Traitement immédiat urgent au début de la maladie COVID-19. Ne pas l’appliquer est pénal.

Traitement immédiat urgent au tout début de la maladie COVID-19 ? Que se passe-t-il en Suisse ? Le présent propos a été présenté le 8.7.2020 au quotidien lausannois 24Heures sous forme de lettre de lecteur et n’a pas été publié. Une copie fournie à la RTS (Radio et TV) le 10.7.2020 n’a pas eu plus d’écho; on ne sait pas par QUI et comment le traitement cité ici est bloqué – mais je suis amené à proposer les grands moyens pour mettre fin au bloquage …  Car je suis excédé par les effets de toutes sortes sur notre vie courante – par ce maudit virus – et il y a des morts et des handicapés sévèrement atteints, bientôt dans chaque famille ! C’est inacceptable …

Documentation: 

§ https://www.24heures.ch/jair-bolsonaro-teste-positif-au-covid-19-791648825417   

§ en anglais: https://www.ijidonline.com/article/S1201-9712(20)30534-8/fulltext       en français: https://www.financialafrik.com/2020/07/02/hhydroxychloroquine-une-etude-americaine-qui-change-tout/   

§ https://www.mediterranee-infection.com/epidemie-a-coronavirus-covid-19/   c’est la recette de pharmacie de l’IHU du 22 mars (!) 2020. 

§ Gagner la guerre contre le coronavirus COVID-19

§ Code pénal article 128

 *   *   *  

Quand une personnalité est atteinte de COVID-19, il reçoit un traitement. L’énoncé de ce traitement fait reconnaître celui du Pr. Raoult, dont la recette de pharmacie date du 22 mars 2020 (!); selon les travaux de l’IHU de ce médecin, le traitement efficace est administré d’urgence.  

Les travaux de grands hôpitaux de Detroit, USA, montrent que les patients ont un intérêt vital à suivre ce traitement. Au vu de cette documentation, on pourrait s’attendre aux mesures suivantes en Suisse: 

1. Au moindre soupçon de contamination au virus SRAS-Cov-2, le médecin de famille ordonne un test du patient et de tout son entourage.  

2. Dès cet instant et dans les 36 heures au plus tard, de préférence immédiatement, il ordonne le traitement approprié pour détruire le virus chez le patient. La recette de pharmacie se trouve dans la documentation susmentionnée, Plaquenil ou générique, Azithromycine, utilisés avec les précautions d’usage. 

3. Suivi de chaque patient pour détecter une dérive (circulation, respiratoire, etc.).  

En admettant que ces mesures ne soient pas prises ou soient découragées ou soient interdites aux médecins de famille, le patient sera fondé, ainsi que son entourage si lui-même ne le peut pas, à déposer dès maintenant une plainte pénale selon art.128 CP. 

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Nuls en sciences de base? La note sera très salée !

La gestion générale des trois sujets évoqués ici, a été si insuffisante, que notre Société est tristement menacée d’effondrement. Le pire: par le calcul scientifique, on le voit venir …

Pandémie en 2020

Documentation: Automédication contre la COVID-19 / self-medication Connaissant les caractéristiques mathématiques d’un virus comme SRAS-COV-2, dans l’intérêt des patients il faut privilégier un traitement préventif ou dès les premiers symptômes: on améliore ainsi d’importance la survie des patients, on freine la progression de l’épidémie, en faisant d’entrée toutes les misères possibles au virus. On traite le malade – confiné dans son lit à la maison – on ne l’abandonne pas avec du paracétamol et du thé de tilleul !

C’est pourquoi ne pas évaluer les effets de sprays nasals (et de gargarismes), ne pas en parler, ne pas les vendre en pharmacie – ou vilipender le traitement de l’IHU contre la COVID-19 (qui aurait dû être utilisable par les médecins de famille), sont si nuisibles. La condition, pour interdire ou déconseiller un traitement rapide à large échelle (soi-disant mauvais, pourtant testé et recommandé par une équipe de médecins experts, traitement dont les défauts principaux sont d’être bon marché et français), aurait naturellement été d’en proposer illico au moins un autre applicable immédiatement, avec des prestations équivalentes, mesurables sans biais dans les cohortes choisies pour les tests – on en est très loin; on s’est donc retrouvé SANS traitement initial diligent sur le terrain: adieu la « fin de partie » – le virus a eu le champ libre !

On doit attendre du virus SRAS-COV-2, à supposer qu’un vaccin fonctionne en partie, pour la suite au mieux à un comportement proche de celui de la grippe, au pire au retour d’une autre vague destructrice.

Les tests cliniques dans de grands hôpitaux, de l’efficacité de molécules anti-virus, ont présenté presque tous une caractéristique commune, un défaut de schéma hautement critiquable: les gens hospitalisés pour la plupart étaient gravement atteints, avaient dépassé la phase d’apparition de symptômes bien visibles: ils avaient attendu trop longtemps, le virus avait eu le temps de se multiplier massivement; ils avaient déjà subi de gros dégâts dûs au virus ou avaient été victimes de surinfections; quel sens attribuer à ces tests médicaux déraisonnables ?

Il faudra à notre bon peuple beaucoup de chance pour sortir indemne de l’actuel cafouillage vaudois, suisse et international; en tout cas, pour le moment en Suisse, en plus des handicapés et des morts, les dégâts économiques gigantesques ont bien fait comprendre à tous ce que peut coûter une épidémie avec un microbe nouveau.  

CO2 et climat global

Documentation: Le canular du siècle, son petit nom: CO2 …  du 1.1.2019. Ne sachant pas lire un rapport de physique, ayant une formation nulle ou des plus rudimentaires dans cette science de base, la Société a gobé des sottises aussi énormes que le soi-disant « effet de serre » du CO2 et du méthane CH4. 

Se cachant derrière une alléguée exigence de publier les travaux de physique dans des revues spécialisées (à comité de lecture – chères et élitistes), on trouve des journalistes dits scientifiques ou des universitaires bardés de diplômes, confirmant par cette exigence préalable leur incapacité à lire les travaux scientifiques publiés sur le CO2 par le Pr. Reinhart ! Travaux de physique pourtant assez simples et basiques à comprendre, en optique IR et surtout en thermodynamique.

La Société utilise donc des croyances, aussi invraisemblables qu’une influence de l’humanité sur le climat, qui ferait soi-disant monter la température moyenne du Globe de plusieurs °C (!). On a donc légiféré sur le CO2; il en résulte des contraintes abusives, sans aucun fondement scientifique (réclamées à grands cris par des manifestants passionnés, avec large publicité de journalistes irresponsables), des impôts et des taxes tout aussi infondés … C’est dire, nos ressources galvaudées et la Société suisse (mais pas seulement elle) égarée dans des efforts dénués de sens, quelle plongée économique et technique traumatisante l’attend.

Transition énergétique

Documentation: Naufrage programmé de la nouvelle loi LEne   de mars 2017. Ne sachant pas mieux calculer un système énergétique, qu’évaluer les gaz atmosphériques, la Société a pris les décisions des plus farfelues à propos d’électricité; n’ayant pas compris ce qu’est un facteur de charges, ELLE ne sait pas faire la différence entre une puissance et une capacité de production présente à temps; trompée sur les dangers réels de la radioactivité, ELLE s’est lancée dans l’interdiction arbitraire de construction d’usines nucléaires et dans leur indispensable remplacement par des sources d’énergies renouvelables techniquement inadéquates (opération donc ruineuse et vouée à l’échec). L’Allemagne par exemple, prise à la gorge du fait de ses installations solaires et éoliennes gigantesques, le prix de son électricité envolé au double, s’est sauvée tant bien que mal avec de grandes et nombreuses usines à charbon … que la Suisse n’a pas.

La sécheresse installée en Europe pourrait bien avoir pour origine la masse des éoliennes: cet effet secondaire des plus contrariants, aux effets naturels catastrophiques, n’a pas été quantifié …

La Société se trouve ainsi dans une impasse énergétique: les effets dangereux en vont se manifester dans un futur beaucoup plus proche que 2050; en électricité, la punition en Suisse sera à l’improviste, surtout en période de forte consommation, la survenue de « black-outs » (plusieurs jours sans courant en plein hiver, par exemple !): cela pourra arriver quand les pays voisins auront eux-mêmes des trous dans leur production.

Actuellement, en Suisse on ne construit que très peu de maisons 100% solaires; on multiplie les bâtiments à toits plats, extrêmement vulnérables à des tempêtes de neige et de glace exceptionnelles. Le problème du chauffage sans énergies fossiles est donc très loin d’être résolu (50% de la consommation globale d’énergie suisse, qui sont essentiellement couverts par des importations): quelle pagaille !

Le Gouffre

Le dénominateur commun de ces trois affaires mal gérées, dont les pertes vont se chiffrer en centaines de milliards de CHF: le refus de la Société d’écouter de vieux scientifiques ou de vieux experts médecins, plongée qu’elle est dans un océan d’incompétences en physique et en mathématiques; même les plus beaux navires, mal pilotés peuvent couler:         2020-05-27-titanic-1912

Naufrage du Titanic en 1912, étrave vers 3’800 m de fond  / Source: courriel de National Geographic, 25 mai 2020, photo en 2019.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 27 mai 2020, rév. 11.12.2020

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Climat et CO2 – Argumentaire pour climato-réalistes

C’est avec grand plaisir que j’ai découvert un auteur scientifique, qui comme moi trouvait bizarre, la soi-disant faculté de l’humanité à influencer le climat global; qui s’interrogeait sur les soi-disant propriétés de certains gaz, en microscopiques traces dans l’atmosphère, à piloter cet étonnant effet. 

Or dès les premiers calculs en physique, on est saisi de doutes; qui se confirment, quand on en vient à estimer le maximum atteignable par ces propriétés: ni le CO2, ni le méthane, ni aucune des grosses molécules de l’air ne permettent en réalité d’effet de serre appréciable (moins de 0.12°C); l’équation de transfert radiatif numérisée en minimise donc l’hypothèse, cependant que l’application de l’équation des gaz parfaits à notre troposphère la détruit … Par un autre chemin, l’auteur a compris combien l’humanité a peu de pouvoir sur Terre.

Je ne résiste pas au plaisir de fournir au lecteur, comme apéritif, un extrait des plus savoureux, à propos des sautes naturelles de températures du climat suisse, observées à Zermatt. 

L’éditeur, Colombier (VD), le 18 mai 2020

Biographie de l’auteur: 

  •   Formation: ingénieur électricien EPUL
  •   Puis informaticien
  •   Enfin administrateur.
  •   Climatologie: a participé à la première grande étude climatologique faite à l’EPFL (années 1980: projet CLIMOD, impact des centrales nucléaires sur le climat; cet impact s’est révélé quasi-nul).
  •   Scientifique retraité et climato-réaliste

Manuscrit (21 pages)Petit argumentaire pour climato-réalistes (.pdf)

Extrait promis: « …

Le pèlerinage des Zermattois:

Au XIIIe siècle, l’évêque de Sion avait imposé aux Zermattois un pèlerinage annuel à l’église de Valère à Sion. A pied, bien entendu (en été – début automne, car sans neige sur le chemin). Pour expier quelque forfait (non documenté à ce jour)? Ce n’est pas toute la population qui devait pèleriner ainsi, mais une délégation de notables (10 à 20 personnes).

Or, avec les températures actuelles et les équipements de marche de l’époque (chaussures à semelles en cuir durci ou en bois, pas de crampons à glace, pas de piolets), quel était l’itinéraire pédestre le plus court de Zermatt à Sion? Descendre la vallée de la Viège jusqu’à Viège, puis celle du Rhône jusqu’à Sion. C’était long: 3 jours (en se levant tôt, marchant d’un bon pas et s’arrêtant tard); ajoutons un jour à Sion pour faire ses dévotions et se reposer, puis les 3 jours du retour: en tout, une semaine!

Mais il y a un itinéraire pédestre plus court: partir de Zermatt vers l’Ouest (sur la moraine du glacier de Zmutt) jusqu’à la cabane actuelle de Schönbiel, puis monter au Nord jusqu’au col d’Hérens, enfin descendre le val d’Hérens: 2 jours seulement (en quittant Zermatt aux aurores!). Donc pèlerinage raccourci à 5 jours. « Halte là! » direz-vous: « le col d’Hérens est à 3458 m d’altitude et complètement englacé, même en plein été; et pas moyen de contourner son glacier (glacier de Ferpècle): il barre tout le col et ses deux flancs butent sur des parois à pic! Avec leurs équipements de marche du XIIIe siècle, les Zermattois n’auraient jamais pu le franchir (glace vive car plus de neige en été-automne) … Et pourtant, les Zermattois franchissaient ce col; c’est documenté! Seule explication possible: au XIIIe siècle, le col d’Hérens n’était pas englacé. Donc le glacier de Ferpècle ne descendait pas au-dessous de 3400 m (altitude du col actuel englacé moins quelques dizaines de m de glace). Et quelle est l’altitude actuelle de la pointe du glacier de Ferpècle? 2300 m. Différence en m d’altitude: 1100 m. Différence en °C: 1100 m/ 400 m/°C = + 2,75 °C au XIIIe siècle. 

Pour les amateurs d’histoire: au début du XIVe siècle (années 1310), il y a eu un refroidissement climatique fort et rapide. Le glacier de Ferpècle a avancé et barré le col d’Hérens (comme maintenant). Les Zermattois ont écrit à l’évêque qu’ils ne pouvaient plus passer. Ils espéraient qu’il supprimerait leur pèlerinage, mais Monseigneur ne l’entendait pas de cette oreille. Il leur a répondu en substance: « En attendant que le glacier recule assez, vous ferez le pèlerinage par Viège. Mais comme il est plus long, vous ne le ferez qu’un an sur deux. » Le pèlerinage n’a été supprimé qu’en… 1666!     

Jean-Daniel Gousenberg, Ecublens,  janvier 2020 …» 

Table des matières

§  Introduction

§  Evaluer les données quantifiables dans leur contexte: le poids du CO2 dans toute l’atmosphère

§  … (bis): le poids du CO2 dans les gaz à effet de serre

§  Tenir compte de toutes les causes de modifications climatiques et du poids relatif de l’impact de chacune

  •   Variations du rayonnement thermique du soleil
  •   Eruptions volcaniques
  •   – Variations des courants marin

§  Evaluer objectivement la qualité et la fiabilité des modèles prévisionnels en usage

§  Tenir compte de l’histoire du climat, même ancienne

§  L’optimum médiéval

§  Evolutions « températures vs. CO2 » au XXe siècle: vous avez dit « Bizarre »?

§  Pause pour lier la gerbe

§  Mais alors, pourquoi la doctrine des climato-catastrophistes domine-t-elle tant le débat (au point qu’on peut l’appeler « pensée unique »)?

§  De l’espoir…

§  …mais les mesures erronées ont la vie dure

  •   L’heure d’été
  •   L’interdiction des CFC (Chloro-Fluoro-Carbones)
  •   La « mort des forêts »

§  Economie: l’art de se tirer une balle dans le pied

§  L’espoir viendra-t-il d’outre-Atlantique?

  Annexe 1: Pour en savoir plus: mini-bibliographie et « webographie »

  Annexe 2: Preuves valaisannes de l’optimum médiéval: 3 degrés de plus que maintenant au XIIIe siècle

  •   Les vignes (au 13ème siècle, limite 1’500 m d’altitude)
  •   Le seigle cultivé jusqu’à 2000 m (ex. les terrasses de Chemeuille)
  •   Le tronc d’arole du glacier du Gorner (sous le Mont Rose)
  •   Les pâturages (alpages): …Leur limite au 13ème siècle: 3000 m.
  •   Le pèlerinage des Zermattois
  •   La viande fraîche pour les Valdôtains

Annexe 3: Les cycles de Milankovic

Annexe 4: « Le GIEC a toujours raison »: La « noyade » des Tuvalu

Annexe 5: Retour au CO2: aimez-vous le camembert?

L’éditeur, Colombier (VD), le 18 mai 2020

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Climat – l’urgence est infondée …

Le quotidien 24Heures a publié le mardi 10 mars 2020 la lettre de lecteur que je lui avais adressée une semaine auparavant. En rouge, les parties modifiées ou ajoutées.

Titre: Les émissions de CO2.

[La présente fait suite à la lettre de lecteur du mardi 3 mars 2020 dans 24 Heures en page 18,  de Mme Christine Moichon. ] A propos de  la lettre de lecteur de Mme Christine Moichon intitulée «Climat – Face à l’urgence: abdication ou rébellion?» («24 Heures» du 3 mars 2020).

Par suite de travaux scientifiques à propos de CO2, un vétéran des sciences physiques de l’EPFL, le Pr. Franz-Karl Reinharta découvert qu’il n’y a en réalité qu’une interaction microscopique entre la chaleur du sol (source chaude) et l’atmosphère le contenant en traces. Cela veut dire que le CO2 ne provoque pas par sa présence de réchauffement climatique global; cela veut aussi dire que toutes les émissions de gaz divers, comme le CO2 ou le méthane, ne sont pas capables de provoquer un effet de serre dans notre atmosphère (densité trop grande pour cela). Le CO2 est un traceur de la chaleur globale, à l’échelle de temps géologique, en principe à retardement: mais il ne la provoque pas. 

Les traités, les COP, les spectaculaires déclarations « d’urgence climatique »  et notre loi sur le CO2 en sont rendus scientifiquement infondés: à quand leur disparition officielle ? 

Il n’y a donc pas d’urgence à freiner nos émissions de gaz à soi-disant effet de serre: le GIEC, nos Autorités et tous ceux qui s’agitent autour de la croyance à l’urgence climatique n’ont pas su – ou pas voulu – prendre connaissance de ces travaux, publiés dès 2014. Les manifestations et les rébellions en ont aussi perdu tout fondement: il n‘y a pas lieu d’en tolérer un quelconque désordre public.

André Bovay-Rohr, physicien, Colombier, le 10.3.2020

Commentaires

L’auteur a reçu une lettre et un téléphone de deux lecteurs, en substance soulagés de constater que quelqu’un osait « dire ce qui en est » !

L’éditeur, le 12.3.2020

Le quotidien 24Heures a publié le 19 mars une lettre sous le titre « Réchauffement / Peut-on être climato-sceptique?« , d’un lecteur qui croit encore que les gens du GIEC sont des scientifiques, « …qui… imputent le réchauffement à raison de 99% à l’activité humaine …« ; d’autre part sa conclusion: « … Nier le lien de causalité entre les rejets de gaz à effet de serre dus à notre civilisation et le réchauffement, c’est nier l’évidence et c’est vraiment stupide » montre impoliment qu’il n’a pas lu le travail scientifique démontrant que l’effet de serre n’existe pas ici-bas. Cette critique est scientifiquement parlant nulle et c’est bien dommage qu’elle ait reçu place dans ce journal.  

Le quotidien 24Heures a publié le 24 mars une lettre sous le titre « Climat / Les émissions de CO2 » d’une lectrice qui a cité, vraisemblablement sans les lire, à tort et à travers les travaux du Pr. Reinhart et de M. Keller; elle n’a donc pas compris que l’effet de serre n’existe pas ici-bas; d’autre part elle n’a pas compris que les justifications scientifiques des actions des Grands-Parents pour le climat (dont semble-t-il elle fait partie) ont disparu, tout comme celles de la loi sur le CO2. Là où sa critique s’égare, c’est en me prêtant des intentions gaspilleuses d’essence ou d’indifférence envers la pollution. Cette critique est scientifiquement parlant nulle et c’est bien dommage qu’elle ait reçu place dans ce journal.  

L’éditeur, le 27.3.2020

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CO2, CH4, … Méthode scientifique en échec

Date: 22 janvier 2020 01:10:18 UTC+1

À: « Prof. Seneviratne Sonia » <sonia.seneviratne@ethz.ch>, « Prof. Rebetez Martine » <martine.rebetez@unine.ch>, « Prof. Alexis Berne » <alexis.berne@epfl.ch>, « Prof. Philippe Thalmann » <philippe.thalmann@epfl.ch>, « Prof. Samuel Jaccard » <samuel.jaccard@geo.unibe.ch>, « Prof. Thomas Stocker » <thomas.stocker@climate.unibe.ch>, « Prof. Nicolas Gruber » <nicolas.gruber@env.ethz.ch>, « Prof. Reto Knutti » <reto.knutti@env.ethz.ch>, « Prof. Christoph Schär » <schaer@env.ethz.ch>, « Dir. IAC Prof. Dr. Wernli » <heini.wernli@env.ethz.ch>, « Dr. Augustin Fragnière » <Augustin.Fragniere@unil.ch>

Copies: « Prof. Suzette Sandoz » <Suzette.Sandoz@unil.ch>, Prof. Franz-Karl Reinhart, « Prof. JACQUOT Pierre » <pierre.jacquot@epfl.ch>, « Prof. Masson-Delmotte Valérie » <valerie.masson@lsce.ipsl.fr>, « Prof. Dufresne Jean-Louis » <jean-louis.dufresne@lmd.jussieu.fr>, Prof. Jean-Claude Pont, info.dubochet@unil.ch, daniel.pillard@ringieraxelspringer.ch, sbg@letemps.ch, gael.hurlimann@letemps.ch, sciences@letemps.ch

Le présent message est public

Destinataires: Les auteurs de l’article dans le Temps on-line du 21.1.2020 de titre «Le débat sur le CO2 est clos: réponse à Mme Sandoz» à savoir les signataires: 

  •  Dr. Augustin Fragnière, Université de Lausanne
  •  Prof. Alexis Berne, EPFL 
  •  Prof. Samuel Jaccard, Université de Berne 
  •  Prof. Martine Rebetez, Université de Neuchâtel 
  •  Prof. Sonia Seneviratne, ETH Zürich 
  •  Prof. Nicolas Gruber, ETH Zürich 
  •  Prof. Reto Knutti, ETH Zürich
  •  Prof. Christoph Schär, ETH Zürich
  •  Prof. Thomas Stocker, Université de Berne
  •  Prof. Philippe Thalmann, EPFL
  •  Prof. Heini Wernli, ETH Zürich 

Mme la Professeure,  M. le Professeur, 

Citation de l’article susmentionné: « … Les fondements physiques de l’effet de serre, à savoir le fait que le CO2 et d’autres gaz présents dans l’atmosphère piègent une partie de la chaleur qui s’échappe de la Terre vers l’espace, sont connus depuis le milieu du XIXe siècle. Il n’y a là aucun mystère et c’est un phénomène physique très bien compris. Les premières mentions d’un possible réchauffement du climat dû aux activités industrielles datent d’un article de 1896 du Prix Nobel de chimie Svante Arrhenius. Les mesures systématiques de la concentration de CO2 dans l’atmosphère ont commencé en 1958 et les reconstitutions sur la base des carottages glaciaires permettent de remonter à des centaines de milliers d’années. …» 

Elle prouve que le phénomène physique a été déterminé par corrélations – et pas calculé de manière directeA l’époque où cette détermination a été faite et par la suite utilisée pour conforter des conclusions, on ne disposait pas des outils de simulations numériques nécessaires: je n’ai pas connaissance que des scientifiques les ait utilisés il y a plus de 20 ans. Par malheur, il se trouve que le dit « effet de serre », tel qu’il est défini en physique, par exemple par le Prof. Dufresne, ne se vérifie pas, dès qu’on le décortique en simulations numériques, comme le Prof. Reinhart l’a publié en 2014. 

Il y a eu erreur de méthode en physique: en climatologie est utilisée la concentration en CO2 et CH4 (entre autres) comme catalyseurs de réchauffement; or l’intensité calculée en simulation numérique est microscopique: pas d’effet de serre possible. La loi des gaz parfaits s’applique rigoureusement, dans la troposphère où nous vivons. 

Ce n’est pas une catastrophe – ce n’est pas la première fois en sciences qu’une grande cohorte de savants se serait trompée … 

Le besoin de publier ces faits vient de l’usage qui a été fait de ces données: comme l’effet de serre dû aux gaz à plus de 2 atomes n’existe pas, il convient de changer de méthode scientifique: cette erreur est en train de nous entraîner dans un désastre civil. 

  1. L’urgence qu’il y a à réduire nos émissions de CO2 et de CH4, entre autres, en est invalidée – si l’on croyait freiner le  réchauffement climatique global. 
  2. Le traité de Paris en perd sa substance. 
  3. Nos Autorités ont légiféré sur le CO2 de manière devenue infondée – bien qu’elles aient été averties du problème.  

Devant l’importance de l’affaire, il me semble que la moindre des choses serait de se (re)pencher sur le problème du CO2 en physique (ce que j’ai suggéré hier au GIEC, voir la documentation). 

Meilleures salutations.

André Bovay-Rohr, Physicien 

  *   *   *

Bibliographie:   

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Suggestion au GIEC: calculs à (re) faire sur CO2 et CH4

Date: 20 janvier 2020 13:00:53 UTC+1

À: « Prof. Masson-Delmotte Valérie » <valerie.masson@lsce.ipsl.fr>

Copies: « Conseiller fédéral M. Guy Parmelin » <info@gs-wbf.admin.ch>, recteur@unige.ch, presidence@epfl.ch, « ETHZ, President » <joel.mesot@sl.ethz.ch>, wilfran.moufouma-okia@universite-paris-saclay.fr, « Prof. Dufresne Jean-Louis » <jean-louis.dufresne@lmd.jussieu.fr>, « Prof. Seneviratne Sonia » <sonia.seneviratne@ethz.ch>, Prof. REINHART Franz-Karl, « Prof. JACQUOT Pierre » <pierre.jacquot@epfl.ch>, « Prof. Suzette Sandoz » <Suzette.Sandoz@unil.ch>, Prof. Jean-Claude Pont 

Destinataire: GIEC   Le présent message est public

Madame la Présidente, 

La présente fait suite au document, de désignation complète: 

«GIEC   Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat,

Réchauffement planétaire de 1,5 °C Rapport spécial du GIEC sur les conséquences d’un réchauffement planétaire de 1,5 °C par rapport aux niveaux préindustriels et les trajectoires associées d’émissions mondiales de gaz à effet de serre, dans le contexte du renforcement de la parade mondiale au changement climatique, du développement durable et de la lutte contre la pauvreté   Résumé à l’intention des décideurs» 

auteurs dont vous êtes Co-présidente. Lien:    https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/sites/2/2019/09/IPCC-Special-Report-1.5-SPM_fr.pdf   

Le constat est sévère: le document se fonde sur des travaux sur le CO2 et autres gaz à molécules de plus de deux atomes, qui datent largement d’avant le 21ème siècle. Les calculs sont à (re)faire avec les méthodes récentes de physique quantique, en tenant compte pour la troposphère des 3 mécanismes d’évacuation de chaleur (convection, conduction et infrarouges IR). Ceci fait, vous devriez constater, comme le Pr. Reinhart avant 2014, que les interactions entre CO2 et IR sont extrêmement faibles; comme de surcroît l’influence du CO2 en conduction est également extrêmement faible, du fait de sa très basse concentration, qu’en convection il participe au même titre que les autres gaz (l’équation des gaz parfaits s’applique), en troposphère le CO2 n’a pratiquement pas d’influence particulière – l’effet de serre y est à oublier

Quant à ce qui se passe au-dessus de la troposphère, on doit vérifier si les rayonnements IR sont susceptibles de s’ajouter à la source chaude au sol (effet des rayonnements ayant franchi les fenêtres optiques); d’après ce qu’on sait de l’astrophysique, l’atmosphère est opaque aux IR, donc ce n’est pas le cas – et donc les infimes traces de CO2 qui s’y trouvent vont être détectables par un satellite depuis l’espace, mais pas modifier d’importance l’évacuation vers l’espace de la chaleur du sol. Tout ceci est mesurable et doit donc être contrôlé avec précision. 

Il s’agit donc de physique – et non de climatologie – mais on ne peut pas laisser continuer à accuser CO2 (et CH4) de jouer un rôle dans un réchauffement de l’atmosphère, ce que le calcul des effets directs IR/CO2 interdit largement. 

Je suggère donc de constituer un groupe de physiciens, de reprendre les calculs avec des outils modernes, comme le savant physicien vaudois l’a fait pendant sa retraite. 

Liquider dans l’opinion les conclusions alarmistes et fantaisistes sur les responsabilités de l’humanité à propos de gaz à soi-disant effet de serre devient important – le désordre généré par cette erreur scientifique est croissant, même dans la paisible Suisse, ce qui va perturber violemment toute la Société, Universités et Ecoles polytechniques y compris. 

Meilleures salutations.

André Bovay-Rohr, Physicien

==================== 

Documentation Blog scientifique suisse indépendant « Toutes les énergies » sur internet, mot-clé « CO2 » 

Rév.: éditeur, 23.4.2021

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Arrêt de Mühleberg – la sottise du siècle

Communiqué 

Copie: Mme la Présidente Simonetta Sommaruga

Le 20 décembre 2019, au solstice d’hiver, dans 4 jours, est prévu l’arrêt de la centrale nucléaire de Mühleberg, la plus petite des centrales nucléaires de Suisse. Or les sources d’électricité comme panneaux photovoltaïques et éoliennes, à productions intermittentes, ne conviennent pas pour la remplacer, quels que soient leur nombre ou leur puissance; c’est un fait connu par le calcul et documenté depuis des années, contrairement à des propos répétés publiquement: la stratégie énergétique officielle n’a hélas aucune chance de fonctionner … Or pour construire une nouvelle centrale, après avoir surmonté la peur et les obstacles, il faudra au mieux dans les 10 ans. 

Pour avoir volontairement ignoré ces contraintes, il y aura pour les consommateurs une terrible punition durable: comme le remplacement se fera par des importations, généralement aux plus mauvais moments de l’hiver – les pays voisins ou européens n’étant pas au mieux de leur forme, avec leurs vieilles sources d’électricité – il s’ensuivra des coupures de courant prolongées (connues aussi sous le nom de «black-outs»)Il faudra beaucoup de chance, de mauvaises saisons très clémentes, pour y échapper … 

Ce n’est pas exactement la sécurité d’approvisionnement que nous garantit la législation !      *   *   *

Bibliographie jointe: 

Remplacer Mühleberg nucléaire ? Exclu !

Détruire sans peur les déchets nucléaires ! 

Ont reçu ce communiqué ce jour: 

Chancellerie fédérale (pour la Présidente de la Confédération)- a accusé réception, Office fédéral de l’énergie, Etat de Vaud (Direction de l’énergie DGE-DIREN), Commune d’Echichens.

Presse: 24Heures, Le Temps, le TJ de la RTS, Le Matin (internet), 20 Minutes, Journal de Morges, ATS

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 16 décembre 2019

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Effet de serre. Ecroulement de sa théorie physique.

La réfutabilité a été introduite dès 1934 par Karl Popper en épistémologie, permettant d’établir une démarcation entre les théories scientifiques et celles qui ne le sont pas. Une affirmation est dite réfutable si sa forme logique est telle qu’il est possible de tester son éventuelle fausseté par une expérimentation: c’est ce qui va être fait ici.

Quand une telle démonstration prend 6 lignes (comme ici, en physique de base), il n’y a pas lieu de lancer de grandes publications à comité de lecture …

Dans un gaz comme l’atmosphère terrestre, il y a concurrence entre deux procédés pour échanger de l’énergie: par émission-réception de photons ou par collision; dans un gaz respectant la loi des gaz parfaits, il y a domination quasi-totale du procédé par collisions (les molécules ou les atomes échangent très rapidement leur énergie, jusqu’à atteindre la température T et la pression P permettant l’application de l’équation).

Le concept d’effet de serre suppose que de l’énergie parvenue jusqu’au sol (source chaude) peut être transformée en rayonnements infrarouges IR, photons absorbés par des « gaz dits à effet de serre » comme le CO2, situés dans l’atmosphère au-dessus, IR réémis et ensuite capables de s’ajouter en partie à la source chaude initiale (rayonnement solaire absorbé par le sol). Définition en physique de l’effet de serre, citation (orthographe rectifiée):

   • C’est une interprétation des résultats obtenus en résolvant l’équation de transfert radiatif. • Lorsque le milieu est optiquement épais, on doit raisonner en altitude d’émission • Un accroissement de CO2 ne modifie pas directement les flux en surface, mais augmente l’altitude d’émission, diminue le refroidissement de l’atmosphère ce qui finit par réchauffer la surface.   (Prof. Jean-Louis Dufresne, Rabat, 27 mars 2017 ).

On est en présence d’une erreur de raisonnement: la réémission IR (soi-disant en partie vers le bas) va être entravée dans toute la partie de l’atmosphère répondant aux conditions de l’équation des gaz parfaits; les bilans énergétiques ne sont pas modifiés, mais bien les bilans attribués aux IR, au profit des bilans de chaleur, qui va être évacuée systématiquement vers le haut de la troposphère, entre autres par la très vigoureuse conduction. 

Expérimentation (par simulation): Le calcul de l’effet des IR générés par un sol à 288°K, sur une atmosphère à contenu variable en CO2, montre que l’augmentation de 280 à 400 ppmv génère une absorption de l’énergie de ces IR, correspondant à un échauffement de moins de 0.12°K; on aura donc un très léger transfert de chaleur par IR plutôt que par conduction.

C’était en 2014 l’écroulement de l’idée d’un effet de serre possible: il n’y a pas assez de l’énergie nécessaire pour justifier des degrés de réchauffement climatique, ni de phénomène physique capable de transferts importants (source de chaleur secondaire à la source chaude) vers le bas; ce qui a démontré que toute cette théorie n’a rien de scientifique … l’effet de serre est une invention.

C’est le fondement de toute la théorie prétendant que le CO2 contribue d’importance à un réchauffement climatique qui s’est écroulé en 2014, de même c’est le fondement de toute prétention à l’efficacité de la « lutte pour le climat » par limitation des émissions de CO2 qui s’est écroulé. 

Bibliographie

La Terre est une planète – pas une serre !

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 24 mars 2019

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De la responsabilité qu’il y a à combattre une escroquerie

De source scientifique sûre, on sait depuis 2014 que le CO2 n’a pratiquement aucun effet de serre, donc pas de rôle dans un réchauffement global, dans l’évolution du climat: ainsi commençait l’article précédent « Le canular du siècle, son petit nom: CO2 … »; on pouvait donc penser à une sorte de farce scientifique. En réalité, compte tenu des enjeux politiques, financiers et techniques de cette affaire, on s’aperçoit qu’il y a lieu de voir dans le code pénal suisse comment on punit en Suisse ceux qui utilisent des données fausses, pour en tirer profit. Citations du code pénal, RS 311.0 (les liens permettent de recourir au texte original sur internet, qui fait légalement foi):

§ Dans les dispositions générales:

Art. 13 2. Intention et négligence / Erreur sur les faits

Erreur sur les faits

1 Quiconque agit sous l’influence d’une appréciation erronée des faits est jugé d’après cette appréciation si elle lui est favorable.

2 Quiconque pouvait éviter l’erreur en usant des précautions voulues est punissable pour négligence si la loi réprime son acte comme infraction de négligence.

§ Art. 28 6. Punissabilité des médias

6. Punissabilité des médias

1 Lorsqu’une infraction a été commise et consommée sous forme de publication par un média, l’auteur est seul punissable, sous réserve des dispositions suivantes.

2 Si l’auteur ne peut être découvert ou qu’il ne peut être traduit en Suisse devant un tribunal, le rédacteur responsable est punissable en vertu de l’art. 322bis. A défaut de rédacteur, la personne responsable de la publication en cause est punissable en vertu de ce même article.

3 Si la publication a eu lieu à l’insu de l’auteur ou contre sa volonté, le rédacteur ou, à défaut, la personne responsable de la publication, est punissable comme auteur de l’infraction.

4 L’auteur d’un compte rendu véridique de débats publics ou de déclarations officielles d’une autorité n’encourt aucune peine.

§ Art. 146 1. Infractions contre le patrimoine / Escroquerie

Escroquerie

1 Celui qui, dans le dessein de se procurer ou de procurer à un tiers un enrichissement illégitime, aura astucieusement induit en erreur une personne par des affirmations fallacieuses ou par la dissimulation de faits vrais ou l’aura astucieusement confortée dans son erreur et aura de la sorte déterminé la victime à des actes préjudiciables à ses intérêts pécuniaires ou à ceux d’un tiers sera puni d’une peine privative de liberté de cinq ans au plus ou d’une peine pécuniaire.

  *   *   *

On doit donc se poser la question: quelle est la qualification de données scientifiques trouvées par des savants suisses, quel que soit le cadre dans lequel elles ont été élaborées? L’obstination du monde politique à ne pas en tenir compte, du monde universitaire et des hautes écoles à les ignorer, est non seulement vexante, mais elle pose surtout des questions sur leur compétence et sur leur probité: les méthodes ayant permis la découverte de l’inexistence de l’effet de serre sont à portée de tout physicien ayant assimilé les lois sur la cinétique des gaz et sur l’équation des gaz parfaits; cela implique l’usage d’éléments et de données de physique quantique et de thermodynamique bien connus. Il n’y a absolument pas nécessité de passer par des publications scientifiques commerciales et leurs comités de lecture, connues pour leurs coûts et leurs délais, pour établir des faits déduits de science établie.

Les Autorités, les médias, la presse et toute personne qui recourt à des données scientifiquement fausses s’expose donc en Suisse aux foudres des articles du code pénal précités, si l’usage de ces données mène à exiger des modifications de lois ou de règlements, à exiger des taxes, à exiger de manière générale des mesures ayant des effets pécuniaires sur les victimes de ces procédés. C’est bien le cas, hélas … De QUI est-ce la responsabilité de combattre efficacement cette escroquerie ?

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 2 février 2019

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Le canular du siècle, son petit nom: CO2  …

De source scientifique sûre [1], on sait depuis 2014 que le CO2 n’a pratiquement aucun effet de serre, donc pas de rôle dans un réchauffement global, dans l’évolution du climat: la Nature ne fonctionne pas, comme doctement rapporté avec persévérance par les climatologues de l’ONU. La Planète survivra – même avec encore plus de CO2 mis dans l’atmosphère par l’humanité !

Pourquoi se risquer à parler dès le 1er janvier 2019 de ce gaz autrement qu’en sciences? Pour éviter l’instauration, la Société ayant pris au sérieux cette mystification, d’une tyrannie croissante.

§ Êtes-vous de bonnes poires du canular du siècle sur le CO2 – ou simplement des victimes, ou des témoins muets – ou des complices intéressés, des prédateurs, ou des auteurs ? Comment qualifier ceux qui devraient en principe savoir lire de la physique, reconnaître le canular – et pourtant sont une foule à parler de l’urgence qu’il y aurait à décarboner ? Incompétents ou pervers ? Journalistes échotiers sans véritable culture scientifique ou experts en désinformation ? Dirigeants opportunistes, gestionnaires déloyaux ou escrocs de haut vol ? Que faire pour stopper la gigantesque escroquerie internationale du siècle, à base de CO2 ? Celle de Bernard Madoff était minuscule, à côté !  Se méfier des bons apôtres en faveur de la planète: à chaque fois que leurs prêches, fondés sur le dit canular du siècle, sont accompagnés de millions ou de milliards de soi-disants investissements ou de subventions, vous chaussez les souliers des bonnes poires [2] …

… ses effets:

§ Economiser des combustibles ou des carburants fossiles est évidemment sensé, car ils ne sont que très lentement renouvelables; mais taxer le CO2 en se référant au canular du siècle (!): autant avoir le courage d’appeler ça un impôt supplémentaire. Interdire l’usage d’électricité pour se chauffer, de charbon, de pétrole ou de gaz est abusif, dans la mesure où les moyens de les remplacer ne peuvent pas ou ne sont volontairement pas utilisés; exemple au village: l’exploitation-alibi de la chaleur solaire pour des bâtiments neufs (pas accumulée pour l’hiver) – et l’oubli du froid hivernal (pas accumulé pour l’été) – à Echichens [3] !

§ Songer à une transition énergétique semble raisonnable – une fois la réflexion débarrassée du canular du CO2; mais il y a tous les effets secondaires nocifs, comme par exemple la chute prévisible du niveau de l’électricité actuelle (en Suisse à ~ 60% dans le meilleur des cas) et de la sécurité des approvisionnements – ou les effets (pas étudiés) des éoliennes sur la météo, dont la sécheresse [4]. Il y a aussi la baisse de qualité des sources d’électricité: se méfier des sources intermittentes, aléatoires, non pilotables; le calcul de leurs coûts doivent comprendre ceux des black-outs [5] qu’on leur devra et aussi ceux des usines à gaz de remplacement …

§ Seule une petite minorité pourra bénéficier de chauffages à pompe à chaleur ou de véhicules électriques – à cause de la rareté prévisible inopportune du courant et de la cherté inévitable des batteries … Mais à cause du canular du siècle, l’industrie automobile s’est lancée tête baissée dans des développements (par milliards d’€ ou de $) de véhicules électriques.

… et le verrouillage des moyens de sauvetage:

§ Se méfier des ennemis du nucléaire: ils sont en conflits d’intérêts (les plus fervents sont financés par des énergies concurrentes); or les dangers de la radioactivité sont maîtrisables: les invoquer est donc tromperie [6], autant que la soi-disant durabilité des déchets – qu’on sait exploiter ou détruire quand on s’en donne la peine; il y a plus de 20 ans qu’on saurait  le faire [7].

§ Mais pour s’y lancer, il ne faut pas installer durablement de très populaires ministres de l’énergie, socialistes ou sans formation scientifique … En plus d’une sotte « sortie du nucléaire », ces dirigeants ne savent manifestement pas faire la différence entre une vraie transition énergétique et une impasse.

Bibliographie

1. Travaux du Pr. Franz-Karl Reinhart, physicien. Biographie:  CO2, une chimère climatique   Textes:    CO2 et effet de serre

2. Subventions 2017 aux énergies renouvelables en Suisse; voir la Bibliographie. Toutes les installations n’ayant pas été listées, c’est beaucoup plus que 577 millions CHF …

3. Loi cantonale sur l’énergie, bafouée à Echichens; comment forcer les gens à se chauffer au gaz …

4. Réchauffement et sécheresse provoqués par les éoliennes.

5. Black-out en Australie du Sud.

6. Fraude en 1946 (à propos de radioactivité) du Prix Nobel Hermann Joseph Müller. Voir la documentation citée à la fin de l’article.

7. Détruire sans peur les déchets nucléaires.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 1er janvier 2019

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