COVID-19 deve essere trattato – in italiano

Contro questa malattia da virus SARS-COV-2 è possibile:

– prevenzione, lavandosi le mani (alcool concentrato), indossando una maschera e spray nasale

– sospettando un inizio di infezione, spray nasale e gargarismi immediatamente, minimo mattina e mezzogiorno

Principio attivo dello spray nasale: Baby Shampoo diluito (1%) con soluzione fisiologica (9 g / l di sale); questo principio è attivo contro tutte le varianti di COVID-19 .

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

// Nota documentaria del 21.4.2021
Utilizzando i risultati del Prof.Craig Meyers, Penn State University (Philadelphia, USA), vediamo che risciacqui, spray nasali e gargarismi possono essere utilizzati per distruggere tutti i virus COVID-19, utilizzando l’adiuvante liquido usato dai suoi colleghi chirurghi del naso (ENT ); ha semplicemente verificato che l’adiuvante era anche virucida per SARS-COV-2; questo adiuvante quindi non ha bisogno di essere sottoposto a test, come un farmaco, per entrare immediatamente in servizio: è stato utilizzato nei pazienti, dopo un intervento ORL alla Penn State, già da più di 10 anni a casa. 

// Fine della nota documentale del 21.4.2021

André Bovay-Rohr, Colombier-sur_Morges, il 5.4.2021

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COVID-19 debe tratarse – en español

Contra esta enfermedad por el virus del SARS-COV-2, es posible:

– prevención mediante el lavado de manos (alcohol concentrado), el uso de una mascarilla y un aerosol nasal

– ante la sospecha de la aparición de una infección, rocíe la nariz y haga gárgaras inmediatamente, como mínimo a la mañana y al mediodía

Principio activo del spray nasal: Baby Shampoo diluido (1%) con solución fisiológica (9 g / l de sal); este principio está activo contra todas las variantes de COVID-19.

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

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COVID-19 deve ser tratado – em português

Contra esta doença do vírus SARS-COV-2, é possível:

– prevenção, por lavagem das mãos (álcool concentrado), pelo uso de máscara e por spray nasal

– por suspeita de início de infecção, spray nasal e gargarejo imediatamente, no mínimo de manhã e ao meio-dia

Princípio ativo do spray nasal: Baby Shampoo diluído (1%) com solução fisiológica (9 g / l de sal); este princípio é ativo contra todas as variantes do COVID-19.

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

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A COVID-19 kezelést igényel – magyar nyelven

A SARS-COV-2 vírusos betegség ellen lehetséges:

– megelőzés kézmosással (tömény alkohol), maszk viselésével és orrspray-vel

– a fertőzés kezdetének gyanújával azonnal orrpermetet és gargarizálást, minimum reggel és délben

Az orrspray aktív eleme: Baba sampon (1%) fiziológiai oldattal (9 g / l só) hígítva;

ez az elv a COVID-19 minden változatával szemben aktív.

 

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

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COVID-19 należy leczyć – w języku polskim

Przeciwko tej chorobie wywołanej wirusem SARS-COV-2 można:

– profilaktyka poprzez mycie rąk (skoncentrowany alkohol), noszenie maski i spray do nosa

– podejrzewając wystąpienie infekcji, natychmiast aerozol do nosa i płukanie gardła, minimum rano i w południe

Zasada działania sprayu do nosa: Szampon dla niemowląt rozcieńczony (1%) roztworem fizjologicznym (9 g / l soli);

zasada ta działa na wszystkie warianty COVID-19

 

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

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CO2 – Démarches officielles – communiqués

De: Famille Bovay-Rohr /Objet: Information sur le recours au TF 1C_122/2021, à propos de loi sur le CO2 et de votations du 13 juin 2021 / Date: 19 mars 2021 16:28:45 UTC+1

À: « RTS_Secrétariat Actu TV (RTS) » <TJ@rts.ch>, « Rédaction-RSR (RTS) » <Redaction-RSR@rts.ch>, Madeleine von Holzen <madeleine.vonholzen@letemps.ch>, « Ansermoz, Claude » <claude.ansermoz@24heures.ch>, suisse@keystone-ats.ch

Cc: Prof. Franz-Karl Reinhart, Prof. Jean-Claude Pont

Communiqué

Monsieur le Rédacteur en Chef,

Par la présente, vous recevez copie du message de ce jour au Chancelier de la Confédération, suite au rejet du recours 1C_122/2021 auprès du TF, contre la décision du CF de soumettre la loi sur le CO2 le 13.6.2021. 

En résumé: Il s’agit d’éviter à la Confédération de faire voter le peuple sur un objet sans fondement physique, ce qui est offensant et ridicule ! 

En effet, par des études en physique, confirmées par des études en histoire des sciences, il s’avère que l’effet de serre est microscopique, n’existe en pratique pas physiquement, a été inventé par un éditeur frauduleux du GIEC en 1995. Le fondement même de la loi sur le CO2 en est vidé de sa substance, est nul … 

Pour le moment, il semble que personne ne soit en mesure de reprendre le problème et de ramener sur terre une élite suisse égarée par des croyances aberrantes, à propos de physique de l’atmosphère. 

D’après les prévisions publiées, la Confédération et les consommateurs vont donc dépenser des milliards chaque année, sur la foi de cette tromperie …

A votre disposition. Salutations les meilleures. / André Bovay-Rohr, physicien / …

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Message pour la Chancellerie réexpédié :

De: Famille Bovay-Rohr / Objet: Rép : Procédure future pour tenir compte de la réalité (pour la loi sur le CO2): votre avis SVP ?  / Date: 19 mars 2021 11:56:49 UTC+1 / À: assistentinnen-pool@bk.admin.ch Cc: Prof. Franz-Karl Reinhart , Prof. Jean-Claude Pont

Le présent message est de contenu public (sauf adresses de courriel)

Destinataire: Chancellerie fédérale / Copies: personnes citées

Monsieur le Chancelier,

1. Je n’ai pas reçu de votre part une réponse à ma question du 5 février 2021 (en annexe 2 .pdf).  

2. Ayant recouru auprès du Tribunal Fédéral contre la décision de soumettre au peuple en votation la loi sur le CO2, documentation à l’appui, le recours est déclaré irrecevable. Document en format .pdf en annexe 1, affaire No TF  1C_122/2021. Avez-vous pu en prendre connaissance ? 

3. La publication du Pr. Pont du 24.9.2021, sur la fraude scientifique qui entache l’entier de cette loi, a confirmé ce que le Pr. Reinhart avait trouvé en 2014 en physique, ce que j’ai pu vérifier,  découverte re-publiée en 2017 et dont j’ai à plusieurs reprises averti le Parlement. En annexe 2 , la documentation fournie au TF. 

Je cherche toujours à éviter à la Confédération de faire voter le peuple sur un objet sans fondement physique, ce qui est offensant et ridicule: c’est bien à la Chancellerie et au Conseil fédéral à prendre connaissance des faits et à agir auprès du Parlement. Etes-vous d’accord avec cette analyse ? 

A votre disposition. / Salutations distinguées. / André Bovay-Rohr, physicien / …

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Annexes 

1. 2021.03-19 TF arret 1C_122:2021

(dans le message à la Chancellerie, la copie de la documentation fournie avec le recours est trouvée ici après le texte, sous forme de liens). 

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2. Texte du recours, envoyé par Incamail. 

De: Famille Bovay-Rohr / Objet: Recours contre la décision du Conseil fédéral du 3.3.2021 de faire voter le 13 juin 2021 sur la loi sur le CO2 / Date: 4 mars 2021 12:28:40 UTC+1 / 

A: Tribunal fédéral adresse   kanzlei@bger.ch

Cc: beat.furrer@bk.admin.ch, « Info@admin.ch » <info@admin.ch>, Prof. Franz-Karl Reinhart, Prof. Jean-Claude Pont

Monsieur le Président,

La présente fait suite à la décision du Conseil Fédéral de ce jour de soumettre au vote du Peuple: «4.    Loi fédérale du 25 septembre 2020 sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre (Loi sur le CO2) (FF 2020 7607);»

Aussi selon communiqué de la Chancellerie:     https://www.admin.ch/gov/fr/accueil/documentation/communiques.msg-id-82564.html   

Or le CO2 ne présente pas d’effet de serre, pas plus d’ailleurs que les autres gaz comme le méthane, selon des travaux en physique et en histoire des sciences publiés et joints au présent mémoire sous forme .pdf. De la part des nombreux spécialistes ayant lu ces travaux, comme éditeur je n’ai pas reçu de contestation recevable depuis leur publication. 

D’où mon recours contre cette décision du 3.2.2021 du Conseil fédéral. 

N’ayant pas reçu de réponse à la question posée le 5 février 2021 à la Chancellerie de la Confédération:  «Peut-on garder ou mettre en vigueur une loi, en se basant sur un effet physique qui n’existe pas ?»

s’ajoute la question au Tribunal Fédéral suisse: «Peut-on faire voter le Peuple sur une loi, basée sur un effet physique imaginaire, inventé par tromperie à l’étranger et adopté sans réexamen en Suisse?»

A votre disposition. Salutations respectueuses. / André Bovay-Rohr, physicien / …

// Données jointes au message (sous forme de fichiers .pdf – prescription du TF). Ici copie de l’échange de messages avec la chancellerie :

§   2021.03-03 chancellerie.pdf

// La documentation est fournie sous forme de liens du blog (pour ne pas répéter des textes .pdf déjà enregistrés) :

§ https://www.entrelemanetjura.ch/BLOG_WP_351/wp-content/uploads/2017/01/2017.01-20-FKR-sur-CO2.pdf    

tiré de l’article sur le Pr. Reinhart:    CO2: une chimère climatique ?    de 2017

§   Lettre-sur-le-climat-No-15-.pdf   du 24.9.2020     

tirée de l’article sur le Pr. Pont   Faux Rapports sur le climat (avertissement, cela tombe sous l’Art.307 CP)   du 8.10.2020

§   Does a 288 K hot water bottle induce a measurable greenhouse effect?.pdf   du 9.9.2020   

de Bovay-Rohr, dont l’original est en français et dont il existe une traduction en allemand

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Commentaire

Pour moi, il n’était pas clair si la décision du Conseil fédéral (CF) de faire voter sur le referendum contre la loi sur le CO2 était du 3.2.2021 ou du 3.3.2021. En fait, le 3.2.2021 a été décidé par le CF le programme de votations du 13.6.2021, sous réserve de la réussite des référendums, annoncée par la Chancellerie le 3.3.2021. Dans l’arrêt du Tribunal fédéral (TF), le rejet du recours vient bien de l’impossibilité d’attaquer devant le TF le contenu d’une loi, décidé par l’Assemblée fédérale (et non d’un problème de date).

Reste à voir qui va constater l’étrangeté qu’il y a à fonder une loi suisse sur une fraude scientifique, sur des données fausses résultant d’un vieux délit, et obtenir le retrait de cette loi viciée. En effet, les délits commis il y a 25 ans sont bien prescrits, mais pas ceux qui consistent à importer et à répéter des données fausses jusqu’à nos jours; pour les experts témoignant devant un tribunal, il y a l’art. 307 CP, qui s’applique à ceux qui produisent des données fausses devant la Cour; mais il ne s’appliquerait pas à ceux qui ont induit en erreur les Chambres ? Pour les médias, qui pour le moment répètent journellement les sornettes du GIEC sur l’effet de serre, et sur ses soi-disants effets sur le climat global, il y a l’art. 28 CP; quand et par qui sera sifflée la fin de la récréation ?

  

   

   

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CO2 Guilt. Origins of an Ideological and Political Saga

At the end of 2017, Jean-Claude Pont wrote a book entitled Le vrai, le faux et l’incertain dans les thèses du réchauffement climatique (What’s True, False or Uncertain about Global Warming Theses).

In order to extend the impact and reach of his book and to update its content, he published Climate Newsletters (since 2018). Newsletter n°15  has been translated into English now; for n°1 to n°14 in French, see:

 Climat et CO2 – Expert en Histoire et philosophie des sciences: Prof. Jean-Claude PONT   

Jean-Claude Pont obtained his degree and then his doctorate in mathematics at the ETHZ (Swiss Federal Institute of Technology in Zurich). A former professor at the University of Geneva, he created and directed the History and Philosophy of Science chair there for some twenty years. He was also a mountain guide.  

Climate Newsletters n°15 Abstract 

In 1995, the IPCC’s Assessment Report 2 (AR2) concluded that the warming at the end of the 20th century could not be attributed to greenhouse gases. But after the final version of the chapter on « causality and attribution » was released, Ben Santer, its main author, redacted the chapter behind the backs of its editors and reversed the conclusion: he attributed the warming to CO2 and made it the official position of the IPCC. The operation had to be agreed upon, since in 1999 the IPCC introduced a directive recommending that the Scientific Report be adapted to the Summary for policymakers, i.e. governments. This political stranglehold is confirmed by the confession of a repentant activist, Michael Shellenberger, who, in Apocalypse Never, recounts how economist Richard Tol became involved in the work of the IPCC, before throwing in the towel because of the prevailing alarmism. You  will find further confirmation in Patrick Moore’s Confession of a Greenpeace Dropout. 

Full text:   Letter 15 February 2021; original in French 24.9.2020

Translation is the work of a small team.

Pr. Hon. Jean-Claude Pont, Sierre, 4. February 2021

For address : jean-claude.pont@bluewin.ch

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COVID-19 En sortir plus vite qu’avec les vaccinations

Les malades et ex-malades de la COVID-19 sont (heureusement) beaucoup moins nombreux que les bien portants, même après le passage de deux vagues de pandémie. C’est pourquoi nous allons ici nous concentrer sur la phase de transition, de bien portant vers le statut de patient: les nombres de gens à traiter sont (heureusement) infiniment moins grands que ceux à vacciner.

En se souvenant des mathématiques des séries, on s’aperçoit qu’il est horriblement difficile de se sortir d’une pandémie installée: il aurait fallu pouvoir faire tomber la raison de la contagiosité à un nombre inférieur à 1 sitôt l’existence de la maladie connue; c’est encore le but à atteindre à tous les stades de la pandémie: le seul moyen vraiment rapide et efficace, traiter la maladie à son début. 

Simulation

Admettons qu’il y ait 10’000 nouveaux cas de COVID-19, sur les 8.5 millions de Suisses, un jour JNOIR de 2020; si la raison est à 1, cela signifie qu’il y a eu le jour d’avant 10’000 nouveaux cas; la probabilité qu’un nouveau malade contamine en moyenne une seule personne dans son entourage, par définition est donc de 1. Pour faire descendre cette probabilité, il faut introduire le long du chemin de contamination non seulement des barrières (en ne changeant rien, la probabilité restera 1), mais aussi une chute importante du taux de reproduction du virus; admettons que 8’000 de ces personnes contaminées se sprayent leurs fosses nasales et se gargarisent matin et midi assidûment, la probabilité chutera théoriquement au plus à 20%; le lendemain, on ne devrait donc théoriquement plus avoir que 2’000 nouveaux cas (en provenance de ces 10’000 cas du jour JNOIR); en répétant le processus, le surlendemain on ne devrait plus en avoir que 400, le jour d’après 80: la loi des séries a été retournée contre le virus ! On a le droit de se demander ce qu’on attend pour s’y mettre (?!). La condition pour qu’on obtienne ce succès est que toute la cohorte des patients se livre au traitement avec la plus rigoureuse des assiduités – c’est sur ce point que va devoir s’exercer une surveillance pointilleuse; c’est le schéma – la réalité sera probablement plus nuancée.

Coûts par patient: un flacon à Fr.0.30, le mécanisme à Fr.1.60, 10 ml de remède anti-COVID-19 Fr.0.02, en tout moins de Fr.2.- de matériel; si l’on tient compte des autres frais, c’est à comparer avec des sprays nasals du commerce vers Fr.5.- à Fr.15.- Les coûts de gargarismes ciblant le SARS-COV-2 sont encore moins élevés.  

 *   *   *

C’est en considérant le sort d’une cohorte de virus SARS-COV-2 qu’on trouve mathématiquement comment pratiquer! Prenons comme véhicule une gouttelette et voyons ce qu’elle devient, quand la contamination a bien débuté:

§1 Elle atterrit sur une poignée de porte et va infecter la main du patient qui la touche; elle attend le geste automatique qui va l’amener dans l’oeil, le nez ou la bouche du patient. Remède: se laver les mains à l’alcool – la contamination a échoué.

§2 Elle atterrit sur la figure du patient, dans son oeil, son nez ou sa bouche. Remède: ne jamais se toucher ou se gratter … et se laver souvent les mains à l’alcool – avec le maintien de la distance, la contamination a peu de chances de réussir.

§3 Elle entre dans les fosses nasales du quidam insouciant qui passe par là à courte distance: il se transforme en patient, la contamination a réussi. Remède: un spray nasal et un gargarisme; c’est la production de nouvelles gouttelettes qui est compromise – la contamination du patient est compromise en partie; toute la descendance des virus formant des gouttelettes étant tuée, le patient a des chances meilleures, face à une cohorte de virus décimée dans ses sécrétions nasales, mais surtout il contamine beaucoup moins son entourage: finies les gouttelettes, finie la descendance du virus ! Mais le virus étant dans le corps du patient, en partie hors de portée du désinfectant, c’est son système immunitaire qui l’amènera à guérir (c’est un peu tard pour vacciner …).

 *  *  * 

 

 

Comme la production de sprays nasals et de collutoires est beaucoup plus simple et facile que celle de vaccins, que leur administration est aussi beaucoup plus simple et facile, la quantité de patients traités à temps peut être multipliée beaucoup mieux qu’avec des vaccins. La probabilité de venir à bout de la pandémie en est augmentée … En systématisant le procédé 3, on peut estimer en venir à bout en moins d’un mois.

Bibliographie

Automédication contre la COVID-19 / self-medication   1.12.2020, qui décrit dans le détail les médicaments à employer pour rendre un patient non-contaminant.

// Note du 13.2.2021

Pour les virologues ou médecins qui voudront étudier les patients après traitement par un spray nasal ou par un collutoire, il faudra savoir distinguer les virus entiers des virus inactivés: les débris d’un virus inactivé comprennent de l’ARN, que par exemple le test PCR verra tout comme celui du virus actif … alors que le virus mis en pièces – et donc sans ses membranes – est inoffensif !

// Fin de note du 13.2.2021

// Note du 7 février 2021

Un expert virologue que j’ai consulté (sur la documentation de l’article qui suit) m’a fait ce jour la très intéressante réponse suivante:

«Je ne suis pas spécialiste de ce genre d’approche. Je vous donne néanmoins mon avis qui est celui de quelqu’un qui a vu passer au moins une cinquantaine de projets depuis un an.

Le problème majeur, c’est que les symptômes apparaissent quand la personne contaminée est déjà contagieuse depuis 2 ou 3 jours. L’autre problème est que certaines personnes sont complètement asymptomatiques mais néanmoins contagieuses. C’est ce qui fait d’ailleurs la redoutable efficacité de la propagation : les gens ne savent pas qu’ils sont malades. Par ailleurs, les aérosols contaminent durablement l’atmosphère d’une pièce (surtout avec les nouveaux variants).

Il faudrait donc se laver le nez en permanence avec un désinfectant tout le temps que durera la pandémie… Je crains que, quel que soit ce désinfectant, il engendrera une irritation des muqueuses (qui pourrait augmenter leur sensibilité au virus in fine). Il pourrait même avoir une certaine toxicité en cas d’utilisation massive sur une longue période. 

Par ailleurs le virus se retrouve assez vite dans les voies respiratoires inaccessibles aux gargarismes et autres collutoires. Néanmoins, je peux me tromper. Bien à vous. Portez vous bien ! …»

Grand merci pour ces précieux avis ! Remarques (mes réponses optimistes) montrant qu’il faut lancer non seulement l’idée, mais surtout aussi les procédés:

1. Si le traitement est efficace, les nombres des malades vont plonger, se ramener au stade où le traçage systématique redevient plausible et efficace. L’efficacité va surtout venir de ce que les gouttes, gouttelettes et aérosols (produits par les patients traités, symptomatiques ou non) vont contenir du virus inactivé par du désinfectant.

2. Donc très rapidement, les gens devant prendre le traitement, en prévention ou en traitement de débutant, vont se retrouver de moins en moins nombreux. Les durées de traitement sont comparables à celles du calendrier du patient (source INSERM, ordre de grandeur 22 jours).

3. Le produit en cours de test est le NFNGA 3 (Baby Shampoo dilué à 1% dans de la solution physiologique). La structure en membranes lipidiques des variants est une constante et donc le désinfectant sera tout aussi efficace. En spray nasal, les quantités en jeu sont microscopiques et les durées de traitement envisagées sont de l’ordre du mois, comme à Penn State en ORL. L’expérience pour le moment est de 6 semaines, sans aucun problème dû à la présence du produit: toxicité quasi-nulle, sauf pour le virus.   

4. NFNGA 2 (collutoire pour combattre une surinfection, avec moins de risques allergiques, en cours de test), provisoirement du Sangerol ou de la Bétadine gargarisme) n’a pas besoin d’être utilisé plus de quelques jours; le spray nasal provisoire NFNGA 1 (Sangerol dilué à 50%)  existe déjà, même durée …

5. Pour les malades atteints dans les bronches, on devra vérifier si des médicaments comme le spray bronchique VANNAIR (cortisone + vasodilatateur) sont efficaces contre le SARS-COV-2: après tout, il contient des conservateurs anti-viraux.

Il faut trouver, persuader et stimuler l’organisme officiel (ou l’association de médecins) lançant le mouvement de médecine générale. En Suisse et dans mon Canton de Vaud, il a été et est pour moi des plus difficile de se faire entendre.

// Fin de note du 7 février 2021

 *  *  * 

Très curieuse panne du blog: la messagerie semble paralysée – que vous ayez aimé le présent article ou pas, aidez-moi au dépannage par un bref message; utiliser l’adresse de courriel:  « PANF blog Bovay-Rohr »<info@entrelemanetjura.ch>

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 25.12.2020, rév. 9.1.2021, 13.2.2021

 

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COVID-19 Get out of it faster than with vaccinations

Patients and ex-patients of COVID-19 are (fortunately) much less numerous than the healthy, even after the passage of two waves of pandemic. This is why we are going to focus here on the transitional phase, from healthy to patient status: the numbers of people to be treated are (fortunately) infinitely less than those to be vaccinated.
By remembering the mathematics of the series, we realize that it is horribly difficult to get out of an installed pandemic: it would have been necessary to be able to drop the reason for contagiousness to a number less than 1 as soon as the disease was known; this is still the goal to be reached at all stages of the pandemic: the only truly rapid and effective way is to treat the disease at its onset.

Simulation

Let’s say there are 10,000 new cases of COVID-19, out of the 8.5 million Swiss, on a JNOIR day of 2020; if the reason is 1, it means the day before 10,000 new cases; the probability that a new patient will infect on average a single person in his entourage, by definition is therefore 1. To reduce this probability, it is necessary to introduce along the path of contamination not only barriers (by not changing anything, the probability will remain 1), but also a significant drop in the rate of reproduction of the virus; let us assume that 8,000 of these infected people spray their nasal cavities and gargle diligently morning and noon, the probability will theoretically drop to at most 20%; the next day, theoretically, we should therefore only have 2,000 new cases (coming from these 10,000 cases of the day JNOIR); by repeating the process, two days later we should only have 400, the day after 80: the law of series has been turned against the virus! We have the right to wonder what to expect to get started (?!). The condition for this success is that the entire cohort of patients engage in the treatment with the most rigorous diligence – this is where careful monitoring will have to be; this is the pattern – the reality will probably be more nuanced.
Costs per patient: a bottle at Fr. 0.30, the mechanism at Fr.1.60, 10 ml of anti-COVID-19 remedy Fr.0.02, in all less than Fr. 2..- of material; if other costs are taken into account, this should be compared with commercial nasal sprays at around Fr. 5.- to Fr. 15.- The costs of gargles targeting SARS-COV-2 are even lower.

 *   *   *

It is by considering the fate of a cohort of SARS-COV-2 viruses, that we mathematically find how to practice! Let us take a droplet as a vehicle and see what it becomes, when the contamination has started well:

§1 It lands on a doorknob and will infect the hand of the patient who touches it; it waits for the automatic gesture which will bring it into the patient’s eye, nose or mouth. Remedy: wash hands with alcohol – contamination failed.

§2 It lands on the patient’s face, in his eye, nose or mouth. Remedy: never touch or scratch … and wash your hands often with alcohol – with keeping the distance, contamination is unlikely to succeed.

§3 It enters the nasal cavities of the carefree fellow who passes by there at short distance: he turns into a patient, the contamination has succeeded. Remedy: nasal spray and gargle; it is the production of new droplets that is compromised – contamination of the patient is partially compromised, but all the progeny of droplet-forming viruses being killed; the patient has a better chance, faced with a decimated virus cohort in his nasal secretions. But above all, it contaminates those around it much less: no more droplets, no more descendants of the virus! But since the virus is in the patient’s body, partly beyond the reach of the disinfectant, it is his immune system that will cause him to heal (it is a bit late to vaccinate …).

 *   *   *

 

 

 

As the production of nasal sprays and mouthwashes is much simpler and easier than that of vaccines, as their administration is also much simpler and easier, the number of patients treated on time can be increased much better than with vaccines. The probability of coming to the end of the pandemic is thereby increased … By systematizing process 3, we can estimate that it will be overcome in less than a month. 

 

Bibliography

Automédication contre la COVID-19 / self-medication    1.12.2020, which describes in detail the drugs to be used to make a patient non-contaminating.

// Note dated 13.2.2021

For virologists or doctors who want to study patients after treatment with a nasal spray or a mouthwash, it will be necessary to know how to distinguish whole viruses from inactivated viruses: debris of an inactivated virus include RNA, which for example the test PCR will see just like that of the active virus … whereas the virus torn to pieces – and therefore without its membranes – is harmless!

// End of note dated 13.2.2021

 *  *  * 

Very curious failure of the blog: mail system seems to be paralyzed; whether you liked this article or not, help me troubleshoot with a quick message; use the mail address: “PANE blog Bovay-Rohr”<info@entrelemanetjura.ch>

André Bovay-Rohr, Switzerland, 25.12.2020, rev.9.1.2021, 13.2.2021 

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Cuisine à l’émission TV Infrarouge: roulade de Nobels à la sauce climatique

On peut prendre le temps de voir toute cette émission du 2.12.2020, intéressante, au lien:    https://www.rts.ch/emissions/infrarouge/11788452-nobel-un-prix-qui-oblige.html  

Cependant, voir vers la minute 26 est particulièrement édifiant: on peut être scientifique, astrophysicien et manquer de rigueur. Dans toute cette émission de la RTS TV, on a beaucoup parlé de l’importance des FAITS; or en ce qui concerne le réchauffement climatique, ces Messieurs scientifiques n’ont rien vérifié: le Chef  Alexis Favre a donc réussi à réunir 3 prix Nobel, pour une roulade dans la farine de ses téléspectateurs !

Lire la lettre No 15 du Pr. Pont éclaire sur la vulnérabilité de la Science aux fraudes scientifiques bien organisées … dommage qu’il n’ait pas été présent pour documenter ce point.

Confidence d’expérimentateur: pourtant ce n’est pas trop difficile, de se procurer une bouillotte à 288 °K … et de vérifier quel effet de serre on peut bien en tirer, non ? Traiter de fraudeurs les climato-sceptiques est un peu court: on devrait d’ailleurs parler plutôt de climato-réalistes, ceux qui se donnent la peine de calculer plutôt que d’affirmer !

J’en sors bien triste.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 5.12.2020

Bibliographie 

Faux Rapports sur le climat (avertissement, cela tombe sous l’Art.307 CP)      

Remarque pour les producteurs et les journalistes: il y a aussi le risque d’offenser l’art.28 du Code pénal suisse, en diffusant de fausses informations ou en les laissant diffuser par des invités sans réagir.

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