Gagner la guerre contre le coronavirus COVID-19

// Note du 28.10.2020

STRATEGY

On this date, we are in Switzerland and in the Canton of Vaud in the midst of the catastrophe of an accelerated rise towards a 2nd wave of COVID-19, more ferocious than that of March 2020; it is morally quite hopeless. Now it is a matter of effectively supplementing the very unreliable methods of distancing, quarantining, and confinement – unreliable due to the indiscipline of minorities and the many forgetfulness of everyone …

The really effective method is to find treatments, to pick up on arrival the SARS-COV-2, when the patient has just been contaminated: nasal disinfection, nasal cavities and throat, alias NFNGA ©, are part of the process; do not allow superinfection to set in – and rinse! By not applying this kind of method we will have to endure SARS-COV-2 for an extremely long time, it is so contagious and versatile.

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STRATEGIE

A cette date, nous sommes en Suisse et dans le Canton de Vaud en pleine catastrophe de montée accélérée vers une 2ème vague de la COVID-19, plus féroce que celle de mars 2020; c’est moralement assez désespérant. Il s’agit maintenant de compléter efficacement les très peu fiables méthodes de tenue de distances, de quarantaines et de confinements – peu fiables à cause de l’indiscipline de minorités et d’oublis nombreux de tout le monde …

La méthode vraiment efficace est de trouver des traitements, pour cueillir à l’arrivée le SARS-COV-2, quand le patient vient d’être contaminé: la désinfection nasale, des fosses nasales et de la gorge, alias NFNGA©, en font partie; ne pas laisser s’installer de surinfection et rincer ! A défaut d’appliquer ce genre de méthode, nous allons devoir supporter SARS-COV-2 encore extrêmement longtemps, tellement il est contagieux et versatile. 

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STRATEGIE

Zu diesem Datum befinden wir uns in der Schweiz und im Kanton Waadt inmitten der Katastrophe eines beschleunigten Anstiegs in Richtung einer zweiten Welle von COVID-19, die grausamer ist als die von März 2020; es ist moralisch ziemlich hoffnungslos. Es geht nun darum, die sehr unzuverlässigen Methoden zur Einhaltung von Entfernungen, Quarantänen und Einschränkungen effektiv zu ergänzen – unzuverlässig aufgrund der Disziplinlosigkeit von Minderheiten und der zahlreichen Vergesslichkeit aller …

Die effektivste Methode besteht darin, Behandlungen zu finden, die das SARS-COV-2 bei der Ankunft überraschen, wenn der Patient gerade infiziert wurde: Nasendesinfektion, Nasenhöhlen und Rachen, auch NFNGA © genannt, sind Teil davon; die Superinfektion sich nicht einsetzen lassen und wiederholt spülen! Wenn wir diese Art von Methode nicht anwenden würden, müssten wir damit rechnen, für eine extrem lange Zeit von SARS-COV-2 tyrannisiert werden, so ansteckend und vielseitig ist dieser Virus. 

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André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges

// Fin de note du 28.10.2020

La pandémie dûe au COVID-19 nous a surpris impréparés et désarmés. En Chine, cette maladie a fait beaucoup de malades et beaucoup de morts, mais ils ont trouvé à se défendre – ont trouvé des armes – il faut les imiter et c’est URGENT. 20 mars 2020 

Note du 22 août 2020 – suite des données relatives à l’IHU du 15.6.2020 //

§ Le chef du service des maladies infectieuses de l’IHU Méditerranée, Pr. Philippe Parola, était l’invité de Julien Pasquet le matin du 12.8.2020  sur la chaîne TV CNews   https://www.mediterranee-infection.com/replay-linterview-de-philippe-parola-sur-cnews/          Pr. Philippe Parola interrogé sur CNews le 12.8.2020        !!! activer le haut-parleur 

§ Pr. Didier Raoult, interrogé par Mme Laurence Ferrari le 19.8.2020 sur la chaîne TV CNews   Pr. Raoult interrogé sur CNews le 19.8.2020

 André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges

      // Fin de note du 22 août 2020

Note du 15 juin 2020  //

Stratégie confirmée: il faut traiter, dès le début de la maladie COVID-19 (au coronavirus SRAS-COV-2), si possible le malade quelques jours par l’association d’hydroxychloroquine et d’azithromycine. C’est avec persévérance  – en cherchant à aider nos malades – que j’ai rapporté dans l’esprit et dans les faits, la stratégie à suivre pour obtenir de vaincre la maladie dès son apparition. La documentation venue de l’IHU a confirmé ce que j’en avais compris en temps réel, à ma grande satisfaction.

La source d’informations médicales IHU – Méditerranée Infection /19-21 Boulevard Jean Moulin / 13005 Marseille, s’est révélée de toute première qualité. Documentation de première main, dans l’ordre chronologique, sur elle, sur son action et sur son Directeur: 

§ Toute l’audition de Didier Raoult au Sénat. 26 mai 2010 . Auditionné par la commission d’enquête sénatoriale sur la grippe A, Pr. Didier Raoult avait développé un argumentaire qu’il ne renierait probablement pas aujourd’hui, sur la gestion des risques épidémiques.  https://www.youtube.com/watch?v=tunOxz6Ce0M   1 h 19 min 18 s

§ La France, “un pays de seconde zone” sur les maladies infectieuses ? Pr. Didier Raoult en juin 2012. Lors d’un colloque sur les maladies infectieuses émergentes, organisé par Fabienne Keller, alors sénatrice LR du Bas-Rhin, Didier Raoult était intervenu avec le ton irrévérencieux qu’on lui connaît, pour marteler un message qu’il avait déjà fait passer au ministère de la Santé en 2003 et au Sénat en 2010 : la France est en train de devenir un « pays de seconde zone » dans la lutte contre les maladies infectieuses. https://www.youtube.com/watch?v=H7p5TfbT-ms   17 min 36 s

§ CORONAVIRUS EN CHINE : DOIT-ON SE SENTIR CONCERNÉ ? 23 janvier 2020. Bulletin d’information scientifique de l’IHU. Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection. https://www.mediterranee-infection.com/coronavirus-en-chine-doit-on-se-sentir-concerne/  4 min 06 s

§ CHLOROQUINE : POURQUOI LES CHINOIS SE TROMPERAIENT-ILS ? 28 février 2020. Bulletin d’information scientifique de l’IHU. Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection. https://www.mediterranee-infection.com/chloroquine-pourquoi-les-chinois-se-tromperaient-ils/  6 min 59 s

§ CHLOROQUINE : POURQUOI TANT DE HAINE ? 5 mars 2020. Bulletin d’information scientifique de l’IHU. Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection. https://www.mediterranee-infection.com/chloroquine-pourquoi-tant-de-haine/  7 min 40 s 

§ Coronavirus : diagnostiquons et traitons ! Premiers résultats pour la chloroquine. 16 mars 2020, déjà cité dans le “Contexte” le 20 mars. Pr. Didier Raoult. Les gens porteurs, non traités, sont contagieux 20 jours en moyenne; pour ce qui est des gens traités avec du Plaquenil et de l’azithromycin, voir les figures ci-dessous, à propos de 24 personnes (premier essai à l’IHU, manifestement en urgence).   https://www.youtube.com/watch?v=n4J8kydOvbc  18 min 25 s 

2020-0-16-efficacite-traitement

Ces bons résultats se sont confirmés par la suite. 

§ CORONAVIRUS : DONNÉES, EHPAD, POLÉMIQUES. 8 avril 2020. Bulletin d’information scientifique de l’IHU. Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection. https://www.mediterranee-infection.com/coronavirus-donnees-ehpad-polemiques/ 9 min 49 s

§ L’IHU Méditerranée Infection : de sa création à aujourd’hui.  2 juin 2020. Un reportage d’Enquêtes de Région.   France 3 Provence-Alpes Côte d’Azur    https://france3-regions.francetvinfo….  Un reportage de 26’ de Ghislaine Milliet – Olivier Gerbi – Alexandre Lépinay – Laurent Esnault – https://www.youtube.com/watch?v=062riDuCGn4   4 min 07 s

§ 136 000 tests PCR Covid : l’envers du décor. 4 juin 2020, L’IHU Méditerranée Infection face à la crise du COVID-19. Témoignage du Pr. Pierre-Edouard Fournier, directeur du laboratoire de tests diagnostiques à l’IHU. https://www.youtube.com/watch?v=YM8fxjNNvWs   8 min 23 s

§ Qu’est-ce qu’un IHU ?  5 juin 2020. L’IHU Méditerranée Infection face à la crise du COVID-19. Témoignage du Pr. Michel Drancourt,   directeur adjoint de l’IHU Méditerranée Infection https://www.youtube.com/watch?v=rdMBLWAU2h4   6 min 34 s

§ Ce que nous avons appris du COVID-19 : des morts qui auraient pu être évités? 5 juin 2020, L’IHU Méditerranée Infection face à la crise du COVID-19. Témoignage du Pr. Philippe Parola, directeur de service de soins et d’unité de recherche à l’IHU Méditerranée Infection.    https://www.youtube.com/watch?v=GHXKRk2WST8   13 min 12 s

§ Prise en charge clinique des patients à l’IHU : ce que nous avons fait. 6 juin 2020 L’IHU Méditerranée Infection face à la crise du COVID-19. Témoignage du Pr. Jean-Christophe Lagier, chef de service des maladies infectieuses et tropicales à l’IHU Méditerranée Infection. https://www.youtube.com/watch?v=YJ_egPu_75U   4 min 21 s

§ #LancetGate. Les Pieds nickelés font de la science. 9 juin 2020. Bulletin d’information scientifique de l’IHU – Nous avons le droit d’être intelligents !   Pr. Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection. https://www.youtube.com/watch?v=zUbiYhknaK0   15 min 26 s

§ Les Marx Brothers font de la science : l’exemple de RECOVERY. 9 juin 2020. Bulletin d’information scientifique de l’IHU – Nous avons le droit d’être intelligents ! Pr. Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection.  https://www.youtube.com/watch?v=RW_7xxVJZmk   7 min 17 s

§ Pourquoi nous n’avons pas fait d’essai randomisé. 10 juin 2020. L’IHU Méditerranée Infection face à la crise du COVID-19. Témoignage du Pr. Philippe Brouqui, directeur du pôle des maladies infectieuses et tropicales à l’AP-HM. https://www.youtube.com/watch?v=osrtVhuX5j8   5 min

§ Le risque de conflit d’intérêts en période d’épidémie. 12 juin 2020.  L’IHU Méditerranée Infection face à la crise du COVID-19. Témoignage du Pr. Eric Chabrière – Biochimiste et responsable de la Valorisation de l’IHU Méditerranée Infection. https://www.youtube.com/watch?v=ouUuLPxO23I   6 min 56 s

§ Données actualisées éditées par l’IHU: https://www.mediterranee-infection.com/tout-sur-le-coronavirus/ et https://www.mediterranee-infection.com/covid-19/

En résumé, au 14 juin 2020: nombre de test réalisés: 146’028; nombre de patients traités à l’IHU 3’320, nombre de morts à l’IHU (patients traités): 18.

§ Conclusion. Il est extraordinaire de se dire que les Autorités de santé, OMS en tête, aient choisi une stratégie de confinement de toute la population et d’isolement des personnes à risques, au lieu d’utiliser une stratégie meilleure, infiniment moins pénible et moins coûteuse, de diagnostic et de traitement immédiat (avec confinement des malades traités et traitement si nécessaire de l’entourage). Sans compter que  la menace d’une nouvelle vague de cette pandémie reste une épée de Damoclès; dommage pour les Suisses et pour les Vaudois, qui ont refusé cette bonne stratégie … Face aux préjudices infligés aux malades devenus invalides et à l’horreur des décès – dûs à la maladie COVID-19 non traitée immédiatement – comme en Italie, tôt ou tard la justice pénale sera probablement mise en route …

 André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges

      // Fin de note du 15 juin 2020

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Note du 27.5.2020 //

Infections virales – un peu de mathématiques

Il est déjà arrivé à l’humanité de se faire agresser par une bactérie ou par un virus (comme le SRAS-COV-2), les plus dangereux combinant une forte contagion, avec des délais d’incubation élevés, de durées variables, des patients plusieurs jours sans symptômes mais déjà contagieux; si les malades sont laissés à eux-mêmes, en l’absence de traitement anti-virus immédiatement disponible, pour les cas les plus graves c’est hôpital, des séquelles gravissimes ou le cimetière. Rappelez-vous l’effroyable peste bubonique au 14ème siècle, qui a tué en Europe la moitié de la population …

Pour décrire l’évolution d’une épidémie dans la Société, les mathématiques des séries peuvent s’utiliser en partie, à savoir le procédé itératif général:

   Nombre de contaminations: F(i+1) <== F(i) * (RAISON+1)    avec i = No de génération de patients;   RAISON, le chiffre pour décrire une situation réelle, est généralement variable au cours du temps. Remarque: c’est utilisable aussi bien pour décrire ce que fait le virus en train de se multiplier dans un patient, que pour décrire les effets de patients libres de contaminer une population sans protection: les équations sont semblables.   

Exemple: F(1) = 1 (1er patient) et RAISON = 3 – à savoir que chaque patient en liberté en a contaminé en moyenne 3 autres au bout de 1 semaine ; alors F(2) = 4, F(3) = 16, F(4) = 64, F(5) = 256, F(6) = 1’024, F(7) = 4’096, …  on reconnaît ici les puissances de 4.  F(7) représente le nombre de patients contaminés et contaminants au bout de 6 semaines. Dans la progression prise pour exemple, on reconnaît une exponentielle, d’équation F(i)=4(i-1)  .

C’est un processus en pratique impossible à stopper, même si la situation réelle est généralement beaucoup moins schématique: il faut mettre la population toute entière autant que possible à l’abri de la contamination; or, sans traitement pour tuer le virus chez les patients contaminants – l’épidémie pourra tôt ou tard continuer à nuire. Cela dépend aussi de la résistance offerte par les anciens malades à une re-contamination et de l’étape où ils ont cessé d’être contagieux: la médecine est un art très complexe, où le paramètre RAISON subit des influences naturelles telles, que parfois l’épidémie cesse d’elle-même, puis reprend bien pire quelques temps plus tard, le virus ayant bénéficié par exemple d’un réservoir chez des porteurs sains.

Remarque: pour calculer une réaction nucléaire de fission ou de fusion, ou pour calculer l’évolution démographique d’une population, on emploie aussi les mathématiques des séries.

 André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 27 mai 2020

// Fin de note du 27.5.2020

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Note du 14.5.2020  //

Recherche documentaire sur le désastre vaudois et suisse.

Réquisition des stocks de Plaquenil le 23.3.2020, alias interdiction d’emploi par les médecins de famille VD:    https://www.lematin.ch/suisse/canton-vaud-requisitionne-chloroquine/story/31740074   

La Grèce a employé systématiquement le traitement au Plaquenil et azithromycine en début de maladie:    https://www.letemps.ch/monde/grece-resiste-mieux-quattendu-covid19 du 24 avril 2020

2020-05-18-pandemie-statistiques

En Suisse, 15 fois plus de morts qu’en Grèce, en Pays de Vaud 29 fois plus ↓↓⇓ .  Il est évident qu’une double enquête s’impose: en Grèce et en Suisse !

Populations, sources: wikipedia/Grèce et  Wikipedia/Suisse    Données détaillées:

 André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 14 mai 2020, rév.18.5.2020

// Fin de note du 14.5.2020

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Note du 25.4.2020 //

Il y a des gens plus intelligents que le reste du monde; voir l’article dans le quotidien Le Temps de  Fabien Perrier: La Grèce résiste mieux qu’attendu au Covid-19

Citation: «… Selon la cardiologue et présidente de l’Hôpital public Alexandras à Athènes, Mme Sofia Xantzidou, … aux premiers symptômes, un traitement à base de chloroquine a été prescrit. George Panayiotakopoulos décrypte: “Dans un premier temps a été prescrite la chloroquine, puis l’hydroxychloroquine accompagnée d’un antibiotique, l’azithromycine. Si le patient est suivi, les risques sont faibles.” D’ailleurs, fin mars, la Grèce a relancé la production de médicaments à base de chloroquine pour lutter contre le paludisme qu’elle avait abandonnée …»

On reconnaît le traitement décrit plus loin comme celui de l’IHU du Pr. Didier Raoult !  Sa caractéristique essentielle, fondamentale, de diligence: être prescrit dès l’apparition des premiers symptômes. Selon l’auteur, le 24.4.2020, la Grèce déplore 12 “morts du COVID-19″ par million d’habitants, la Suisse 178 (!!!); QUI est responsable en Suisse, d’avoir mis obstacle à l’utilisation par les médecins de famille de ce traitement, dès février 2020, en voulant à tout prix tester les tests français des tests chinois ?

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, samedi 25 avril 2020

// Fin de note du 25.4.2020

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Madame (ou Monsieur) mon médecin traitant, 

Pour une intervention curative contre  le  COVID-19, aussi  appelé  SARS-CoV-2, en Suisse, on peut utiliser par exemple du Plaquenil (de Sanofi-Aventis) ou son générique Zentiva (de Helvepharm) sur ordonnance.  Comme l’indication d’antivirus ne figure pas dans le Compendium, je propose de vous signer une décharge.

Le principe actif est l’hydroxychloroquine sulfate ; en ce qui concerne la garantie d’efficacité, se référer aux travaux du Pr. Didier Raoult, qui cite un groupe d’experts chinois. Il va de soi, que si vous avez mieux à proposer, je vous y encourage !

En complément, selon l’expert, il est recommandé d’administrer un antibiotique, par exemple de l’azithromycine.

Salutations respectueuses. Le patient _________________________________

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Contexte

Par chance, les médicaments à base d’hydroxychloroquine sulfate peuvent être produits en grandes quantités en Suisse, selon Novartis. D’après les quantités citées on devra pouvoir, en présence d’une pandémie et devant le besoin d’un traitement, répondre aux besoins de grandes quantités de patients tous en même temps. Ecouter à la radio RTS 1ère:   https://pages.rts.ch/la-1ere/programmes/cqfd/20-03-2020

Il en ressort que le Conseil fédéral devra de toute urgence donner ses ordres à l’industrie pharma et aux médecins, de façon à mettre de l’ordre dans notre système de santé.

Pour l’aspect médical, l’usage de la chloroquine et de ses dérivés fait penser aux expériences avec le Tamiflu; plus tôt le traitement est entamé, moins le virus arrive à s’installer et à faire des dégâts: à bon entendeur … Mais l’usage de certains médicaments au long cours fait que la chloroquine est parfois contre-indiquée: c’est mon cas, hélas !

Documentation

https://compendium.ch/fr/Product/Index/15033-plaquenil-filmtabl-200-mg#MPro7250

https://compendium.ch/fr/product/1177649-hydroxychloroquine-zentiva-cpr-pell-200-mg

https://compendium.ch/fr/Search/Products?q=Azithromycine

https://eurekasante.vidal.fr/medicaments/vidal-famille/medicament-jplaqu01-PLAQUENIL.html

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Lien pour IHU Marseille France   Institut hospitalo-universitaire Méditerranée-Infections 

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/coronavirus-covid-19-qui-est-dans-le-conseil-scientifique-du-ministre-de-la-sante_142500   du 16 mars 2020

A écouter (18 minutes très denses):    https://www.youtube.com/watch?v=n4J8kydOvbc  conférence du 16 mars 2020 du Pr Didier Raoult, directeur de l’IHU de Marseille; c’est un expert virologue français très expérimenté, membre de la commission mise en place par les Autorités françaises pour traiter du COVID-19. 

https://www.sciencesetavenir.fr/sante/la-chloroquine-est-elle-un-bon-traitement-contre-le-coronavirus_141893  du 2 mars 2020

Une équipe de pharmacologues de l’hôpital universitaire de Qingdao (province du Shandong – Chine) ont publié (en anglais) leur recommandation d’insertion dans le guide officiel destinés aux médecins. 

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§ Données officielles: extrait de correspondance avec Swissmedic 

De: <Anfragen@swissmedic.ch> / Objet: 49537_médicaments contre le coronavirus / Date: 18 mars 2020 14:02:18 UTC+1 / À: Famille Bovay-Rohr

Monsieur Bovay-Rohr,

“Bayer”, qui a inventé la chloroquine, avait arrêté la production en 2014, mais l’a désormais relancée. La production et la distribution de la chloroquine, sous le nom commercial Resochin®, a été arrêtée en 2019. La préparation n’était plus que rarement produite par d’autres fabricants. Entre-temps, le produit est à nouveau fabriqué par “Bayer”. L’hydrochloroquine appartient à la même famille que la chloroquine.

Les préparations suivantes contenant la substance active hydroxychloroquine sont autorisées en Suisse :

– Préparation originale : Plaquenil® de Sanofi-Aventis,

– Médicament générique : Zentiva de Helvepharm

Si ces préparations devaient ne pas être disponibles en Suisse, une préparation pourrait, sur demande, être importée dans une présentation étrangère : https://www.swissmedic.ch/swissmedic/fr/home/medicaments-a-usage-humain/surveillance-du-marche/out-of-stock.html

La responsabilité en cas d’utilisation off-label de médicaments (utilisation hors-AMM ou off-label use) incombe uniquement au médecin traitant et non à Swissmedic.

Nous espérons que cette réponse vous sera utile et vous adressons, Monsieur Bovay-Rohr, nos salutations les meilleures.

Swissmedic, Institut suisse des produits thérapeutiques

Pia Stadelmann / collaborateur spécialisé Communication (suppl. chef de division) / Communication / Informations générales / Hallerstrasse 7 / 3012 Berne / Suisse / Tél. +41 58 462 02 23 / Fax +41 58 462 02 12

 adresse de courriel: renseignements@swissmedic.ch   / Site:  www.swissmedic.ch

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André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, Vendredi 20 mars 2020

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§ Comment va-t-on sortir du confinement, dû au COVID-19, en Suisse ?

C’est un aspect du problème que je n’ai vu traiter par personne à ce jour. Sans vouloir préconiser un traitement ou un autre, l’important est que ceux utilisés permettent de: 

1. Barrer le chemin vers le cimetière en réduisant d’importance la gravité de la maladie par un traitement administré tôt, dans la meilleure fenêtre de temps possible.

2. De même, barrer le chemin, par le même procédé, vers les hôpitaux; c’est urgent, car on voit venir une phase de débordement …

3. De même, prévenir, pour les personnels soignants ou autrement en contact avec le public, les conséquences d’une contamination.

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D’après les résultats obtenus en Chine et en Europe, l’hydroxychloroquine (un dérivé de chloroquine) fait provisoirement l’affaire: négliger ces résultats fait penser à de l’arrogance un peu raciste ou à du perfectionnisme. En effet, il n’est pas nécessaire d’établir scientifiquement le principe de l’efficacité du (par ex.) Plaquenil, du moment que des résultats historiques vont dans ce sens: tout le travail scientifique ordinairement nécessaire pour pouvoir mettre sur le marché un médicament est déjà accompli à plus de 95% (par exemple sur les dangers à éviter); ce sont des données de notice professionnelle qui sont encore à établir mieux et à vérifier: délai, dosages ciblés, durée, immunité acquise.   

On peut donc dire qu’en première approximation, dès maintenant, on doit respecter une fenêtre de 36 heures max. pour administrer le début du traitement (donnée extraite du mode d’emploi d’un autre anti-virus efficace); il faut aussi respecter les conditions d’emploi du Plaquenil, vérifier l’état du patient: c’est la tâche du médecin, le médicament étant de ce fait soumis à ordonnance; pour éviter de prescrire un médicament à tout va, si possible un test du Coronavirus doit être fait – réponse utilisable à l’intérieur de la fenêtre susmentionnée – sinon on doit commencer le traitement illico. 

Sachant déjà que le Plaquenil est utilisable au long cours, il est donc utilisable pour prévenir les effets les plus sérieux d’une contamination.

Corollaires: attendre pour administrer le traitement, que le patient soit atteint de sérieuse pneumonie, est à son détriment; cela va donc requérir des médecins de famille une grande diligence ou le recours à des mini-bus bien équipés. 

Ceci fait, on pourra diminuer le besoin d’une mise en quarantaine ou en confinement, les patients pouvant passer la phase aîgue (réduite par le médicament) à la maison: c’est un traitement devenu ambulatoire, comme pour une grippe ordinaire à sévère.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, rév. 27 mars 2020

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§ QUI est responsable de n’avoir pas appliqué les médicaments connus contre le COVID-19 ?

Dans cette affaire compliquée, on découvre de l’incompétence, des négligences et un manque de bon sens évidents: même si les médicaments trouvés viennent d’experts chinois, qui ont publié, (qui n’ont pas pu appliquer des méthodes de recherches cliniques orthodoxes – d’ailleurs pas plus que nos médecins n’auraient pu le faire …), on n’en a pas d’autres à grande échelle sous la main. La tempête passée, il faudra expliquer à la parenté des morts et aux patients grièvement atteints, les raisons de cette forfaiture: quand la triste vérité sera mieux connue, sur le blocage de facto mis dans l’usage à temps du Plaquenil ou du Zentiva (entre autres), la justice pénale sera probablement saisie en Suisse. De facto aussi, il y a et il y a eu violation des codes nationaux de déontologie des médecins …

La Presse et les médias sont aussi impliqués dans cette catastrophe, pour avoir donné une place prépondérante aux sceptiques et critiques du Pr. Didier Raoult: ils ont constamment évoqué des “preuves d’efficacité de la chloroquine” soi-disant manquantes, alors que le temps imparti pour sauver les malades était compté, et que donc la possibilité de contrer la pandémie était galvaudée.

Le pire dans l’histoire: les dégâts de toutes sortes, entraînés par l’obligation de ralentir la propagation de la pandémie en décrétant toutes sortes de confinements, vont coûter bien plus que les dédommagements que pourraient offrir les coupables. 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 4 avril 2020

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§ L’impasse. 

D’après les experts, comme le Pr. Kim Woo-joo du Korea University Guro Hospital, le coronavirus est plus sournois et plus contagieux que l’on pouvait le penser. Entretien du 24.3.2020: https://www.youtube.com/watch?v=gAk7aX5hksU  qui bénéficie d’un sous-titrage en anglais et en français. Il est donc difficile de croire que quiconque, dans la situation d’absence de vaccin, pourra être certain d’échapper indéfiniment à la pandémie.

Si l’on veut renoncer à des confinements, il faut soit disposer rapidement de médicaments permettant de diminuer la dangerosité d’une telle infection, soit à terme (plus de 18 mois au minimum) d’un vaccin pour l’éviter. Or le Plaquenil ou ses génériques ont été négligés, en cabinets de médecins de famille en Suisse, sous des prétextes administratifs: ainsi a été probablement prolongé des semaines durant le confinement des habitants … 

La Pologne a décidé d’utiliser comme médicament en masse le phosphate de chloroquine; voir le lien:    https://www.europeanscientist.com/fr/redactions-choice-fr/covid-19-la-chloroquine-peut-etre-prescrite-en-pologne/   selon Dr. Grzegorz Cessak – 

Informés dès milieu mars par mes courriels de l’existence d’un médicament de soutien, la TV RTS, et les quotidiens Le Temps et 24 Heures, ne l’ont depuis des semaines jamais évoqué; médicament, dont le rôle serait d’éviter à terme les drames et les coûts démentiels du confinement généralisé. Un résumé du § ci-dessus “Comment va-t-on sortir du confinement…” , m’est revenu très rapidement du journal 24 Heures avec la réponse: Bonjour,  / Votre courrier indiquant comment se protéger du Covid-19 m’est bien parvenu. / Toutefois, n’étant pas en mesure de vérifier scientifiquement vos assertions, il a été décidé par la rédaction en chef de ne pas publier votre texte. …”. Non seulement la Rédaction ne s’est pas donné la peine de vérifier les données fournies sous ma signature (ce qu’un journaliste devrait savoir faire, par exemple par un entretien avec quelques virologues compétents), mais de plus le sens de mon message a été estropié dans cette réponse; par suite, ce sujet super-important – les fondements, à examiner à la loupe, des mesures fédérales, cantonales et communales extraordinaires – a donc été carrément censuré ! Que penser d’un tel manque d’indépendance et de curiosité ? 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, rév. 9 avril 2020

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§ Le traitement du coronavirus COVID-19 par l’IHU Méditerranée-Infections 

Le 22 mars 2020 a été émis un communiqué, retrouvé sur le site de l’IHU et dont voici le lien et un extrait, qui fondent sur le plan médical le texte qui précède (§ du 27.3.2020):

   https://www.mediterranee-infection.com/epidemie-a-coronavirus-covid-19/   

«   Marseille, le 22 mars 2020 / … Nous avons décidé :
· Pour les tous les malades fébriles qui viennent nous consulter, de pratiquer les tests pour le diagnostic d’infection à Covid 19 ;
· Pour tous les patients infectés, dont un grand nombre peu symptomatiques ont des lésions pulmonaires au scanner, de proposer au plus tôt de la maladie, dès le diagnostic :
– un traitement par l’association hydroxychloroquine (200 mg x 3 par jour pour 10 jours) + Azithromycine (500 mg le 1er jour puis 250 mg par jour pour 5 jours de plus), dans le cadre des précautions d’usage de cette association (avec notamment un électrocardiogramme à J0 et J2), et hors AMM. Dans les cas de pneumonie sévère, un antibiotique à large spectre est également associé. … 

… Pr Philippe Brouqui, Pr Jean-Christophe Lagier, Pr Matthieu Million, Pr Philippe Parola, Pr Didier Raoult, Dr Marie Hocquart   »

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 17 avril 2020, rév. 25.4.2020

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Faux Rapports sur le climat (avertissement, cela tombe sous l’Art.307 CP)

Communiqué de Presse. 

Destinataires: Autorités, Hautes Ecoles, Grand public 

Par le présent communiqué, sont rapportés les effets judiciaires d’une Lettre en Histoire des Sciences publiée le 24.9.2020 à Sierre. 

Au GIEC en 1995 a eu lieu une falsification des rapports scientifiques, aboutissant à recommander des mesures pour combattre un soi-disant effet de serre, contre les sources d’émission de CO2 et d’autres gaz à soi-disant effets de serre. Les auteurs ont reconnu les faits, commis il y a 25 ans. 

Donc à compter de la publication détaillée de la découverte des faits, à savoir le 24.9.2020, personne ne pourra plus évoquer l’un ou l’autre des sujets suivants sans s’exposer à violer l’art. 307 du Code pénal suisse, (en utilisant directement ou indirectement les Faux rapports résultant de cette fraude, et donc les informations fausses importées – alias «fake news» – qui en résultent):   

1. Effet de serre, physiquement inexistant dans la troposphère. 

2. Liste des allégués gaz, en réalité sans effet de serre dans la troposphère. 

3. Réchauffement climatique global alarmant dû soi-disant aux allégués gaz à effet de serre. 

4. Mesures prises pour défendre le climat global, en limitant les émissions d’allégués gaz à effet de serre.

5. Prétendre à l’urgence de mesures pour influencer le climat global. 

Documentation

En Histoire des sciences:  L’humanité n’est PAS responsable du réchauffement climatique global.  où est citée la  Lettre-sur-le-climat-No-15-.pdf, 2020, de

En sciences physiques: Une bouillotte à 288 K induit-elle un effet de serre mesurable ?    Rapport scientifique traduit en anglais et en allemand

André Bovay-Rohr, physicien, Colombier(VD), le 7.10.2020, rév.10.12.2020 

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Climat et CO2 – Expert en Histoire et philosophie des sciences: Prof. Jean-Claude PONT

Jean-Claude Pont est né à Sierre en 1941, mais c’est un Anniviard. Mariage en 1967 avec Christine Hagman, trois enfants, l’aîné en 1979.

 

Biographie professionnelle

Diplôme mathématiques, EPFZ, 1965.

Doctorat mathématiques, EPFZ, 1970.

Professeur de mathématiques au Lycée-Collège de Sion, (1965-1989).

Chercheur au Fonds national suisse pour la recherche scientifique.

Professeur ordinaire Histoire et Philosophie des sciences à Unige. Titulaire de la chaire (1989-2006).

Directeur du Département de Philosophie de l’Université de Genève (1995-1999).

Président de l’Association des Professeurs de l’Université de Genève (1997-2000).

Professeur invité à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences sociales (EHSS), Paris , mai-juin 2000.

Prix Arnold Reymond de philosophie des sciences pour la décennie 1974-1983.

Lauréat 1998 du prix Ruenzi, au titre de la philosophie des sciences et du sport en Valais.

 

Guide de haute montagne diplômé, 1966.

Créateur et organisateur de la Course Sierre-Zinal, 1974-2015.

Création et direction (avec B. Crettaz) de la Collection « Mémoire vivante » (25 ouvrages publiés).

Créateur (avec Georges Meynet) du Chemin des Planètes de St Luc et de l’Observatoire d’astronomie François-Xavier-Bagnoud à Tignousa (St Luc). Président du Conseil de Fondation (1986-2008).

 

Nombreux livres et publications. En particulier :

La topologies algébrique des origines à Poincaré, Presses Universitaires de Fance, Paris, 1974.

L’aventure des parallèles. Histoire de la géométrie non euclidienne : précurseurs et attardés, Berne-Francfort-New York, Peter Lang, 1986, 736p.

– Collected Works of Charles François Sturm, Birkhäuser Verlag AK, Basel, 2009.

Le Réseau santé Valais dans la Tourmente, Sierre, 2011.

La Balade de la médiane et le Théorème de Pythagoron, Editions du Tricorne, Genève (2012).

– « Epistémologie et méthodologie dans l’œuvre de Galilée », Anabase, 15 (2012), pp. 163-182.

Le destin douloureux de Walther Ritz (1878-1909) physicien valaisan de génie, ‘Cahiers de Vallesia – Beihefte zu Vallesia’ 24. Sion, Centre Rhodanien d’Impression SA, 2012.

– Courir dans une cathédrale. Sierre-Zinal 1974-2013, Monographic, Sierre, 2013.

Du côté des affaires du climat :

Le vrai, le faux et l’incertain dans les thèses du réchauffement climatique, Sierre, 2017, 235p.

Après la parution de ce livre, Jean-Claude Pont a publié 15 Lettres d’information sur le climat, en moyenne 10 pages par Lettres.

Bibliographie des Lettres

Légende: le signe # signifie “Numéro de la lettre”

– Climat. Lettre d’introduction, #1, 23.1.2018.

– Climat. L’affaire d’un verdissement récent de l’Antarctique et ses manipulations #2, 3.2.2018.

– GIEC. Au coeur des manigances: la Température (1), #3, 25.2.2018.

– Réponse du Pr. hon. Jean-Claude Pont à la lettre ouverte du Pr. hon. Daniel Favrat, #4, 28.3.2018

– GIEC. Au coeur des manigances: La Température (2). Le «hiatus», #5, 14.5.2018.

– Consensus, vous avez dit consensus ? #6, 26.6.2018.

– Climat. Quelques commentaires sur quelques commentaires, #7, 31.8.2018

– Les trois thèses discutables du GIEC, tdg.ch, 12.10.2018

– Débats sur le Climat: de la nécessité de l’Histoire du Climat, #8, 20.11.2018.

– La transition énergétique: la mouche du coche, #9, 30.1.2019.

– «L’appel des chercheurs à la grève climatique» Le Temps, 21 février 2019, #10, 19.3.2019.

– Le pseudo-consensus des scientifiques: la pétition des Italiens, #11, 2.8.2019.

– Climatologie. Aspects de la désinformation actuelle, #12, 13.11.2019.

– «Confessions d’un climatologue: l’hypothèse du réchauffement climatique est une hypothèse non prouvée» Un livre de Mototaka Nakamura, #13, 26.2.2020.

– Une bombe dans les milieux de l’environnementalisme climatologique … un ex-militant s’excuse …, #14, 26.7.2020.

– Sur la nature idéologico-politique de la climatologie officielle dans les affaires du CO2 / Histoire d’une mystification, #15, 24.9.2020.

Y a-t-il augmentation des catastrophes naturelles ? La réponse est non! / Lettre #16 – 18 mars.pdf

Révisé par Jean-Claude Pont le 23.11.2020; l’éditeur, le 10.12.2020

Rév. par l’éditeur (lettre #16) 8.4.2021

Citation

Une vérité qui dérange: le réchauffement climatique ralentit, Claude Rochet, 10 août 2018.

 

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Technique informatique

§ Le blog a été organisé pour utiliser les données, présentées sous formes de figures ou de rapports, en mode fenêtres (ou onglets) multiples: extrêmement agréable pour travailler.

Pour atteindre les liens fournis en référence dans ce mode, votre système d’exploitation (OS) et/ou votre moteur de recherches doivent permettre l’ouverture d’une fenêtre (ou d’un onglet) supplémentaire pour chaque lien appelé; on retrouve l’endroit d’où l’on est parti en la (ou le) refermant.

Si l’usager du blog n’arrive pas à accéder à un lien, consulter l’installateur de votre PC (c’est un paramètre à ajuster); en cas de désespoir, faire une réclamation chez l’éditeur par l’adresse de courriel info@entrelemanetjura.ch   en lui laissant un No de téléphone.

   *  *  *

§ 18.10.2020 Ordinateur de travail pour préparer le blog:

iMac (écran Retina 68 cm, 27 “), Processeur 3.2.GHz, Mémoire 8 GB 1’867 MHz  /   Disque système et données: 500 GB, disponible 250 GB / Disque Time Machine (sauvetage en temps réel) 2’048 GB, disponible 1’580 GB / acheté chez Age du Soft à Morges – support assuré depuis des décennies.

BA, Rév. 13.2.2021

 

  

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L’humanité n’est PAS responsable du réchauffement climatique global.

La naissance en 1995 d’une théorie de science-fiction onusienne

Dure réalité physique: un échauffement maximal de 0.12°C par rayonnements infrarouges, pour un Globe à 288 K de température moyenne, est dû à la présence de CO2 dans l’atmosphère. Plus généralement, de microscopiques traces de gaz à plus de deux atomes dans l’atmosphère, à part la vapeur d’eau, ont des effets thermiques encore beaucoup plus modestes que ceux du CO2. En langage courant: le CO2 ne provoque pas d’effet de serre important – les gaz, comme par exemple le méthane du bétail, encore moins – il n’y a pas lieu de s’en préoccuper.  

Dans l’excellent document “Lettre d’information sur le Climat No 15”, du Pr. Jean-Claude Pont, a été reconstitué le procédé indélicat, qui a amené le GIEC de l’ONU en 1995 à annoncer au monde une effarante et alarmante théorie sur le climat: de la science-fiction déguisée en découverte officielle … Dans le Rapport d’évaluation No 2 du GIEC (AR2, IPCC Assessment Report 2, 1995) figuraient à l’origine les documents fournis par des scientifiques, plusieurs milliers de pages; fut aussi rédigé selon un processus politique et diplomatique, imaginatif à propos de CO2, un “Résumé à l’intention des Décideurs” (RID), de quelques dizaines de pages, de contenu alarmant quant aux alléguées responsabilités humaines à propos de climat.

Comme le contenu du RID contredisait celui de l’AR2 sur ce point sensible, le rédacteur responsable de l’édition de l’AR2 a modifié son contenu au dernier moment (au chapitre 8), sans en consulter les auteurs scientifiques: caviardage et compléments de sa main – une FALSIFICATION par l’éditeur. C’est ainsi que des diplomates et des politiciens ont élaboré une position du GIEC, à propos des effets de réchauffement de l’atmosphère par le CO2 et autres gaz à soi-disant “effet de serre”, contredisant  les scientifiques ayant rédigé le AR2 et méprisant les faits physiques réels. En langage courant: le GIEC a inventé en 1995 l’important effet de serre du CO2, rendant l’humanité soi-disant responsable du réchauffement climatique global; il a ainsi inventé aussi l’urgence climatique. Devant ce désastre, il est permis de souhaiter une réforme énergique du GIEC. 

Il est évident qu’il devient important en 2020 de se débarrasser de ces inventions catastrophiques, sans fondements dans la Nature, en tout premier lieu en INFORMANT. Il conviendra aussi d’obtenir que soient rapportées les décisions prises sur la foi de ces inventions. 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 24.9.2020

Bibliographie

§ Pr. Jean-Claude Pont ,     Lettre-sur-le-climat-No-15-.pdf, 2020 

§ GIEC, ONU:  The Intergovernmental Panel on Climate Change (IPCC) 

§ Pr. F. K. Reinhart,     Infrared absorption of atmospheric carbon dioxide ,   2014, Rev. 2017

§ A. Bovay-Rohr,      Une bouillotte à 288 K induit-elle un effet de serre mesurable ? , 2020

§ A. Bovay-Rohr,     Effet de serre. Ecroulement de sa théorie physique. 2019

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Une bouillotte à 288 K induit-elle un effet de serre mesurable ?

Physique des rayonnements d’une bouillotte et de la chaleur qu’elle induit dans les gaz qui l’entourent; examen en thermodynamique et en Infrarouges (IR).

Introduction

L’existence d’un effet de serre du CO2 dans la troposphère ayant entraîné l’idée que l’humanité aurait une influence sur le climat global, l’objet des présentes recherches est de faire vérifier quelles sont – par la préparation d’expériences en physique classique et de calculs en physique quantique – les valeurs limites supérieures de l’intensité de ce phénomène, à l’échelle locale.

Il ne s’agit pas de faire de la climatologie, mais bien de retourner au laboratoire de physique et à l’ordinateur, pour travailler sur des valeurs mesurées ou calculées.

Expériences à l’échelle locale

Procurons-nous une bouteille géante de champagne, pour fêter le succès de l’entreprise: sa contenance est de 30 l. (c’est un Melchisédeck); à défaut, on peut utiliser des bouteilles plus modestes, comme un Magnum de 1.5 l ou une bouteille plus ordinaire sous la main (0.75 l). On pourra aussi employer une surface plate en verre, comme une face d’un grand aquarium, si l’on rechigne à estimer les effets de courbures. Chimiquement, le verre est très proche de beaucoup de roches, qui contiennent silicates, carbonates et traces de métaux qui donnent la couleur verte; ce matériau transparent à la lumière visible est cependant opaque aux “rayonnements infrarouges” (photons IR); ceux-ci nous sont invisibles, mais certains sont décelables par la peau comme “chaleur” (dans ce cas, comme la température de votre main est aux environs de 310 K,  alias 37°C, avec un radiateur comme une bouillotte à 288 K vous ne détecterez RIEN, leur intensité étant trop faible).

Dans nos expériences, nous attendons de la bouillotte qu’elle émette des IR à sa surface comme une roche des continents le fait, à la température moyenne du Globe (288 K, alias 15°C): ce n’est pas la lampe qui est le plus important de l’expérience, mais d’une part le spectre IR qu’elle émet et d’autre part le comportement du gaz irradié.

Rappel de données (2019):

§ Définition en physique: un effet de serre est le résultat global du comportement en rayonnements, de gaz re-émettant une partie de l’énergie reçue, dans toutes les directions; c’est ce qu’on appelle le forçage radiatif. L’effet de serre du CO2 en troposphère serait donc le reflet d’un miroir semi-transparent, renvoyant une partie de l’énergie vers l’émetteur, vers sa source.

NB: On peut comparer le processus réel dans la troposphère à celui d’un isolant multi-couches, d’un édredon: en fait il ne peut pas y avoir d’effet de miroir IR dans un gaz à pareille densité, qui transforme (la discipline scientifique concernée est la physique quantique) à très forte probabilité les IR absorbés en chaleur, car faisant partie des spectres des molécules présentes dans l’air … Il faut alors appliquer à cette chaleur les lois de la thermodynamique, qui est de la physique classique.

§ L’air contient environ 413 ppmv (parties par million en volume) de CO2, soit environ une molécule sur 2’400, en 2020; le taux d’accroissement annuel est de l’ordre de 2.2 ppmv/an. Chaque molécule de CO2 peut émettre/absorber des centaines de milliers de raies IR.

§ A propos d’humidité, d’eau H2O: 1 m3 d’air pèse 1.292 kg (standard international au niveau de la mer). L’air à 15°C peut d’expérience contenir (à 100% d’humidité relative) au plus 10.5 g de vapeur d’eau par kg d’air, ce qui est l’humidité absolue dans ces conditions; documentation:

    2020-06-30-humidite-absolue

   Source belge, lien: Energie+ au chapitre: L’humidité absolue

Proportion de la trace de vapeur d’eau maximale, estimée par calcul à 15°C et 100% d’humidité relative: dans l’hypothèse de première approximation, que toutes les molécules (de l’air et de l’eau en vapeur) occupent chacune le même volume – on a environ       (rapport des masses)*(rapport inverse des masses molaires) à savoir au plus                   (10.5 g /1’292 g)* (28.965/18) = 0.013078 =~ 13’000 ppmv. Chaque molécule de H2O en vapeur peut émettre/absorber plus de 18’000 raies IR .

§ L’air contient environ 1.9 ppmv de méthane (CH4). Chaque molécule de CH4 peut émettre/absorber des centaines de milliers de raies IR.

*   *   *

§ Faisons des expériences de physique avec une bouteille récupérée : on la remplit d’un caloporteur (dont on peut mesurer la température), pour assurer une grande inertie pendant les mesures; puis on s’arrange d’amener l’ensemble à 288 K; c’est devenu une bouillotte expérimentale, dont des dispositifs de refroidissement – cas du gaz environnant chaud – ou de chauffage – cas du gaz environnant froid – seront indispensables pour assurer la stabilité à 288 K.

Ce que vous avez fabriqué là est un peu froid pour être une bouillotte dans un lit – mais représente un assez bon modèle thermique moyen de la surface de roches des continents.

§ Attention que dans l’étude qui suit, il s’agit d’IR dans des gaz, et non pas du comportement dans ces gaz de gouttes, de cristaux ou de poussières, d’évaporation, de sublimation, de condensation, en un mot de nuages, où les mécanismes d’échanges de rayonnements et de chaleur sont très différents et entraînent une complexité de comportement observable beaucoup plus importante encore.

§ Si toute la chaleur présente à la surface de la bouillotte était fournie par des rayonnements, selon la loi de Stefan-Boltzmann, on trouverait comme puissance à fournir (ou émise) dans le vide pour assurer cette température au corps noir 390.0794 W/m2; le corps noir est en physique le meilleur émetteur/absorbeur possible; la chaleur locale (alias agitation thermique des molécules) est évacuée par les gaz de l’air ambiant, mauvais conducteurs de la chaleur, mais aussi émetteurs d’IR, dont le spectre est alors celui des gaz composant l’air à 288 K; donc c’est à cause de cette propriété d’isolation thermique relative de l’air, que l’évacuation (autre que les IR) vers l’espace est lente.  

§ En mesurant ses IR, vous confirmerez que cette bouillotte à 288 K, baignant dans de l’air à pression atmosphérique courante, est un émetteur IR: le rayonnement en W/m2, se mesure de près avec un photomètre ou mieux avec un spectrophotomètre IR.

On pourra aussi observer avec une caméra thermique: en déterminant comment la bouillotte évacue sa chaleur autrement que par rayonnements (dans un air de laboratoire froid, par exemple à 0°C), on découvre qu’il en part par conduction (l’air est chauffé dans la couche-limite) et par convection (l’air plus chaud que celui de l’environnement monte, ce qui amplifie le contact à la couche-limite). On peut modifier la température de l’air entourant la bouillotte pour des tests, en restant à la pression du laboratoire: par exemple à 45°C ou à -52°C; pour conserver à la bouillotte ses 288 K, il faudra de quoi refroidir ou réchauffer le liquide qu’elle contient; on pourra ainsi tester s’il existe des IR faisant partie du spectre du CO2 (émis par la bouillotte) et mesurer quels IR re-émis par le gaz dans toutes les directions existent ; avec une concentration de 2’400 molécules d’air par rapport au gaz testé CO2 (c’est ~ la concentration actuelle), il y en aura, mais l’effet sera microscopique; en effet, chaque fois qu’un photon IR touche une molécule de CO2 et se fait absorber, elle sera donc excitée – mais elle ne pourra généralement rien re-émettre à une fréquence aussi ou plus élevée, car son énergie va être prélevée illico en partie par collisions avec la foule des molécules voisines (principalement azote N2, oxygène O2, argon Ar) … la densité de l’atmosphère du laboratoire est en effet très forte. De plus, à l’aide de spectrophotomètres, on pourra déterminer, soit en direction de la bouillotte, soit à l’opposé, le spectre des IR physiquement présents: une différence viendra du fait que la chaleur n’a pas dans un gaz à presque 15°C exactement le même comportement d’émissions d’IR qu’à la surface d’un solide (évidemment d’une autre composition chimique); mais un gaz à 15°C ne pourra pas dans cet échange modifier les 15°C de la couche-limite gaz-solide: c’est de la thermodynamique élémentaire; les quantités mesurées dans ces conditions, d’un éventuel “effet de serre” (de forçage radiatif), sont dans l’ordre de grandeur de l’incertitude de mesure …

Refaire les expériences avec la surface de la bouillotte restructurée (couleur, texture), ou avec une bouillotte en partie très froide (et très chaude pour le reste), mais de température moyenne 288 K.

§ Ayant fini une série d’expériences avec la bouillotte, il faudra évidemment aussi mesurer à 288 K ce que fait en IR une surface d’eau de mer. Cela veut dire que l’on devra pouvoir travailler au laboratoire avec un appareillage mesurant une surface horizontale (l’air étant donc mesuré au-dessus, dans l’axe vertical).

*   *   *

§ Calculs à toutes les échelles, à l’aide d’informatique.

On peut appliquer la loi simple de Beer-Lambert et utiliser la base de données HITRAN pour faire les calculs en physique quantique; tout ceci peut se traiter avec précision, c’est ce qu’a fait le Pr. Reinhart pour estimer un maximum de cette absorption des IR, par le CO2 atmosphérique en traces croissantes, près de la surface du Globe. La lampe IR choisie est la meilleure possible physiquement, le corps noir chauffé à 288 K: la véritable lampe IR que représente le Globe est évidemment moins intense. Vers la surface (l’endroit où le flux IR est maximal, supposé venir d’une lampe IR idéale de 390 W/m2), l’augmentation d’absorption des IR par le CO2, passant de 280 ppmv (parties par million en volume) à 400 ppmv de concentration entraîne une augmentation de température locale (calculée) de l’air inférieure à 0.12 K; c’est le plafond de la contribution des IR de la bouillotte au transfert d’énergie entre bouillotte et air voisin, par interaction des IR avec le CO2 actuellement présent dans l’atmosphère; la lampe IR réelle étant moins intense que le corps noir, l’interaction, source de cette augmentation de température locale, est encore plus petite.

En passant de 400 ppmv à 800 ppmv, le Pr. Reinhart a trouvé que l’augmentation de température calculée serait inférieure à 0.24 K; qu’en poussant la concentration de 400 ppmv à 4’000 ppmv de CO2 dans l’atmosphère – au rythme actuel de nos émissions il y faudrait plus de 1’600 ans et il faudrait supposer qu’aucun mécanisme naturel ne vienne absorber le CO2 supplémentaire – l’échauffement calculé serait inférieur à 0.8 K.

Finalement, on peut calculer ce qui nous attend dans 10, 30, 70 ou 100 ans; en 100 ans et au rythme d’augmentation actuel, on aura atteint un peu plus de 630 ppmv de CO2 dans l’atmosphère; l’échauffement qu’on peut en attendre est estimé inférieur à 0.2 °C.

Foi d’expérimentateur et foi de physicien au sortir de ces calculs, il n’y a, avec la meilleure lampe IR possible à 288 K, pas les conditions réunies pour obtenir, avec de l’air contenant la trace de CO2 actuelle ou dans un siècle, un effet de serre par forçage radiatif … a fortiori, avec les IR réels du sol ou de la mer, elles sont encore moins réunies.

§ Conclusions des observations et calculs à petite échelle; l’évacuation de chaleur est composée de la somme énergétique de trois mécanismes: de conduction (transmission de chaleur par contact dans la couche limite solide-gaz, puis départ en respectant la loi des gaz parfaits, dans de l’air calme), de convection (air en mouvements) et d’IR; l’effet local sur l’air des IR – moins de 0.1 K d’échauffement (par absorption par le CO2, donc ordre de grandeur 0.1°C) – est assez faible pour qu’on puisse en pratique exclure un effet de serre comme il est défini, mesurable et qui serait directement dû au CO2 localement. Les mêmes raisonnements s’appliquent aux autres traces encore plus minimes de gaz à molécules de plus de deux atomes (aux spectres IR très riches, comme par exemple le gaz méthane CH4).

§ La température à la surface du Globe est déterminée par la vitesse d’évacuation de l’énergie incidente: les IR vont à la vitesse de la lumière, mais ils sont absorbés par la basse atmosphère et transformés en chaleur, ce qui va empêcher un retour d’importance de rayonnements de même niveau énergétique au Globe émetteur; mélangée aux autres sources de chaleur, son évasion vers l’espace est lente (mauvaise conduction de la chaleur par les gaz: c’est tout bonnement un isolant) et donc la température locale est en moyenne bien plus élevée que sans atmosphère (par exemple comme sur la Lune). C’est la faible conduction de l’air qui va déterminer la basse vitesse d’évacuation de chaleur et ce paramètre se calcule, connaissant le facteur de conduction de chaque gaz; mais il est actuellement très faiblement influencé, par la concentration en traces de l’ordre de 1/2’400 du CO2, ou de 1/526’000 de CH4 dans l’atmosphère, par exemple. Augmenter au double la trace de CO2 ne va changer que de l’ordre de 0.4‰ son influence sur la conduction de l’air.   

Le rôle de l’eau, sous forme de vapeur jusqu’à ~ 31 fois plus abondante que le CO2, est à part, avec sa faculté de fabriquer facilement des nuages de gouttes ou de cristaux et donc de disparaître (par condensation) ou apparaître sous forme vapeur (par évaporation ou sublimation), avec d’énormes transferts de chaleur à chaque conversion.     

Conclusion: la température générale du gaz n’est en pratique pas modifiée physiquement par la présence de traces de CO2, CH4 ou autres gaz à plus de 2 atomes/molécule dans l’atmosphère dense; ces traces sont importantes pour piéger les IR dans la masse de l’atmosphère sur des Km (quelle que soit leur direction de provenance), mais leur influence locale est microscopique … est à la limite du mesurable.

*   *   *

§ Dans la stratosphère et au-dessus, c’est une autre histoire: l’énergie parvenue à la surface du Globe et absorbée (transformée en chaleur) y sera presque totalement renvoyée vers l’espace, où il n’y a pratiquement plus de gaz permettant de définir une température, donc plus de matière support de la chaleur:

– L’énergie, évacuée en troposphère sous forme de chaleur, est transformée donc à très haute altitude dans la stratosphère, et se propage dans le vide encore plus loin, sous la forme d’IR de très basses fréquences (leur vitesse est celle de la lumière), dont le spectre permet de reconnaître tous les corps chimiques présents dans l’atmosphère et ayant participé à leur émission …

– Effet de serre venant de la stratosphère ou au-dessus; la plupart des rayonnements IR (ne faisant pas partie de la fenêtre optique, comme l’ont constaté à leur grand regret les physiciens intéressés par les IR en astrophysique) seront interceptés par l’atmosphère à plus haute densité – tout comme ceux venus de l’espace – donc en pratique sans effet mesurable sur la température dans la basse troposphère.

Conclusion finale

Par le calcul, on découvre que le forçage radiatif, obtenu par la présence de gaz à plus de deux atomes par molécule et pourvus d’un très riche spectre IR, se dilue dans tout le volume de l’atmosphère à forte densité (troposphère) et qu’à la température moyenne du Globe internationalement admise de 288 K (alias 15°C) l’échauffement local à la surface du Globe obtenu ainsi est minuscule. Avec les autres gaz de l’atmosphère, ils participent au ralentissement de l’évasion de chaleur vers l’espace, mais dans une mesure très inférieure à ce qu’on croyait jusqu’ici: la variation du forçage radiatif dont ils sont responsables par leur variation de concentration doit être révisée, à l’aide de calculs informatisés en physique quantique et de mesures en physique classique au laboratoire.

En considérant les ordres de grandeurs déjà mis en évidence à cette date par les calculs en physique quantique: l’influence d’un effet de serre très au-delà de 0.1°C est invraisemblable, qui aurait été provoqué par les émissions anthropiques de CO2 des 150 dernières années.                                                               30.6.2020, Rév. 9.9.2020

André Bovay-Rohr, Physicien

Reconnaissance de l’auteur

Je tiens à exprimer ma gratitude aux scientifiques de très haut niveau – Dr. Christophe De Reyff, Pr. Franz-Karl Reinhart et Pr. Pierre Jacquot – pour beaucoup de discussions très intéressantes, ainsi que pour la lecture critique du manuscrit.

Bibliographie 

§ Pr. F. K. Reinhart, Infrared absorption of atmospheric carbon dioxide    2014, Rev. 20172020-fkr

§  A. Bovay-Rohr Suggestion au GIEC: calculs à (re) faire sur CO2 et CH4  2020 – il est conseillé de lire tous les liens de documentation, ne serait-ce que du point de vue historique. 

§ A. Bovay-Rohr Does a 288 K hot water bottle induce a measurable greenhouse effect?  2020

§ A. Bovay-Rohr  Verursacht eine 288 K Wärme-Bett-Flasche einen messbaren Treibhauseffekt? 2020

Commentaires

§ Le 31 août 2020 à 14:36  «… Sur le fond, la bouillote expérimentale que vous imaginez s’inscrit dans la lignée des expériences d’Eunice Foote, de John Tyndall ou de Robert Wood, mais, contrairement à ceux-ci, vous posez correctement le problème et vous vous appuyez sur une instrumentation adéquate. Le tour de force tient à ce que vous proposez des expériences réelles, dont l’issue est tellement évidente qu’elles ne donnent même pas envie d’être effectuées. Ainsi, la bouillote d’André Bovay-Rohr s’apparente à une Gedankenexperiment, au même titre que le bain d’Archimède, la pomme de Newton, le démon de Maxwell, ou le chat de Schrödinger – foi de physicien!

Vous faites, à mon avis, une analyse pertinente de ce qui relève, dans cette question du CO2, de la thermodynamique, et ce qui revient à la physique quantique: l’activité quantique d’émission-absorption de ce gaz est certes considérable, mais ne se traduit pas par un réchauffement significatif de l’atmosphère; reste donc la thermodynamique, qui exclut un rôle particulier quelconque du CO2 par rapport à l’air. C’est limpide! …»

Pr. Pierre Jacquot pr-pierre-jacqot

Fin des commentaires

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Traitement immédiat urgent au début de la maladie COVID-19. Ne pas l’appliquer est pénal.

Traitement immédiat urgent au tout début de la maladie COVID-19 ? Que se passe-t-il en Suisse ? Le présent propos a été présenté le 8.7.2020 au quotidien lausannois 24Heures sous forme de lettre de lecteur et n’a pas été publié. Une copie fournie à la RTS (Radio et TV) le 10.7.2020 n’a pas eu plus d’écho; on ne sait pas par QUI et comment le traitement cité ici est bloqué – mais je suis amené à proposer les grands moyens pour mettre fin au bloquage …  Car je suis excédé par les effets de toutes sortes sur notre vie courante – par ce maudit virus – et il y a des morts et des handicapés sévèrement atteints, bientôt dans chaque famille ! C’est inacceptable …

Documentation: 

§ https://www.24heures.ch/jair-bolsonaro-teste-positif-au-covid-19-791648825417   

§ en anglais: https://www.ijidonline.com/article/S1201-9712(20)30534-8/fulltext       en français: https://www.financialafrik.com/2020/07/02/hhydroxychloroquine-une-etude-americaine-qui-change-tout/   

§ https://www.mediterranee-infection.com/epidemie-a-coronavirus-covid-19/   c’est la recette de pharmacie de l’IHU du 22 mars (!) 2020. 

§ Gagner la guerre contre le coronavirus COVID-19

§ Code pénal article 128

 *   *   *  

Quand une personnalité est atteinte de COVID-19, il reçoit un traitement. L’énoncé de ce traitement fait reconnaître celui du Pr. Raoult, dont la recette de pharmacie date du 22 mars 2020 (!); selon les travaux de l’IHU de ce médecin, le traitement efficace est administré d’urgence.  

Les travaux de grands hôpitaux de Detroit, USA, montrent que les patients ont un intérêt vital à suivre ce traitement. Au vu de cette documentation, on pourrait s’attendre aux mesures suivantes en Suisse: 

1. Au moindre soupçon de contamination au virus SRAS-Cov-2, le médecin de famille ordonne un test du patient et de tout son entourage.  

2. Dès cet instant et dans les 36 heures au plus tard, de préférence immédiatement, il ordonne le traitement approprié pour détruire le virus chez le patient. La recette de pharmacie se trouve dans la documentation susmentionnée, Plaquenil ou générique, Azithromycine, utilisés avec les précautions d’usage. 

3. Suivi de chaque patient pour détecter une dérive (circulation, respiratoire, etc.).  

En admettant que ces mesures ne soient pas prises ou soient découragées ou soient interdites aux médecins de famille, le patient sera fondé, ainsi que son entourage si lui-même ne le peut pas, à déposer dès maintenant une plainte pénale selon art.128 CP. 

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Nuls en sciences de base? La note sera très salée !

La gestion générale des trois sujets évoqués ici, a été si insuffisante, que notre Société est tristement menacée d’effondrement. Le pire: par le calcul scientifique, on le voit venir …

Pandémie en 2020

Documentation: Automédication contre la COVID-19 / self-medication Connaissant les caractéristiques mathématiques d’un virus comme SRAS-COV-2, dans l’intérêt des patients il faut privilégier un traitement préventif ou dès les premiers symptômes: on améliore ainsi d’importance la survie des patients, on freine la progression de l’épidémie, en faisant d’entrée toutes les misères possibles au virus. On traite le malade – confiné dans son lit à la maison – on ne l’abandonne pas avec du paracétamol et du thé de tilleul !

C’est pourquoi ne pas évaluer les effets de sprays nasals (et de gargarismes), ne pas en parler, ne pas les vendre en pharmacie – ou vilipender le traitement de l’IHU contre la COVID-19 (qui aurait dû être utilisable par les médecins de famille), sont si nuisibles. La condition, pour interdire ou déconseiller un traitement rapide à large échelle (soi-disant mauvais, pourtant testé et recommandé par une équipe de médecins experts, traitement dont les défauts principaux sont d’être bon marché et français), aurait naturellement été d’en proposer illico au moins un autre applicable immédiatement, avec des prestations équivalentes, mesurables sans biais dans les cohortes choisies pour les tests – on en est très loin; on s’est donc retrouvé SANS traitement initial diligent sur le terrain: adieu la “fin de partie” – le virus a eu le champ libre !

On doit attendre du virus SRAS-COV-2, à supposer qu’un vaccin fonctionne en partie, pour la suite au mieux à un comportement proche de celui de la grippe, au pire au retour d’une autre vague destructrice.

Les tests cliniques dans de grands hôpitaux, de l’efficacité de molécules anti-virus, ont présenté presque tous une caractéristique commune, un défaut de schéma hautement critiquable: les gens hospitalisés pour la plupart étaient gravement atteints, avaient dépassé la phase d’apparition de symptômes bien visibles: ils avaient attendu trop longtemps, le virus avait eu le temps de se multiplier massivement; ils avaient déjà subi de gros dégâts dûs au virus ou avaient été victimes de surinfections; quel sens attribuer à ces tests médicaux déraisonnables ?

Il faudra à notre bon peuple beaucoup de chance pour sortir indemne de l’actuel cafouillage vaudois, suisse et international; en tout cas, pour le moment en Suisse, en plus des handicapés et des morts, les dégâts économiques gigantesques ont bien fait comprendre à tous ce que peut coûter une épidémie avec un microbe nouveau.  

CO2 et climat global

Documentation: Le canular du siècle, son petit nom: CO2 …  du 1.1.2019. Ne sachant pas lire un rapport de physique, ayant une formation nulle ou des plus rudimentaires dans cette science de base, la Société a gobé des sottises aussi énormes que le soi-disant “effet de serre” du CO2 et du méthane CH4. 

Se cachant derrière une alléguée exigence de publier les travaux de physique dans des revues spécialisées (à comité de lecture – chères et élitistes), on trouve des journalistes dits scientifiques ou des universitaires bardés de diplômes, confirmant par cette exigence préalable leur incapacité à lire les travaux scientifiques publiés sur le CO2 par le Pr. Reinhart ! Travaux de physique pourtant assez simples et basiques à comprendre, en optique IR et surtout en thermodynamique.

La Société utilise donc des croyances, aussi invraisemblables qu’une influence de l’humanité sur le climat, qui ferait soi-disant monter la température moyenne du Globe de plusieurs °C (!). On a donc légiféré sur le CO2; il en résulte des contraintes abusives, sans aucun fondement scientifique (réclamées à grands cris par des manifestants passionnés, avec large publicité de journalistes irresponsables), des impôts et des taxes tout aussi infondés … C’est dire, nos ressources galvaudées et la Société suisse (mais pas seulement elle) égarée dans des efforts dénués de sens, quelle plongée économique et technique traumatisante l’attend.

Transition énergétique

Documentation: Naufrage programmé de la nouvelle loi LEne   de mars 2017. Ne sachant pas mieux calculer un système énergétique, qu’évaluer les gaz atmosphériques, la Société a pris les décisions des plus farfelues à propos d’électricité; n’ayant pas compris ce qu’est un facteur de charges, ELLE ne sait pas faire la différence entre une puissance et une capacité de production présente à temps; trompée sur les dangers réels de la radioactivité, ELLE s’est lancée dans l’interdiction arbitraire de construction d’usines nucléaires et dans leur indispensable remplacement par des sources d’énergies renouvelables techniquement inadéquates (opération donc ruineuse et vouée à l’échec). L’Allemagne par exemple, prise à la gorge du fait de ses installations solaires et éoliennes gigantesques, le prix de son électricité envolé au double, s’est sauvée tant bien que mal avec de grandes et nombreuses usines à charbon … que la Suisse n’a pas.

La sécheresse installée en Europe pourrait bien avoir pour origine la masse des éoliennes: cet effet secondaire des plus contrariants, aux effets naturels catastrophiques, n’a pas été quantifié …

La Société se trouve ainsi dans une impasse énergétique: les effets dangereux en vont se manifester dans un futur beaucoup plus proche que 2050; en électricité, la punition en Suisse sera à l’improviste, surtout en période de forte consommation, la survenue de “black-outs” (plusieurs jours sans courant en plein hiver, par exemple !): cela pourra arriver quand les pays voisins auront eux-mêmes des trous dans leur production.

Actuellement, en Suisse on ne construit que très peu de maisons 100% solaires; on multiplie les bâtiments à toits plats, extrêmement vulnérables à des tempêtes de neige et de glace exceptionnelles. Le problème du chauffage sans énergies fossiles est donc très loin d’être résolu (50% de la consommation globale d’énergie suisse, qui sont essentiellement couverts par des importations): quelle pagaille !

Le Gouffre

Le dénominateur commun de ces trois affaires mal gérées, dont les pertes vont se chiffrer en centaines de milliards de CHF: le refus de la Société d’écouter de vieux scientifiques ou de vieux experts médecins, plongée qu’elle est dans un océan d’incompétences en physique et en mathématiques; même les plus beaux navires, mal pilotés peuvent couler:         2020-05-27-titanic-1912

Naufrage du Titanic en 1912, étrave vers 3’800 m de fond  / Source: courriel de National Geographic, 25 mai 2020, photo en 2019.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 27 mai 2020, rév. 11.12.2020

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Climat et CO2 – Argumentaire pour climato-réalistes

C’est avec grand plaisir que j’ai découvert un auteur scientifique, qui comme moi trouvait bizarre, la soi-disant faculté de l’humanité à influencer le climat global; qui s’interrogeait sur les soi-disant propriétés de certains gaz, en microscopiques traces dans l’atmosphère, à piloter cet étonnant effet. 

Or dès les premiers calculs en physique, on est saisi de doutes; qui se confirment, quand on en vient à estimer le maximum atteignable par ces propriétés: ni le CO2, ni le méthane, ni aucune des grosses molécules de l’air ne permettent en réalité d’effet de serre appréciable (moins de 0.12°C); l’équation de transfert radiatif numérisée en minimise donc l’hypothèse, cependant que l’application de l’équation des gaz parfaits à notre troposphère la détruit … Par un autre chemin, l’auteur a compris combien l’humanité a peu de pouvoir sur Terre.

Je ne résiste pas au plaisir de fournir au lecteur, comme apéritif, un extrait des plus savoureux, à propos des sautes naturelles de températures du climat suisse, observées à Zermatt. 

L’éditeur, Colombier (VD), le 18 mai 2020

Biographie de l’auteur: 

  •   Formation: ingénieur électricien EPUL
  •   Puis informaticien
  •   Enfin administrateur.
  •   Climatologie: a participé à la première grande étude climatologique faite à l’EPFL (années 1980: projet CLIMOD, impact des centrales nucléaires sur le climat; cet impact s’est révélé quasi-nul).
  •   Scientifique retraité et climato-réaliste

Manuscrit (21 pages)Petit argumentaire pour climato-réalistes (.pdf)

Extrait promis: « …

Le pèlerinage des Zermattois:

Au XIIIe siècle, l’évêque de Sion avait imposé aux Zermattois un pèlerinage annuel à l’église de Valère à Sion. A pied, bien entendu (en été – début automne, car sans neige sur le chemin). Pour expier quelque forfait (non documenté à ce jour)? Ce n’est pas toute la population qui devait pèleriner ainsi, mais une délégation de notables (10 à 20 personnes).

Or, avec les températures actuelles et les équipements de marche de l’époque (chaussures à semelles en cuir durci ou en bois, pas de crampons à glace, pas de piolets), quel était l’itinéraire pédestre le plus court de Zermatt à Sion? Descendre la vallée de la Viège jusqu’à Viège, puis celle du Rhône jusqu’à Sion. C’était long: 3 jours (en se levant tôt, marchant d’un bon pas et s’arrêtant tard); ajoutons un jour à Sion pour faire ses dévotions et se reposer, puis les 3 jours du retour: en tout, une semaine!

Mais il y a un itinéraire pédestre plus court: partir de Zermatt vers l’Ouest (sur la moraine du glacier de Zmutt) jusqu’à la cabane actuelle de Schönbiel, puis monter au Nord jusqu’au col d’Hérens, enfin descendre le val d’Hérens: 2 jours seulement (en quittant Zermatt aux aurores!). Donc pèlerinage raccourci à 5 jours. “Halte là!” direz-vous: “le col d’Hérens est à 3458 m d’altitude et complètement englacé, même en plein été; et pas moyen de contourner son glacier (glacier de Ferpècle): il barre tout le col et ses deux flancs butent sur des parois à pic! Avec leurs équipements de marche du XIIIe siècle, les Zermattois n’auraient jamais pu le franchir (glace vive car plus de neige en été-automne) … Et pourtant, les Zermattois franchissaient ce col; c’est documenté! Seule explication possible: au XIIIe siècle, le col d’Hérens n’était pas englacé. Donc le glacier de Ferpècle ne descendait pas au-dessous de 3400 m (altitude du col actuel englacé moins quelques dizaines de m de glace). Et quelle est l’altitude actuelle de la pointe du glacier de Ferpècle? 2300 m. Différence en m d’altitude: 1100 m. Différence en °C: 1100 m/ 400 m/°C = + 2,75 °C au XIIIe siècle. 

Pour les amateurs d’histoire: au début du XIVe siècle (années 1310), il y a eu un refroidissement climatique fort et rapide. Le glacier de Ferpècle a avancé et barré le col d’Hérens (comme maintenant). Les Zermattois ont écrit à l’évêque qu’ils ne pouvaient plus passer. Ils espéraient qu’il supprimerait leur pèlerinage, mais Monseigneur ne l’entendait pas de cette oreille. Il leur a répondu en substance: “En attendant que le glacier recule assez, vous ferez le pèlerinage par Viège. Mais comme il est plus long, vous ne le ferez qu’un an sur deux.” Le pèlerinage n’a été supprimé qu’en… 1666!     

Jean-Daniel Gousenberg, Ecublens,  janvier 2020 …» 

Table des matières

§  Introduction

§  Evaluer les données quantifiables dans leur contexte: le poids du CO2 dans toute l’atmosphère

§  … (bis): le poids du CO2 dans les gaz à effet de serre

§  Tenir compte de toutes les causes de modifications climatiques et du poids relatif de l’impact de chacune

  •   Variations du rayonnement thermique du soleil
  •   Eruptions volcaniques
  •   – Variations des courants marin

§  Evaluer objectivement la qualité et la fiabilité des modèles prévisionnels en usage

§  Tenir compte de l’histoire du climat, même ancienne

§  L’optimum médiéval

§  Evolutions “températures vs. CO2” au XXe siècle: vous avez dit “Bizarre”?

§  Pause pour lier la gerbe

§  Mais alors, pourquoi la doctrine des climato-catastrophistes domine-t-elle tant le débat (au point qu’on peut l’appeler “pensée unique”)?

§  De l’espoir…

§  …mais les mesures erronées ont la vie dure

  •   L’heure d’été
  •   L’interdiction des CFC (Chloro-Fluoro-Carbones)
  •   La “mort des forêts”

§  Economie: l’art de se tirer une balle dans le pied

§  L’espoir viendra-t-il d’outre-Atlantique?

  Annexe 1: Pour en savoir plus: mini-bibliographie et “webographie”

  Annexe 2: Preuves valaisannes de l’optimum médiéval: 3 degrés de plus que maintenant au XIIIe siècle

  •   Les vignes (au 13ème siècle, limite 1’500 m d’altitude)
  •   Le seigle cultivé jusqu’à 2000 m (ex. les terrasses de Chemeuille)
  •   Le tronc d’arole du glacier du Gorner (sous le Mont Rose)
  •   Les pâturages (alpages): …Leur limite au 13ème siècle: 3000 m.
  •   Le pèlerinage des Zermattois
  •   La viande fraîche pour les Valdôtains

Annexe 3: Les cycles de Milankovic

Annexe 4: “Le GIEC a toujours raison”: La “noyade” des Tuvalu

Annexe 5: Retour au CO2: aimez-vous le camembert?

L’éditeur, Colombier (VD), le 18 mai 2020

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Climat – l’urgence est infondée …

Le quotidien 24Heures a publié le mardi 10 mars 2020 la lettre de lecteur que je lui avais adressée une semaine auparavant. En rouge, les parties modifiées ou ajoutées.

Titre: Les émissions de CO2.

[La présente fait suite à la lettre de lecteur du mardi 3 mars 2020 dans 24 Heures en page 18,  de Mme Christine Moichon. ] A propos de  la lettre de lecteur de Mme Christine Moichon intitulée «Climat – Face à l’urgence: abdication ou rébellion?» («24 Heures» du 3 mars 2020).

Par suite de travaux scientifiques à propos de CO2, un vétéran des sciences physiques de l’EPFL, le Pr. Franz-Karl Reinharta découvert qu’il n’y a en réalité qu’une interaction microscopique entre la chaleur du sol (source chaude) et l’atmosphère le contenant en traces. Cela veut dire que le CO2 ne provoque pas par sa présence de réchauffement climatique global; cela veut aussi dire que toutes les émissions de gaz divers, comme le CO2 ou le méthane, ne sont pas capables de provoquer un effet de serre dans notre atmosphère (densité trop grande pour cela). Le CO2 est un traceur de la chaleur globale, à l’échelle de temps géologique, en principe à retardement: mais il ne la provoque pas. 

Les traités, les COP, les spectaculaires déclarations « d’urgence climatique »  et notre loi sur le CO2 en sont rendus scientifiquement infondés: à quand leur disparition officielle ? 

Il n’y a donc pas d’urgence à freiner nos émissions de gaz à soi-disant effet de serre: le GIEC, nos Autorités et tous ceux qui s’agitent autour de la croyance à l’urgence climatique n’ont pas su – ou pas voulu – prendre connaissance de ces travaux, publiés dès 2014. Les manifestations et les rébellions en ont aussi perdu tout fondement: il n‘y a pas lieu d’en tolérer un quelconque désordre public.

André Bovay-Rohr, physicien, Colombier, le 10.3.2020

Commentaires

L’auteur a reçu une lettre et un téléphone de deux lecteurs, en substance soulagés de constater que quelqu’un osait “dire ce qui en est” !

L’éditeur, le 12.3.2020

Le quotidien 24Heures a publié le 19 mars une lettre sous le titre “Réchauffement / Peut-on être climato-sceptique?“, d’un lecteur qui croit encore que les gens du GIEC sont des scientifiques, “…qui… imputent le réchauffement à raison de 99% à l’activité humaine …“; d’autre part sa conclusion: “… Nier le lien de causalité entre les rejets de gaz à effet de serre dus à notre civilisation et le réchauffement, c’est nier l’évidence et c’est vraiment stupide” montre impoliment qu’il n’a pas lu le travail scientifique démontrant que l’effet de serre n’existe pas ici-bas. Cette critique est scientifiquement parlant nulle et c’est bien dommage qu’elle ait reçu place dans ce journal.  

Le quotidien 24Heures a publié le 24 mars une lettre sous le titre “Climat / Les émissions de CO2” d’une lectrice qui a cité, vraisemblablement sans les lire, à tort et à travers les travaux du Pr. Reinhart et de M. Keller; elle n’a donc pas compris que l’effet de serre n’existe pas ici-bas; d’autre part elle n’a pas compris que les justifications scientifiques des actions des Grands-Parents pour le climat (dont semble-t-il elle fait partie) ont disparu, tout comme celles de la loi sur le CO2. Là où sa critique s’égare, c’est en me prêtant des intentions gaspilleuses d’essence ou d’indifférence envers la pollution. Cette critique est scientifiquement parlant nulle et c’est bien dommage qu’elle ait reçu place dans ce journal.  

L’éditeur, le 27.3.2020

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