Minutes, Journal de Morges, ATS

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 16 décembre 2019

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Effet de serre. Ecroulement de sa théorie physique.

La réfutabilité a été introduite dès 1934 par Karl Popper en épistémologie, permettant d’établir une démarcation entre les théories scientifiques et celles qui ne le sont pas. Une affirmation est dite réfutable si sa forme logique est telle qu’il est possible de tester son éventuelle fausseté par une expérimentation: c’est ce qui va être fait ici.

Quand une telle démonstration prend 6 lignes (comme ici, en physique de base), il n’y a pas lieu de lancer de grandes publications à comité de lecture …

Dans un gaz comme l’atmosphère terrestre, il y a concurrence entre deux procédés pour échanger de l’énergie: par émission-réception de photons ou par collision; dans un gaz respectant la loi des gaz parfaits, il y a domination quasi-totale du procédé par collisions (les molécules ou les atomes échangent très rapidement leur énergie, jusqu’à atteindre la température T et la pression P permettant l’application de l’équation).

Le concept d’effet de serre suppose que de l’énergie parvenue jusqu’au sol (source chaude) peut être transformée en rayonnements infrarouges IR, photons absorbés par des “gaz dits à effet de serre” comme le CO2, situés dans l’atmosphère au-dessus, IR réémis et ensuite capables de s’ajouter en partie à la source chaude initiale (rayonnement solaire absorbé par le sol). Définition en physique de l’effet de serre, citation (orthographe rectifiée):

   • C’est une interprétation des résultats obtenus en résolvant l’équation de transfert radiatif. • Lorsque le milieu est optiquement épais, on doit raisonner en altitude d’émission • Un accroissement de CO2 ne modifie pas directement les flux en surface, mais augmente l’altitude d’émission, diminue le refroidissement de l’atmosphère ce qui finit par réchauffer la surface.   (Prof. Jean-Louis Dufresne, Rabat, 27 mars 2017 ).

On est en présence d’une erreur de raisonnement: la réémission IR (soi-disant en partie vers le bas) va être entravée dans toute la partie de l’atmosphère répondant aux conditions de l’équation des gaz parfaits; les bilans énergétiques ne sont pas modifiés, mais bien les bilans attribués aux IR, au profit des bilans de chaleur, qui va être évacuée systématiquement vers le haut de la troposphère, entre autres par la très vigoureuse conduction. 

Expérimentation (par simulation): Le calcul de l’effet des IR générés par un sol à 288°K, sur une atmosphère à contenu variable en CO2, montre que l’augmentation de 280 à 400 ppmv génère une absorption de l’énergie de ces IR, correspondant à un échauffement de moins de 0.12°K; on aura donc un très léger transfert de chaleur par IR plutôt que par conduction.

C’était en 2014 l’écroulement de l’idée d’un effet de serre possible: il n’y a pas assez de l’énergie nécessaire pour justifier des degrés de réchauffement climatique, ni de phénomène physique capable de transferts importants (source de chaleur secondaire à la source chaude) vers le bas; ce qui a démontré que toute cette théorie n’a rien de scientifique … l’effet de serre est une invention.

C’est le fondement de toute la théorie prétendant que le CO2 contribue d’importance à un réchauffement climatique qui s’est écroulé en 2014, de même c’est le fondement de toute prétention à l’efficacité de la “lutte pour le climat” par limitation des émissions de CO2 qui s’est écroulé. 

Bibliographie

La Terre est une planète – pas une serre !

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 24 mars 2019

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De la responsabilité qu’il y a à combattre une escroquerie

De source scientifique sûre, on sait depuis 2014 que le CO2 n’a pratiquement aucun effet de serre, donc pas de rôle dans un réchauffement global, dans l’évolution du climat: ainsi commençait l’article précédent “Le canular du siècle, son petit nom: CO2 …”; on pouvait donc penser à une sorte de farce scientifique. En réalité, compte tenu des enjeux politiques, financiers et techniques de cette affaire, on s’aperçoit qu’il y a lieu de voir dans le code pénal suisse comment on punit en Suisse ceux qui utilisent des données fausses, pour en tirer profit. Citations du code pénal, RS 311.0 (les liens permettent de recourir au texte original sur internet, qui fait légalement foi):

§ Dans les dispositions générales:

Art. 13 2. Intention et négligence / Erreur sur les faits

Erreur sur les faits

1 Quiconque agit sous l’influence d’une appréciation erronée des faits est jugé d’après cette appréciation si elle lui est favorable.

2 Quiconque pouvait éviter l’erreur en usant des précautions voulues est punissable pour négligence si la loi réprime son acte comme infraction de négligence.

§ Art. 28 6. Punissabilité des médias

6. Punissabilité des médias

1 Lorsqu’une infraction a été commise et consommée sous forme de publication par un média, l’auteur est seul punissable, sous réserve des dispositions suivantes.

2 Si l’auteur ne peut être découvert ou qu’il ne peut être traduit en Suisse devant un tribunal, le rédacteur responsable est punissable en vertu de l’art. 322bis. A défaut de rédacteur, la personne responsable de la publication en cause est punissable en vertu de ce même article.

3 Si la publication a eu lieu à l’insu de l’auteur ou contre sa volonté, le rédacteur ou, à défaut, la personne responsable de la publication, est punissable comme auteur de l’infraction.

4 L’auteur d’un compte rendu véridique de débats publics ou de déclarations officielles d’une autorité n’encourt aucune peine.

§ Art. 146 1. Infractions contre le patrimoine / Escroquerie

Escroquerie

1 Celui qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, aura astucieusement induit en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou l’aura astucieusement confortée dans son erreur et aura de la sorte déterminé la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d’un tiers sera puni d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire.

  *   *   *

On doit donc se poser la question: quelle est la qualification de données scientifiques trouvées par des savants suisses, quel que soit le cadre dans lequel elles ont été élaborées? L’obstination du monde politique à ne pas en tenir compte, du monde universitaire et des hautes écoles à les ignorer, est non seulement vexante, mais elle pose surtout des questions sur leur compétence et sur leur probité: les méthodes ayant permis la découverte de l’inexistence de l’effet de serre sont à portée de tout physicien ayant assimilé les lois sur la cinétique des gaz et sur l’équation des gaz parfaits; cela implique l’usage d’éléments et de données de physique quantique et de thermodynamique bien connus. Il n’y a absolument pas nécessité de passer par des publications scientifiques commerciales et leurs comités de lecture, connues pour leurs coûts et leurs délais, pour établir des faits déduits de science établie.

Les Autorités, les médias, la presse et toute personne qui recourt à des données scientifiquement fausses s’expose donc en Suisse aux foudres des articles du code pénal précités, si l’usage de ces données mène à exiger des modifications de lois ou de règlements, à exiger des taxes, à exiger de manière générale des mesures ayant des effets pécuniaires sur les victimes de ces procédés. C’est bien le cas, hélas … De QUI est-ce la responsabilité de combattre efficacement cette escroquerie ?

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 2 février 2019

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Le canular du siècle, son petit nom: CO2  …

De source scientifique sûre [1], on sait depuis 2014 que le CO2 n’a pratiquement aucun effet de serre, donc pas de rôle dans un réchauffement global, dans l’évolution du climat: la Nature ne fonctionne pas, comme doctement rapporté avec persévérance par les climatologues de l’ONU. La Planète survivra – même avec encore plus de CO2 mis dans l’atmosphère par l’humanité !

Pourquoi se risquer à parler dès le 1er janvier 2019 de ce gaz autrement qu’en sciences? Pour éviter l’instauration, la Société ayant pris au sérieux cette mystification, d’une tyrannie croissante.

§ Êtes-vous de bonnes poires du canular du siècle sur le CO2 – ou simplement des victimes, ou des témoins muets – ou des complices intéressés, des prédateurs, ou des auteurs ? Comment qualifier ceux qui devraient en principe savoir lire de la physique, reconnaître le canular – et pourtant sont une foule à parler de l’urgence qu’il y aurait à décarboner ? Incompétents ou pervers ? Journalistes échotiers sans véritable culture scientifique ou experts en désinformation ? Dirigeants opportunistes, gestionnaires déloyaux ou escrocs de haut vol ? Que faire pour stopper la gigantesque escroquerie internationale du siècle, à base de CO2 ? Celle de Bernard Madoff était minuscule, à côté !  Se méfier des bons apôtres en faveur de la planète: à chaque fois que leurs prêches, fondés sur le dit canular du siècle, sont accompagnés de millions ou de milliards de soi-disants investissements ou de subventions, vous chaussez les souliers des bonnes poires [2] …

… ses effets:

§ Economiser des combustibles ou des carburants fossiles est évidemment sensé, car ils ne sont que très lentement renouvelables; mais taxer le CO2 en se référant au canular du siècle (!): autant avoir le courage d’appeler ça un impôt supplémentaire. Interdire l’usage d’électricité pour se chauffer, de charbon, de pétrole ou de gaz est abusif, dans la mesure où les moyens de les remplacer ne peuvent pas ou ne sont volontairement pas utilisés; exemple au village: l’exploitation-alibi de la chaleur solaire pour des bâtiments neufs (pas accumulée pour l’hiver) – et l’oubli du froid hivernal (pas accumulé pour l’été) – à Echichens [3] !

§ Songer à une transition énergétique semble raisonnable – une fois la réflexion débarrassée du canular du CO2; mais il y a tous les effets secondaires nocifs, comme par exemple la chute prévisible du niveau de l’électricité actuelle (en Suisse à ~ 60% dans le meilleur des cas) et de la sécurité des approvisionnements – ou les effets (pas étudiés) des éoliennes sur la météo, dont la sécheresse [4]. Il y a aussi la baisse de qualité des sources d’électricité: se méfier des sources intermittentes, aléatoires, non pilotables; le calcul de leurs coûts doivent comprendre ceux des black-outs [5] qu’on leur devra et aussi ceux des usines à gaz de remplacement …

§ Seule une petite minorité pourra bénéficier de chauffages à pompe à chaleur ou de véhicules électriques – à cause de la rareté prévisible inopportune du courant et de la cherté inévitable des batteries … Mais à cause du canular du siècle, l’industrie automobile s’est lancée tête baissée dans des développements (par milliards d’€ ou de $) de véhicules électriques.

… et le verrouillage des moyens de sauvetage:

§ Se méfier des ennemis du nucléaire: ils sont en conflits d’intérêts (les plus fervents sont financés par des énergies concurrentes); or les dangers de la radioactivité sont maîtrisables: les invoquer est donc tromperie [6], autant que la soi-disant durabilité des déchets – qu’on sait exploiter ou détruire quand on s’en donne la peine; il y a plus de 20 ans qu’on saurait  le faire [7].

§ Mais pour s’y lancer, il ne faut pas installer durablement de très populaires ministres de l’énergie, socialistes ou sans formation scientifique … En plus d’une sotte “sortie du nucléaire”, ces dirigeants ne savent manifestement pas faire la différence entre une vraie transition énergétique et une impasse.

Bibliographie

1. Travaux du Pr. Franz-Karl Reinhart, physicien. Biographie:  CO2, une chimère climatique   Textes:    CO2 et effet de serre

2. Subventions 2017 aux énergies renouvelables en Suisse; voir la Bibliographie. Toutes les installations n’ayant pas été listées, c’est beaucoup plus que 577 millions CHF …

3. Loi cantonale sur l’énergie, bafouée à Echichens; comment forcer les gens à se chauffer au gaz …

4. Réchauffement et sécheresse provoqués par les éoliennes.

5. Black-out en Australie du Sud.

6. Fraude en 1946 (à propos de radioactivité) du Prix Nobel Hermann Joseph Müller. Voir la documentation citée à la fin de l’article.

7. Détruire sans peur les déchets nucléaires.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 1er janvier 2019

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Influencer le climat global: la grande illusion !

La concentration en CO2 ne joue pratiquement aucun rôle thermique particulier dans la troposphère. L’humanité ne peut donc, à l’aide de ce gaz, influencer le climat global – que ce soit ou non, volontaire ou accidentel. 

Définition courte de l’effet de serre : « C’est une interprétation des résultats obtenus en résolvant l’équation de transfert radiatif. »; auteur Pr.Jean-Louis Dufresne, 27.3.2017.

Cette définition semble bien contenir une erreur de conception: les flux de transferts d’énergie quittant la surface de la Terre (en dehors des photons réfléchis ou diffusés, utilisant les fenêtres optiques) ont lieu par conduction de chaleur ou par mouvements dans l’atmosphère surtout, et non pas par radiations infrarouges IR. Or l’atmosphère, aux pressions rencontrées dans la troposphère, est formée de gaz répondant tous à l’équation des gaz parfaits, CO2 y compris. Pour qu’il y ait effet de serre dans la troposphère, il faudrait qu’il y ait des transferts importants par IR: or c’est impossible, car l’atmosphère est opaque aux IR … Il faut comprendre que les photons IR émis par la surface sont aussitôt absorbés par une molécule d’un des gaz parfaits, transformés en chaleur, évacuée par conduction vers le haut: il ne peut y avoir d’effet de serre significatif dans toute la troposphère.   

Donc l’évacuation de chaleur aura lieu d’ordinaire immanquablement de bas en haut, de la surface plus ou moins chaude vers la tropopause à environ -55°C, par conduction ou par mouvements dans l’atmosphère, sans que la concentration en gaz à plus de deux atomes y joue le moindre rôle particulier, en dehors des effets de condensation en gouttes ou en cristaux, par exemple de l’eau ou de l’acide sulfurique.

L’humanité, avec ses émissions de CO2, n’a donc jamais eu la moindre influence sur le climat global. 

Documentation: La Terre est une planète – pas une serre !

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 14 novembre 2018

Commentaire

Le Pr. Edouard Bard a aussi fourni une définition très claire de l’effet de serre, page 46 du document de titre « Bac to basics: l’effet de serre », La Recherche, hors-série n° 3, 2007, 46-53. Liens: biographie   Effet de serre

Citation de la page 46: “… La surface terrestre réémet un rayonnement infrarouge vers l’atmosphère. Or plusieurs composants chimiques de celle-ci absorbent les infrarouges, puis les réémettent dans toutes les directions. Une partie retourne vers la surface terrestre, laquelle s’échauffe encore un peu plus: c’est l’effet de serre. …”

L’erreur est de croire à la réémission de ces infrarouges dans toutes les directions: en réalité, ces molécules devenues excitées ont immédiatement transmis leur énergie, lors de chaque collision avec des molécules voisines (et qui va définir la température T du volume de gaz parfait dont elles font partie), de sorte qu’il n’y aura plus à disposition l’énergie d’une telle réémission … L’effet de serre était une fausse bonne idée !

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 18 janvier 2019

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La Terre est une planète – pas une serre !

La présente étude, sur les mécanismes physiques de l’atmosphère, est destinée au public francophone le plus vaste possible, intéressé par l’effet de serre. Cet effet est attribué depuis quelques décennies au CO2, entre autres gaz, et concernerait toute la Planète; une vérification simple, en physique, montre que c’était une profonde erreur …

Documentation indispensable

 § Température selon l’altitude

2018-07-25-terre-atmos

Schéma mesuré en France

§ Pression selon l’altitude

2018-07-25-terre-press

Source: https://fr.wikipedia.org/wiki/Altimètre  Schéma mesuré en France

§ Fenêtres optiques atmosphériques

2018-07-25-terre-transpar

 Source: NASA

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Suivre une ligne sûre. Dans nombre de schémas que j’ai vus en climatologie, on y trouve souvent présentés en W/m2 de la même façon les flux de rayonnements ou les flux de chaleur – c’est peut-être pourquoi a émergé l’idée du principe de l’effet de serre, loin de la thermodynamique. La complexité des descriptions fait perdre de vue la grande ligne à suivre, pour les comprendre et les vérifier. L’idée est ici de simplifier au maximum le modèle très général du climat, en détaillant le rôle décisif de notre source de chaleur et de lumière: le Soleil. Comme il s’agit aussi d’éclaircir le rôle des gaz dits “à effet de serre” (constitués de molécules de plus de 2 atomes, au spectre d’absorption/émission infrarouge IR très étendu, alias ici “gaz à grosses molécules”), on va se limiter ici à prendre des instantanés de fonctionnement d’une colonne atmosphérique à midi.

Limitation de l’étude; on ne va considérer que la portion de l’atmosphère qui nous concerne directement: la troposphère, dont le sommet, la tropopause, est en général vers la température de -55°C, avec un gradient linéaire connu de l’ordre de -0.65°C par 100 mètres d’altitude croissante depuis le sol (aux latitudes de l’Europe !): c’est un phénomène connu depuis longtemps, qui représente une moyenne d’un transfert de chaleur, de source chaude vers source froide. C’est aussi dans cette zone qu’on trouve la plupart des phénomènes de la météo courante. La troposphère est la zone où la densité de l’air est dans le domaine de validité de la loi des gaz parfaits (P x V) / T = constante.

On ne tiendra ici pas compte des bilans énergétiques, des accumulations faites sous forme de chaleur (transformations de phases de l’eau, ou d’eau chaude, ou d’eau très froide, ou de glace), sous forme de remplissage d’eau des barrages ou sous forme de chimie de la vie (photosynthèse et ses suites); ces accumulations introduisent des délais de réactions du climat; on devrait parfois aussi tenir compte des productions de chaleur venue du sol (volcanisme). Comme les accumulateurs sont aussi bien capables d’absorber de gigantesques quantités de chaleur et d’énergie, que d’en restituer, on les exclut de la présente étude – dans la mesure où leurs mécanismes sont indépendants des gaz à grosses molécules.     

Définitions:

1) Le climat local est la distribution statistique des conditions de l’atmosphère terrestre dans une région donnée pendant une période donnée.

2) Le climat terrestre global est la synthèse de tous les climats locaux; il résulte de la situation astronomique de la Terre, de la présence à la surface de grandes quantités d’eau dans ses états vapeur, liquide (71% de la surface sont des océans) et solide (glaciers et calottes), ainsi que de la présence de sols, le tout couvert d’une atmosphère faite d’un mélange de gaz parfaits.

§ Le soleil chauffe le sol: la source chaude. La source d’énergie principale qui détermine le climat terrestre est le rayonnement solaire, mélange plus ou moins stable de photons et de particules venant de notre étoile à ~150 millions de km; il existe d’autres sources de l’espace, minuscules, comme la Lune. Une partie de ce rayonnement parvient jusqu’au sol, par les fenêtres optiques atmosphériques (ou par les variations de champ électromagnétique).

Les photons absorbés par les objets du sol sont transformés en chaleur, qui va être communiquée aux gaz en contact immédiat avec le sol; le plus souvent, ce processus va entraîner beaucoup de turbulence … Parmi les rayonnements parvenus jusqu’au sol, ne se trouvent que très peu d’IR, l’atmosphère y étant opaque.

Nous avons ainsi identifié (en thermodynamique) la principale source chaude du modèle général: les effets au sol du Soleil.

§ L’espace absorbe toute l’énergie fournie par la Terre: la source froide. Selon la loi de conservation de l’énergie, la totalité de cette énergie entrante doit, soit être accumulée, soit repartir vers l’espace. La température T vers le sol (en °K, température de l’air, mesurée dans les conditions standard de stations de météorologie en °C+273.15), va être déterminée par la loi des gaz parfaits (loi bien vérifiée tant que la pression se trouve dans son domaine de validité, ce qui est le cas vers ~ 1 atm, plus de 1000 hPa). A noter qu’au-dessus de la tropopause, cette loi des gaz parfaits ne s’applique plus (pression de l’ordre de 220 hPa). A la tropopause, les photons qui repartent vers l’espace – énergie provenant du sol surtout par conduction thermique et par mouvements de  l’air, après traversée de l’atmosphère vers le haut – sont surtout de l’IR (délestage de chaleur, énergie de haute entropie donc, de gaz raréfiés, par rayonnements de très basse énergie).

Parce que l’atmosphère est largement opaque aux IR, le sol ne peut les recevoir qu’à courte distance. C’est ainsi que la Terre se débarrasse de l’énergie entrée ou de l’énergie tirée des accumulateurs, transformée en chaleur au sol, naturellement ou artificiellement. Ainsi est identifiée (en thermodynamique) la source froide du modèle général: l’espace, dans toutes les directions autres que celle du Soleil.

Remarque. Tout physicien qui se respecte trouvera le concept d’ “effet de serre” suspect: ce serait une portion de zone de la troposphère qui cèderait de sa chaleur par rayonnement au sol, donc à la zone la plus chaude de la troposphère, la source chaude … On peut imaginer un débit de chaleur vers le haut de la troposphère, variable selon la richesse du mélange de CO2 à l’air – cela reste à quantifier – mais aucune augmentation de température moyenne de la source chaude n’est possible en thermodynamique. Le flux des pertes de chaleur de la Terre vers l’espace ne sera pas touché par une modification du mélange de gaz parfaits, pas plus que le flux solaire vers la source chaude, ni la température qui en résulte au sol.

§ Perturbateurs de flux solaire. On observe des processus mettant en jeu des matières à présence non continue, dans l’atmosphère, jouant le rôle d’écrans, d’absorbeurs, de diffuseurs optiques ou de miroirs semi-transparents, pouvant changer d’état (eau sous formes non-vapeur, poussières ou cristaux, particules fines, brumes, nuages de gouttes d’eau ou d’acide sulfurique du volcanisme): leur présence modifie, affaiblit surtout, les rayonnements entrants, donc surtout la source chaude. Avec les nuages de gouttes, on observe un effet de ralentissement du flux de chaleur vers l’espace, pour autant que leur présence soit temporaire la nuit … car alors le jour le flux entrant est aussi ralenti.

Les autres interventions majeures sur la source chaude à considérer sont les changements de propriétés d’absorption par le sol de la lumière: il suffit que le sol se couvre de végétaux ou change de couleur, ou dans une région très habitée, par un bétonnage ou un goudronnage importants.

§ Pour vérification, un exemple

On aurait pu observer en 1818 – avec un appareillage comme celui de 2018 ! – dans un lieu désertique de l’hémisphère Nord, un volume V, à pression P=1013.25 hPa (=1 atm) du mélange d’air du lieu (78.084% d’azote, 20.946% d’oxygène, 0.934% d’argon, sans humidité et 280 ppmv de CO2; on néglige les 0.008 % des autres traces); on aurait mesuré à midi vers le solstice d’été une température T de l’air de 320.73 °K ±0.01°K (47.58°C), avec le soleil irradiant ce sol de 1000 W/m2 en UV et lumière visible: donc le coefficient d’absorption local du rayonnement solaire aurait été (par calcul, utilisant la loi de Stefan-Boltzmann et sa constante du même nom 5.67×10-8), de ~ 60%. Pourquoi choisir midi, le jour le plus chaud de l’année ? Pour que tous les effets thermiques principaux et tous les effets secondaires se manifestent.

Dans le même lieu désertique, physiquement inchangé, à la même heure au solstice d’été de l’année 2018, le mélange contient maintenant 412 ppmv de CO2 (ajout de 132 ppmv, qui ont remplacé autant d’oxygène), mais le CO2 est aussi un gaz parfait. Que devient T ? Avec un appareillage tout aussi précis, on observe 320.73 °K, température imposée par la source chaude et par les 600 W/m2 de chaleur inchangés, à évacuer par les gaz parfaits de l’atmosphère locale.

Remarque. Les gaz à grosses molécules ne peuvent que diminuer et non augmenter le flux solaire entrant: comme effet sur les fenêtres optiques atmosphériques, il y a interception des IR.

S’il y avait réchauffement , par exemple à 322 °K, c’est que la source chaude aurait changé et que l’on aurait affaire à 1016 W/m2 comme apport au sol, avec 60% de coefficient d’absorption inchangé – ou à un changement dans le paysage, coefficient d’absorption par le sol (apport solaire de 1000 W/m2 inchangé) modifié en 60.955%; on peut aussi avoir affaire aux deux sortes de modifications à la fois, chacune plus minime évidemment. Donc pour provoquer un réchauffement local, de très minimes modifications du flux solaire ou du paysage suffisent; cela ouvre des pistes sur ses causes en pays civilisés !

§ Soulagements, déceptions et travaux scientifiques futurs

1. L’humanité est peut-être responsable de réchauffements climatiques régionaux, mais très vraisemblablement, elle est beaucoup trop insignifiante, sur la vaste Terre, pour influencer le climat global. Ce ne sont pas ses 132 ppmv de CO2 qui vont réussir à le perturber.

2. Echapper à la prochaine glaciation aurait été merveilleux, si les gaz à grosses molécules, dont le CO2, avaient bien un effet de réchauffement climatique; 15’000 fois hélas, ce n’est pas le cas: il faudra que l’humanité s’adapte pour survivre … Illustration: une seule très grosse éruption volcanique, comme celle du super-volcan de Toba, a libéré en une fois il y a ~ 73’000 ans des quantités monstrueuses de CO2 (dégazage de 2800 km3 d’équivalents de roches + 800 km3 de cendres dispersées): une fois passés les effets des poussières et des nuages d’acide sulfurique, le CO2 n’a pas eu d’effet de frein sur la glaciation Würm … A l’époque, presque toute l’humanité a péri.

3. Il faut trouver maintenant par quels phénomènes physiques réels un réchauffement observé, par exemple en Suisse, est provoqué: il y a du pain sur la planche pour les physiciens, les météorologues et les climatologues.

Conclusion scientifique

La vérification en physique, d’un allégué effet de serre (provoqué par des traces de gaz à grosses molécules dans l’atmosphère, dont le CO2) sur le climat, aboutit à un non-sens thermodynamique. 

Bibliographie 

§ Météo de base      http://www.wikidelta.com/images/pdf/meteorologie-cours-de-base-deltaplane-avion-planeur-parapente.pdf   

NB: Wikidelta est un site suisse bénévole créé en 2008 par Nicolas Vuille avec comme objectif de réunir le plus d’infos possible concernant le deltaplane …

§ Cours de météorologie – ENPC  de David Pollack (INP Toulouse, ENM Météo France), mars 2013      http://cerea.enpc.fr/fich/support_cours/POLU1_2012-2013/ENPC_CH01_portrait_atm.pdf      

   Extrait de ce cours, détail important à propos des IR:  2018-08-22-ir

§   http://pascal.sca.uqam.ca/~sca5002/Presentations/1.Thermodynamique/01-ThermoLoi0.pdf    (SCA.UQAM: Université du Québec à Montréal, Groupe des Sciences de l’Atmosphère )

§   http://www.lmd.jussieu.fr/%7Ejldufres/exposes.html   de Pr. Dufresne  (LMD.JUSSIEU: Laboratoire de Météorologie Dynamique, Ecole polytechnique et universités)   … dont l’exposé du cours donné à l’Ecole des Mines de Rabat (2017), pour ses données:

        Température de surface d’une planète, échange radiatif et effet de serre    

        Profil vertical et thermodynamique de l’atmosphère   

§   Le CO2 redevient vital et sans effet de serre  

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges (VD, Suisse), le 25 juillet 2018

rév. 27.7.2018, rév. 17.8.2018, rév. 22.8.2018

Compléments d’article

Il faut rappeler que “la chaleur monte” parce qu’un volume de gaz parfait, plus chaud que celui du milieu où il se trouve, est plus léger: il est soumis à une poussée d’Archimède. En effet, l’équation des gaz parfaits peut aussi s’écrire: P x V = constante x T. Donc à une altitude donnée dans la troposphère (la pression P étant imposée), une bulle de gaz chaud va monter, car le volume V est proportionnel à la température T, va donc augmenter … C’est bien ce qu’on observe lors de la formation d’un cumulus ou lors de l’explosion accidentelle d’une quantité de gaz naturel; les pilotes de planeurs appellent une colonne d’air chaud une “pompe”, qu’ils utilisent aussi bien que le font les grands oiseaux pour prendre de l’altitude. Une zone de la troposphère, chauffée par absorption de rayonnements IR (à cause de gaz à grosses molécules, par exemple) va être débarrassée de son énergie à la fois par gain d’altitude et par conduction. C’est ce qui se passe en partie, avec les rayonnements ne parvenant pas jusqu’au sol.

Périodiquement, le climat présente des crises de réchauffement naturelles, connues des climatologues: c’est une piste pour expliquer le réchauffement actuel, le CO2 n’y étant manifestement pour pas grand-chose! Voir                                                  Evénements de Dansgaard-Oeschger  et leurs semblables de l’Holocène.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges (VD, Suisse), le 9 août 2018

Lettre de lecteur dans 24Heures du 16 août 2018, envoyée par courriel; les données en rouge ont été supprimées, celles en orange, rajoutées par la Rédaction.    [l’éditeur] Titre: 

Climat mal compris – CO2 sans effet de serre  

Madame la Rédactrice, 

La présente fait suite à l’article paru le 11 août 2018 en page 4, sous le titre « Les verts veulent lancer une offensive sur le climat ». 

Des travaux scientifiques en profondeur ont révélé que l’influence humaine sur le climat global est des plus incertaines: le CO2 n’a pas d’effet de serre, pas plus que le gaz naturel … Il ne sert donc à rien d’instaurer un régime de rigueur contre le CO2, sinon pour économiser de précieuses ressources énergétiques non renouvelables. Sans parler que les statistiques font douter d’un réchauffement climatique global: mais il y a en Suisse un indéniable réchauffement, comme en beaucoup d’autres régions. Chaque mesure prise, pour espérer faire face efficacement à des événements dangereux comme canicules ou inondations, doit être décidée ici, sans imaginer une influence humaine globale. 

Il y a plus ennuyeux: les parcs d’éoliennes en grandes quantités ont pour conséquences en aval chaleur accrue, sécheresse et smog accru – alors que leur production est faible et très chère. L’intervention des communes, des cantons et de la Confédération dans ce domaine est donc plus néfaste qu’utile … Les sources d’électricité comme photovoltaïque ou éolienne sont déstabilisatrices du réseau et coûtent des dizaines de fois plus que les autres: là aussi les subventions sont malsaines. 

La vérification en physique de l’aberration que représente le concept d’effet de serre a pris beaucoup de temps et était très difficile, j’en suis le premier désolé. Documentation sur le livre de bord internet (blog) «  Toutes les énergies ». 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges (VD, Suisse), le 12 août 2018

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Hydrogène – données scientifiques et techniques

A propos d’énergie, on entend souvent évoquer l’usage d’hydrogène comme moyen de substitution (propre) aux carburants et aux gaz fossiles (sous-entendus sales) ! On attend donc de l’hydrogène des miracles, pour construire une Société du futur meilleure, ne polluant plus son environnement, tout en disposant en masse d’énergie.

Un descriptif physique, chimique, industriel des procédés d’obtention et d’utilisation rigoureux de l’hydrogène, par le Professeur de physique chevronné Arturo Romer, est donc précieux; voir le fichier 2008-03-romer-idrogeno.pdf

On découvre alors un vecteur énergétique, qui est probablement le pire de tous les moyens d’accumulation: les pertes sont effroyables …

Il y a encore pire, sur le plan environnemental: l’usage généralisé d’hydrogène va entraîner de nombreuses petites pertes (l’hydrogène est très difficile à confiner), dont l’effet final sera une attaque de la couche d’ozone stratosphérique – comme avec les CFC, le principe de précaution impose d’y renoncer !

Bibliographie:

Presque Tout Sur Les Eoliennes.pdf   du Pr. Jacques Deferne, page 33 ff, 2018

Hydrogène ? Science sans conscience ! 2014

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 16 juillet 2018, Rev. 31.7.2018

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Stratégie énergétique suisse – plongeon financier programmé

Dans le quotidien lausannois Le Temps du 11 juillet 2018, sous la plume de M. Grégoire Baur, est clairement décrit un désastre technique et financier probable – facture prévue 2 milliards de Fr. – juste pour Nant de Drance. L’impréparation de la stratégie énergétique suisse 2050 (!) est en train de se venger déjà maintenant, sur un fidèle industriel romand. Lettre de lecteur (à ce jour pas publiée) suite à cet article:

Objet : Nant de Drance, le lent cheminement de la triste vérité

Monsieur le Rédacteur, 

Par la présente, je tiens à vous féliciter pour l’excellent article sur le système d’accumulation électrique à deux lacs, en construction à Nant de Drance. Voir: 

    https://www.letemps.ch/suisse/nant-drance-risque-dun-gouffre-financier   

Il y a des années que les premiers calculs de cadrage, par exemple du remplacement de la plus petite de nos centrales nucléaires suisses, ont montré l’impossibilité physique de ce remplacement par des énergies renouvelables (entre 11% et 20% de présence annuelle); la responsabilité du désastre incombe aussi bien aux auteurs de la stratégie énergétique (2051!) de la Confédération et des Cantons, qu’aux industriels qui ont si mollement protesté et qu’aux Universités et Hautes Ecoles qui n’en ont rien dit …

Comme petit actionnaire d’Alpiq, je tiens à vous assurer que c’est bien plus qu’un risque: TOUS les moyens de production électriques en Suisse sont déficitaires depuis des années, il n’y a pas vraiment de perspective que cela puisse changerla cause en est double:

– Les sources d’électricité intermittentes en Europe créent physiquement une situation de surproduction structurelle; les producteurs lourdement subventionnés bradent leurs surplus.

– L’idéologie à la fois verte et libérale (dûe aux énergies renouvelables) a imposé cette débâcle technique et financière. 

En examinant ce qui se passe dans les pays voisins, il ne peut y avoir qu’aggravation – avec comme chez eux doublement des prix pour les simples consommateurs – tant que ne seront pas chassés du pouvoir des décideurs écolos, suite à des catastrophes d’ordre technique (black-outs), comme en Australie du Sud. 

Bibliographie

  

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 31 juillet 2018

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