COVID-19 нуждается в лечении – на русском

Отправлено 5 апреля 2021 г. автором Courage dit-il

Против этой болезни, вызванной вирусом SARS-COV-2, можно:

– профилактика путем мытья рук (концентрированный спирт), ношения маски и назального спрея.

– при подозрении на начало инфекции немедленно спрей для носа и полоскание горла, минимум утром и в полдень

Активный принцип спрея для носа: Детский шампунь разбавлен (1%) физиологическим раствором (9 г / л соли); этот принцип действует против всех вариантов COVID-19.

 

 

 

 

 

 

 

Научные источники: Адъювант убивает-SARS.pdf; см. Craig Meyers et al.

Четвертая ссылка показывает попытку саботажа со стороны фармацевтической промышленности …

// Документальная записка от 21.4.2021 г.

Используя выводы профессора Крейга Мейерса из Университета штата Пенсильвания (Филадельфия, США), мы видим, что полоскания, спреи для носа и полоскания могут использоваться для уничтожения всех вирусов COVID-19 с использованием жидкого адъюванта, используемого его коллегами-хирургами по носу (ЛОР). ); он просто подтвердил, что адъювант также был вирулицидным по отношению к SARS-COV-2; поэтому этому адъюванту не нужно проходить тесты, как лекарству, чтобы сразу же поступить на вооружение: он уже более 10 лет используется у пациентов после операции ЛОР в Пенсильвании в домашних условиях.

// Конец документальной записки от 21.4.2021 г.

Андре Бовай-Рор, Коломбье-сюр-Морж, 5.4.2021, ред. 6.4.2021

// Примечание от 20.6.2021 г.
После тревожных новостей в ежедневной газете Le Temps
Вспышка в Москве, менее 200 случаев в Швейцарии, в нескольких странах отсутствуют вакцины: новость от 18 июня – текст на французском
Цитировать:
«… Вариант« Дельта »составляет почти 90% новых случаев в Москве … Причем он более агрессивен, быстрее распространяется», – сказал Сергей Собянин в эфире телеканала «Первый канал» … Москва уже увеличилась до 17 тысяч. количество коек для пациентов с Covid на этой неделе и намеревается увеличить свою вместимость до 20 000 в ближайшие дни. Потому что в столице с населением от 12 до 13 миллионов человек за 24 часа было зарегистрировано 9 056 новых случаев заболевания, что является рекордом с начала эпидемии и втрое превышает уровень, зарегистрированный менее двух недель назад. 1764 пациента должны были быть госпитализированы в четверг … »
Столкнувшись с этой катастрофой, я решил предоставить перевод на русский язык.

Андре Бовай-Рор
// Конец документальной записки от 20.6.2021

французский перевод :

// Note du 20.6.2021

Suite aux nouvelles alarmantes trouvées dans le quotidien Le Temps

   flambee-epidemique-moscou-200-cas-suisse-plusieurs-pays-manquent-vaccins-nouvelles-18-juin   

Citation:

«… Le variant Delta représente près de 90% des nouveaux cas à Moscou …Et il est plus agressif, se répand plus vite», a affirmé Sergueï Sobianine à l’antenne de la chaîne télévisée Pervi Kanal… Moscou a déjà porté à 17 000 le nombre de lits destinés aux patients du Covid cette semaine et compte porter ses capacités à 20 000 dans les prochains jours. Car la capitale de 12 à 13 millions d’habitants a enregistré 9056 nouveaux cas en 24 heures, un record depuis le début de l’épidémie et le triple du niveau enregistré il y a moins de deux semaines. 1764 malades ont du être hospitalisés jeudi …»

Devant cette catastrophe, je me suis décidé à fournir la traduction en russe.

André Bovay-Rohr

// Fin de note du 20.6.2021

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Covid-19 Venir à bout de la pandémie

Après avoir perdu plusieurs fois la moitié de leur population, les peuples européens ont aux dernières nouvelles combattu et maîtrisé la peste, de manière plus ou moins sûre avec des antibiotiques. Ce sont des maladies multi-formes donnant des pandémies extrêmement compliquées – voir la description des 3 pandémies principales (6ème au 7ème siècle, 14ème au 15ème siècle, 1855 jusqu’au début du 20ème siècle) dans      https://fr.wikipedia.org/wiki/Peste  . Mais elle n’est en fait pas vaincue: il reste sur Terre des réservoirs et les vecteurs n’ont pas tous disparu.

§ Avec la COVID-19, le milieu médical et surtout le milieu pharma n’ont rien voulu entendre des spécialistes comme le Pr. Raoult ou le Pr. Meyers, des découvreurs de moyens simples pour barrer la route au virus au tout début d’une contamination. Obsédés par l’idée qu’on doit absolument soigner seulement les gens malades et sinon vacciner une grande partie de la nation, ils ont méprisé et négligé les moyens bon marché de venir rapidement à bout du fléau … Humainement et financièrement une catastrophe majeure.

§ Avec la COVID-19, la Presse et les médias ont répercuté abondamment les détracteurs du Pr. Raoult, mais en dehors du présent blog, personne ne s’est donné la peine de tester vraiment la méthode gargarismes+rinçages+spray nasal et d’en parler: de la censure. Quand à l’organisation Cochrane, elle a prétendu qu’il existait des études à conclusions négatives, mais elle n’a pas réussi à me les citer; en réfléchissant à une méthode de test, on s’aperçoit que c’est presque impossible d’en trouver: l’absence de réponses à propos d’études est significative – comment prouver que le spray protège, alors qu’on a peut-être simplement eu de la chance ?

§ Considérant qu’il y a des centaines de variants du SARS-COV-2 et qu’on en connait au moins trois virulents (le chinois, le britannique et l’indien, liste ouverte), on peut penser que la vaccination va se passer comme avec la grippe – à la différence que la COVID-19 est beaucoup plus méchante dans ses effets – une sorte de jeu de la roulette annuel, de quoi assurer à Big Pharma une fortune.

§ Mécanisme du procédé selon le Pr. Meyers

Utilisant un adjuvant éprouvé depuis 2008 à Penn State (date de publication), du domaine ORL, on y trouve un moyen des plus simple d’inactiver TOUS les variants du SARS-COV-2 en s’attaquant à sa structure générale:

 

Source: https://www.creapharma.ch/coronavirus.htm

Les détergents contenus dans l’adjuvant, sprayé dans le « filtre à air » du patient traité (ses fosses nasales), forment un film qui fait sauter les membranes lipidiques du virus qui vient à son contact, donc quelles que soient les structures de ses protéines de pointe: c’est la démolition de l’édifice dangereux, quel que soit le variant. Que le virus provienne de l’extérieur et soit cueilli à l’arrivée ou qu’il soit produit en masse par la muqueuse du nez du patient, il sera détruit. En prime, le patient qui s’est sprayé va peut-être produire comme les autres gens aérosols, gouttelettes ou gouttes, mais ce sera un liquide contenant un détergent mortel pour tout virus SARS-COV-2 rencontré, une sorte de désinfectant ambulant. Référence:    2020.09-17 Meyers Penn State – Lowering the transmission and spread of human coronavirus

C’est le procédé le moins risqué que je connaisse. Quant à son éventuelle inefficacité, elle reste à prouver: le propos me semble extraordinaire de perversité, quand on songe aux nombreux sprays nasaux ou gouttes nasales utilisés par des médecins, depuis des décennies … avec succès.

§ Ma famille et moi utilisons donc le spray nasal, selon la découverte du Pr. Meyers, dans les circonstances suivantes :

1. S’il s’agit de rencontres à risques prévisibles, par exemple au travail ou en devant aller aux achats – au moins une giclée dans chaque narine.

2. Ayant fait des rencontres, dont on pense qu’elles pourraient présenter le moindre risque – une ou plusieurs giclées dans chaque narine.

3. Veiller à ce que chacun se spraye de manière adéquate.

Dans ma famille, depuis le 16.12.2020 où nous avons commencé, personne n’est tombé malade de la COVID-19 … Il faut aussi dire qu’à cette date, nous avons tous été vaccinés en 2021 complètement (selon le certificat pour moi, vaccination le 7 juin 2021 avec Pfizer Comirnaty; j’ai vécu des mois protégé par les sprays). Sachant que le vaccin ne protège pas contre tous les variants, et qu’on peut encore  transmettre un autre SARS-COV-2 ou tomber malade, tant que la pandémie n’aura pas disparu, nous continuerons à nous sprayer.  

 

§ Recette de fabrication maison pour une famille

  • Acheter à la pharmacie (ou commander sur internet) un flacon de spray nasal vide pour chacun.

  • Préparer un litre d’eau bouillante avec 9 g. de sel pur (acheté au pharmacien ou sel marin mesuré avec une balance de précision) dans une bouteille en verre: c’est de la solution physiologique. Avec ce procédé, on est sûr de ne pas avoir le moindre contaminant dans la solution préparée. On peut évidemment aussi acheter en pharmacie ce litre de solution physiologique.
  • On lui additionne exactement 10 ml de Baby Shampoo Johnson (à froid !). L’adjuvant ainsi préparé est à usage médical à la maison, bien que dérivé de produit cosmétique dilué à 1% (voir les sources scientifiques). 

On a ainsi fabriqué 1 litre de Baby Shampoo 1%, de quoi doter une famille nombreuse; il va durer 3 ans, autant que le Baby Shampoo lui-même. 

Documentation 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 18 juin 2021

Commentaire

A l’article de Mme Rebecca Mosimann, de titre (et de lien)   Des vacances d’été entre désir de mer et contraintes sanitaires   le quotidien 24Heures a omis de publier le texte que j’ai soumis comme commentaire:   «Pour arriver à faire face à toutes les mauvaises rencontres des virus de la COVID-19, j’ai découvert par hasard un procédé de spray nasal. Les données du Pr. Craig Meyers m’ont mis sur la piste de la manière la moins risquée de se défendre contre tous les variants. Recettes maison bon marché et descriptifs détaillés sur mon site entrelemanetjura.ch, mot-clé COVID-19. 

J’ai été vacciné ce mois-ci et en attendant, j’ai échappé pendant des mois, ainsi que ma famille, à toutes les contaminations, lors de sorties pour les achats ou en recevant des visites, en étant un peu systématique, ce qui n’est pas pénible; à bon entendeur …»

Ces omissions sont faites sans explications: c’est une forme de censure assez sournoise !

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 20 juin 2021 

Commentaire

La censure a en fait duré quelques jours et mon texte a bien été publié, suite à un deuxième envoi; à l’analyse, il semble que ce soit la donnée du site internet qui bloque la Rédaction: c’est particulièrement bête de bannir les liens, car cela empêche de fournir de la documentation (ce qui fait partie d’un texte scientifique); elle a des excuses: certains liens contiennent des « malwares ». Dates: publication samedi 19.6.2021 à 10h59 – envoi 19.6.2021 à 12h21 –  ré-envoi 22.6.2021; comme quoi il faut plus de patience peut-être, de l’insistance dans tous les cas. Merci à 24Heures !

N’empêche: 24Heures n’a rien publié comme éditorial ou comme article à propos de la méthode du spray nasal (selon Pr. Craig Meyers), pour faire piquer du nez à la pandémie: comme les autorités sanitaires cantonales et fédérales – ainsi que l’OMS et beaucoup d’autres – tous ont pratiqué un silence glacial des mois durant, étrange et désolant … la pandémie a eu le champ libre ! Et pourtant, qu’est-ce qu’on risquait à vérifier d’abord, à essayer ensuite ? Conflits d’intérêts et compétence insuffisante ? Le résultat: nous sommes en Suisse au seuil d’une vague de COVID-19 au variant delta (nouveau nom pour l’indien), la vaccination ne garantissant pas une immunité totale – ou n’excluant pas non plus un transport de nouveaux virus par un quidam vacciné, au-dessus de tout soupçon …

En fin de compte, ne va subsister qu’une seule méthode vraiment sûre pour en finir avec le SARS-COV-2: se sprayer son nez assidûment – rinçages et gargarismes en plus recommandés, mais pas obligatoires. 

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 6 juillet 2021, Rev. 27.1.2023

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CO2-Gesetz – Keine Panik!

Leserbrief in der Tageszeitung 24 Heures vom 7. Juni 2021, vom Autor neu veröffentlicht.  Fazit zur Abstimmung vom 13.6.2021: NEIN

Herausgeber, 9.6.2021

« Das CO2-Gesetz ist eine Folge der aktuellen Klimakatastrophen-Panik und insbesondere seiner Fokussierung auf « anthropogenes » CO2 (durch menschliche Aktivitäten erzeugt), das als alleinig oder fast für die globale Erwärmung verantwortlich erklärt wird.
Dies alles ist jedoch falsch. Erstens, was ist CO2? Weniger als 0,5 Promille (ja, nicht Prozent!) der Atmosphäre (alle Gase davon beeinflussen das Klima). Und von diesen winzigen 0,5 Promille werden kaum 10 % durch menschliche Aktivitäten produziert. Wenn wir also das gesetzlich vorgesehene „anthropogene“ CO2 halbieren, würden sich nur 0,025 Promille der Atmosphäre ändern. Einfluss auf das Klima? Unerheblich!
Die Menschheit muss wieder ein wenig Bescheidenheit gegenüber der Natur lernen, die unendlich mächtiger ist als sie. Es ist die Natur, die das Klima verändert, unter anderem durch
– Schwankungen der Wärmestrahlung der Sonne (sehr stark)
– Schwankungen der Meeresströmungen (in Richtung und Volumen).
Und sie hat es geändert und wird es ständig ändern, oft viel stärker und / oder schneller als jetzt. Um nur ein Beispiel zu nennen: die grosse Erwärmung des Mittelalters, als es im 13. Jahrhundert 3 Grad wärmer war als heute in der Schweiz. Damals produzierte die Menschheit jedoch nur sehr wenig CO2 …
Die Menschheit kann daher nicht „gegen die Erderwärmung kämpfen“, sondern sich nur darauf einstellen (wie zum Beispiel unsere Vorfahren des Mittelalters sehr gut konnten. Und von ihren + 3 Grad sind wir noch weit entfernt! Also kein Grund zur Panik jetzt).
Das CO2-Gesetz ist daher ein falsches Ziel: Seine Maßnahmen werden nichts kühlen, und sie werden sogar schädlich sein, weil sie teuer und unsozial sind (am stärksten werden Familien, Landleute, Bergleute und Pächter betroffen sein). Keine Panik, lehnen wir es ab. »

Jean-Daniel Gousenberg, Ecublens, 7.6.2021

Uebersetzung: André Bovay-Rohr, Colombier, 9.6.2021

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Loi sur le CO2 – Pas de panique !

Lettre de lecteur dans le quotidien 24 Heures du 7 juin 2021, re-publiée par l’auteur. Conclusion pour la votation du 13.6.2021: NON

L’éditeur, 9.6.2021

« La loi sur le CO2 est une conséquence de la panique climato-catastrophiste actuelle, et plus spécifiquement de sa focalisation sur le CO2 « anthropique » (produit par les activités humaines), déclaré seul coupable ou presque du réchauffement climatique.

Or tout ceci est faux.  D’abord, le CO2, qu’est-ce que c’est?  Moins de 0,5 pour mille (oui, pas pour cent!) de l’atmosphère (dont tous les gaz influencent le climat). Et de ces tout petits 0,5 pour mille, à peine 10% sont produits par les activités humaines. Donc, si l’on réduisait de moitié le CO2 « anthropique » comme prévu dans la loi, ça ne modifierait que 0,025 pour mille de l’atmosphère. Effet sur le climat?  Négligeable!

L’humanité doit réapprendre un peu de modestie face à la Nature, infiniment plus puissante qu’elle.  C’est la Nature qui modifie le climat, entre autres par

– les variations du rayonnement thermique du soleil (très importantes)

– les variations des courants marins (en direction et en volume).

Et elle l’a modifié et le modifiera tout le temps, souvent bien plus fortement et/ou rapidement que maintenant.  Pour ne citer qu’un exemple: le grand réchauffement du Moyen Age où, au XIIIe siècle, il faisait 3 degrés de plus que maintenant en Suisse.  Or, à l’époque, l’humanité produisait très peu de CO2…

L’humanité ne peut donc pas « lutter contre le réchauffement climatique », mais seulement s’y adapter (comme nos ancêtres du Moyen Age, par exemple, ont très bien su le faire.  Et nous sommes encore loin de leurs + 3 degrés!  Donc aucune raison de paniquer maintenant).

La loi sur le CO2 se trompe donc de cible: ses mesures ne refroidiront rien, et elles seront même nuisibles car coûteuses et anti-sociales (les plus durement ponctionnés seront les familles, les campagnards, les montagnards et les locataires).  Pas de panique, rejetons-la. »

Jean-Daniel Gousenberg, Ecublens

Bibliographie

   Climat et CO2 – Argumentaire pour climato-réalistes

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Nucléaire cher et renouvelable bon marché : une légende / Commentaire CENSURé par 24Heures

Commentaire, apporté à l’éditorial de M. Pierre Veya dans 24H du 11 mars 2021:  https://www.24heures.ch/lavenir-modeste-du-nucleaire-159291001677 

Citation:  « … Sur les ondes de la RTS, le président de l’EPFL, Martin Vetterli, a évoqué l’idée que la production d’électricité à partir de l’atome pourrait être relancée en raison de la crise climatique. … Le président de l’EPFL relance ici un débat très controversé, qui a débuté au milieu des années 1990 lorsque les experts climatiques ont mis en évidence la nécessité de sortir rapidement des énergies fossiles. … Cet avenir, qui semblait radieux de ce point de vue, s’est heurté à une réalité bien plus triviale: l’énergie nucléaire n’a jamais trouvé de rentabilité économique lorsqu’elle est exposée à la concurrence. …»

Commentaire de Bovay-Rohr: Aussi bien M. Veya que M. Vetterli n’ont apparemment pas réalisé qu’il n’y a pas d’effet de serre du CO2 (que font là des experts « climatiques »?) ! La nécessité de sortir des énergies fossiles a plutôt pour motif leur progressive raréfaction.

Commentaires pour le quotidien, en mars: 

Jean-François Dupont, le 14 mars 2021:        CENSURé, pas publié !

« Avant d’ouvrir le marché, l’UE a fait du benchmarking pour comparer l’efficacité des divers électriciens. Résultat : la France sort gagnante, prix de revient du kWh 20 % en dessous du 2e du classement. Avec 75 % de nucléaire, la France ne pouvait pas atteindre ce résultat si le nucléaire était cher. On a voulu y voir des subventions cachées de l’État. Après enquête il est ressorti que, au contraire, alors que beaucoup d’entreprises nationalisées bénéficiaient de prêts de l’État à des taux de faveur, EDF avait été obligée à emprunter sur le marché financier international parce qu’elle était une des entreprises qui inspirait le plus confiance, et obtenait des prêts. On a voulu y voir des coûts externes non couverts, p. ex. le démantèlement et les déchets : l’enquête a montré que ces coûts étaient couverts. Le plus grave avec cette légende : depuis que l’Allemagne a forcé le développement des renouvelables et arrête ses centrales nucléaires, le prix de l’électricité a doublé et en France qui a fait de même, mais moins fort, le prix de l’électricité a augmenté de 50 %. Pire encore, les émissions de CO2 augmentent sensiblement en Allemagne, et un peu moins en France avec le recours au charbon et au gaz naturel : les renouvelables n’arrivent pas à remplacer le nucléaire. Le vrai problème du nucléaire français : l’EPR. La politique a cassé un outil industriel performant (https://www.geopolitique-electricite.fr/ ). »

André Bovay-Rohr, le 12 mars 2021: 

La « crise climatique »? Le résultat d’une arnaque ! L’énergie nucléaire n’a AUCUNE concurrence de qualité et de fiabilité comparable (il faut connaître les facteurs de charge, les énergies à source intermittente – soleil 11% ou vent 19% – étant bon marché parce que trop souvent on n’en a pas besoin quand elles sont là en surabondance – à comparer avec les plus de 92% du nucléaire présent de janvier à mars 24Heures/24). Ceci est illustré par le prix de l’électricité en Allemagne, qui a doublé à cause des subventions étatiques, coûts supportés par les consommateurs – étrange rentabilité !

Il y a pire: les calculs montrent qu’en Suisse le nucléaire ne pourra techniquement pas être remplacé par des énergies à sources non pilotables, parce que le problème de l’accumulation n’est pas résoluble à l’heure qu’il est ; NB: en passant par l’accumulation, on perd le quart de l’énergie produite.

En ce qui concerne la durabilité: le combustible nucléaire usagé recèle encore 20 fois l’énergie déjà exploitée; il suffira de mettre au point les usines capables de détruire ces « déchets » – or elles existent sur le papier et en simulations informatiques depuis plus de 20 ans – les Autorités fédérales n’ont jamais voulu en entendre parler … Or cela veut dire plusieurs siècles d’énergie électrique disponible, les installations étant plus durables que du PV ou des éoliennes.

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 17 mai 2021

 

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Eoliennes – promesses de sécheresses en Suisse

Le propos ici est d’estimer quelles masses d’air et d’eau seraient en jeu si les projets d’exploitation de l’énergie éolienne de la Confédération pour 2050 allaient être réalisés: un ordre de grandeur. La présente version contient des chiffres révisés en ce qui concerne les performances des éoliennes choisies comme standard (merci à M. De Reyff !).  

// Note du 6 mai 2021   Contexte

Le présent article fait suite à l’annonce du recours de la Commune du Chenit auprès du Tribunal Fédéral (TF). Comme le passage au TF va se muer en jurisprudence, il convient de rappeler à tout le monde que l’utilisation de l’énergie éolienne a été mal préparée sur les points suivants: 

1. La stratégie énergétique 2050 n’a pas la plus petite chance de fonctionner, calculs effectués; l’intermittence et la faiblesse des fournitures (PV + éoliennes) de courant, et en tenant compte de la fourniture nulle prévisible de la géothermie profonde, va avoir pour effet pour la Suisse de se retrouver avec des importations massives d’électricité en hiver; une garantie de black-out en cas de crise de froid européenne (moins de -10°C pendant une semaine). L’intérêt national commande de faire une révision de cette stratégie et de la loi LEne, avant de construire à grands frais des installations sournoisement nuisibles. Voir l’article: Du photovoltaïque sur le toit

2. Le potentiel énergétique éolien suisse a été estimé de manière frauduleuse, volontairement et massivement exagéré; cela a permis de cacher les effets secondaires des éoliennes géantes, du genre météo. D’autre part, elles représentent, en quantités, une perturbation de la mécanique des fluides que sont les vents, aux conséquences même pas étudiées sur les moyens et long termes.  

3. Les calculs montrent que l’usage massif d’éoliennes va amener un déficit de précipitations; ce fléau est très grave pour toute la population, toute la faune et toute la flore – très facile à camoufler, car de calculs difficiles –  et aussi imprévisible dans le détail que le climat. On est sûr cependant que le freinage des livraisons d’eau va entraîner tôt ou tard une pénurie … 

// Fin de note du 6 mai 2021 

Prenons des éoliennes de 100 mètres de diamètre pour faire les calculs. La hauteur maximale atteinte exerçant une influence est cependant estimée à 200 mètres. La surface de l’air traversant l’éolienne est de 7854 m2; à la sortie de l’éolienne, la vitesse de l’air est réduite à environ un tiers de la vitesse du vent; la puissance maximale obtenue est de  2.85.MW; l’énergie de 4.74 GWH/an résulte d’un facteur de charge correspondant à 1’600 ±20% heures de service par an.

Proportion de l’énergie éolienne en jeu, potentiel entamé

De la documentation sur le projet 2050, on tire:  4.26 TWH/an  /  43 TWH/an  => ~ 9.9%

Nombre d’éoliennes minimum   

Projeté pour 2050:  4’260 GWH/an / 4.74 GWH/an => 900 éoliennes aux conditions standards; en tenant compte de la densité de l’air à l’altitude en Suisse: 900 * 1.23 Kg/m3 / 1.16 Kg/m3 => ~ 950 éoliennes

Remarque: Actuellement, les projets portent sur des éoliennes plus grandes, présentant couramment une puissance  de 6 MW; il y en aura donc moins que 950, mais cela ne va pas changer la surface totale utilisée par les éoliennes en freinage du vent.

Masses d’eau

§ Transportées par l’air brassé en une année par une éolienne de 100 m. de diamètre:  525*10E9 kg d’air/an * 7.5 g d’eau/kg d’air =>   3’938 10E9 g d’eau/an => 3’938’000 tonnes d’eau/éolienne. 

 Source: Wikipedia, Limite de Betz

A retenir: c’est la masse d’eau (sous forme vapeur) qui va se déplacer à environ 1/3 de la vitesse initiale du vent, derrière l’éolienne, vapeur qui va participer au potentiel précipitable. Reste à faire estimer par les météorologues quelle est exactement la participation thermique et en vapeur d’eau de la couche de 200 m au-dessus du sol: elle devrait être importante, du fait de la forte densité de l’air. 

§ Transportées par la masse d’air passant par 950 éoliennes: 3’939’000 tonnes d’eau/éolienne * 950 éoliennes => 3’750 * 10E6 , savoir 3.75 milliards de tonnes d’eau. 

§ Précipitation de toute cette eau sur toute la Suisse (41’285 Km2): 3’750’000’000 m3 / 41’285’000’000 m2 = 0.090… m => 90 mm (90 litres/m2) ce qui est très loin d’être négligeable.

§ Conclusion 

L’effet de provoquer une sécheresse décrit ci-dessus ne concerne que les éoliennes du projet suisse pour 2050: il est évident que les dizaines de milliers d’éoliennes étrangères qui se trouvent sur le parcours du vent menant à la Suisse vont également freiner le transport de notre eau (vapeur contenue dans l’air,  ce qui en reste après précipitations le long du parcours).

Comme le potentiel d’énergie éolienne calculé en son temps et adopté par Suisse-Eole est faux, il va de soi que la proportion de ce potentiel entamé par le projet est beaucoup plus grande que présentée à l’origine: une fraude scientifique dénoncée en juin 2016 et pas corrigée depuis.

  *   *   *

Documentation / contenu modifié (en vert) pour la compréhension:

§ Potentiel théorique éolien      Extrait

Publié le  par Courage dit-il

On trouve ci-dessous en liens les manuscrits publiés le 16 juin 2016 par deux physiciens, MM. Pierre Jacquot, Belmont et Franz-Karl Reinhart, Lausanne, Professeurs honoraires de l’EPFL, à propos de la valeur maximale du potentiel d’énergie éolienne de Suisse.

Annonce à la Presse:   2016.06-16 Potentiel Eolien-LettreAccompagnement_fr

Rapport scientifique et chronologie:  2016.06-16 Potentiel Eolien-Blog_fr

Rapport scientifique traduit: 2016.06-16 Windenergiepotential-Media_de

Les auteurs ont fourni copie de ces documents par courriel à Suisse-Eole et à Meteotest, en même temps qu’à la Presse.

§ Pas de neige à Noël: éoliennes coupables ?        Extrait

Publié le 24 décembre 2015 par Courage dit-il

Avec un air à 1.23 Kg/m³, ordre de grandeur de l’énergie produite  2.85 MW * 1’664 H => 4.74 GWH/an (maximum atteignable aux conditions standard niveau de la mer).

Masses en jeu. Le facteur de charge mesuré au Mont-Crosin est de l’ordre de 1’600 heures/an ±20%, ce qui donne un volume d’air traversant notre éolienne-type de 452 Km³ d’air/an ±20%; à 1.16 Kg/m³ce sont ainsi 525 millions de tonnes d’air, qui se voient prélever chaque année plus de la moitié de leur énergie par chaque éolienne géante.

Energie éolienne traversant la Suisse en une année – potentiel exploitable

C’est l’énergie cinétique traversant le grand diamètre, du modèle représentant la Suisse par un cylindre, quand le vent souffle à 10 m/s. Lame d’air de 200 m d’épaisseur et 229.272 km de largeur, surface traversée

S = 45.854 km2 = 45.854E6 m2; Flux Ecin = ½ x densité x S x v[W]

Donc pour 1 mde surface et pour 1 seconde, puissance, formule développée

Flux Ecin = 1/2 x 1.16 [kg/m3] x 1 [m] x 1000[m3/s3] = 580 W

Donc flux de puissance de l’écoulement du vent à travers S :

45.854E6 [m2] x 580 [W/m2] ≈ 26’595E6 W = 26.595 GW

énergie cinétique primaire éolienne disponible par an en Suisse

puissance x temps = 26.595 [GW] x 1600 [h/an]±20% ≈ 43 TWh/an±20%

Cette énergie représente, pour une année, en Suisse, un ordre de grandeur de l’énergie primaire, du vent accessible aux éoliennes.

§ L’engrenage périlleux de la rétribution à prix coûtant (RPC) des projets d’énergie verte   Extrait

Publié le 13 janvier 2013 par Courage dit-il

Lettre de lecteur

Dans la Stratégie énergétique 2050 (scénario Mesures politiques du Conseil fédéral), l’ambition est d’arriver à produire par les nouveaux agents énergétiques renouvelables (force hydraulique exclue), en 2035, 11,94 TWh (dont 4,44 TWh à partir du PV, 1,76 TWh à partir de l’éolien et 1,43 TWh par la géothermie, le reste, 4,31 TWh, par diverses bioénergies) et, en 2050, 24,22 TWh (dont 11,12 TWh à partir du PV, 4,26 TWh à partir de l’éolien et 4,39 TWh par la géothermie, le reste, 4,46 TWh, par diverses bioénergies). Avec les 840 millions par an disponibles, la RPC ne pourrait payer, en moyenne, que 7 ct par kWh produit en 2035 et 3,5 ct en 2050. Comparant ces deux derniers chiffres avec ceux donnés ci-dessus, on voit que l’escalade du financement de la RPC continuera. De plus, entre 2014 et 2035, la RPC à 1,4 ct aura déjà ainsi coûté 18,48 milliards aux consommateurs, de quoi se payer autre chose …     

Christophe de Reyff / Pensier (FR), le 13.1.2013

§ Documentation 2020: 

   Source belge, lien: Energie+ au chapitre: L’humidité absolue

Donc à 10°C, on aura donc comme humidité absolue au plus 7.5 g d’eau/kg d’air

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, le 5 mai 2021

 

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Résistance aux changements en sciences !

Dans l’échange de correspondance de votre éditeur avec des Autorités vaudoises et des éminents représentants de la Presse, rapporté ici  dans le fichier 2018 à 2021 CO2: pourquoi la vérité n’arrive pas à percer.pdf , puis plus récemment avec M. le Professeur Dominique Bourg, retraité de l’Université de Lausanne, rapporté ici dans le fichier 2021.04-21 resistance-aux-changements.pdf, on trouve les preuves du grand irréalisme de tout un groupe d’universitaires, dans deux domaines.

§ 1 Fondements scientifiques – la peine à suivre l’état du savoir – les résistances farouches aux changements résultent semble-t-il d’une faiblesse en sciences physiques; en effet, cette élite doit absolument s’appuyer sur des avis de soi-disants experts nombreux, au lieu de pouvoir juger par elle-même d’un fait, simplement en lisant un rapport de physique ou de mathématiques bien fait (relu et critiqué avant publication par des collègues de l’auteur). Il y a aussi des données qui devraient sauter aux yeux, par exemple:

– La disproportion entre l’immensité du Globe qui nous porte et la microscopique action possible de l’humanité sur cette Nature devrait mettre la puce à l’oreille de tous les chercheurs et de tous les journalistes scientifiques: la soi-disant « urgence climatique » est en fait une poussée d’orgueil mal placé, une déconnexion de la réalité; cette dérive résulte d’une fraude grossière: l’invention en 1995, de l’effet de serre du CO2, de la responsabilité humaine alléguée dans le réchauffement climatique; or cette invention ne résiste pas au premier calcul en physique …

– Dans les messages du 19 et du 20.4.2021, le Pr. Bourg provoque l’étonnement, tant il est mal renseigné (votre éditeur n’est pas une dame, pas plus qu’il n’a jamais été Professeur); le Pr. Bourg dit fonder son savoir sur les données des gaz à effet de serre (GES) des années 1960 et du 19ème siècle, « … modèles qui n’ont pas été démentis par l’évolution des phénomènes … » modèles carrément faux à l’échelle du Globe. 

– En ce qui concerne la transition énergétique, sujet maintenant lié à l’affaire du CO2, la négligence des effets secondaires des mesures prises et les grossières erreurs de raisonnements et de leurs calculs mènent déjà maintenant à de cuisants échecs; par la suite, ces lacunes vont mener en électricité à des black-outs en Suisse, pannes de réseau très pénibles à vivre et ruineuses.

§ 2 Se défaire de la croyance à la valeur scientifique des publications par revues industrielles à comités de lecture.

– Contrairement à ce que plusieurs interlocuteurs ont dit, le système de publications scientifiques est inutilisable par les retraités; or les blogs ont pris le relais et il faudra bien l’admettre: il suffit de les LIRE, en examinant la liste des pairs ayant relu. Le refus de lire un blog réputé scientifique trahit l’incapacité à comprendre et à juger de son contenu scientifique. Ce refus d’obstacle a pour effet de faire gober des années durant des énormités … 

– Même le Pr. Bourg publie sur internet ! Le simple fait de publier de cette manière moderne amène des réactions rapides, si les lecteurs ne sont pas contents. Comme les lecteurs ne disent rien d’habitude, les statistiques d’accès au blog permettent de savoir qu’il est lu, dans quel pays et dans quel domaine … Par rapport aux revues prenant la poussière sur les rayons d’une bibliothèque, pour l’auteur comme pour l’éditeur, quelques centaines d’accès par jour du blog, c’est le rêve !

– Sans compter qu’entre la préparation d’un rapport et son édition, avec le courrier électronique, il s’écoule le temps de le faire relire, souvent seulement quelques heures: un rêve, vous dis-je ! Pourquoi aller s’encombrer d’un vorace industriel de l’édition ? Pour avoir à tout prix voulu conserver ce système séculaire, à propos de CO2, à propos d’énergie et maintenant à propos de COVID-19, nous sommes victimes d’une magistrale pataugée, du maintien d’informations dépassées ou frauduleuses, dont la responsabilité peut être attribuée à une poignée de décideurs de médias ou de Presse frileux.

§ Conclusions. Dans le cas de l’affaire du CO2 et de son pseudo-effet de serre, on voit que la résistance aux changements en sciences a des conséquences concrètes effarantes, ravageuses: des préparatifs irréalistes, des dépenses pharaoniques à l’horizon, sous forme de Loi sur le CO2, de prescriptions, d’interdictions et de taxes monumentales, des éruptions de « déclarations d’urgence » par les Autorités de Communes et de Cantons, le tout sans fondements physiques réels. C’est la maladie à virus du climato-irréalisme: une pandémie au moins aussi difficile à combattre que la COVID-19 – la Vérité mise à mal journellement. 

Bibliographie 

§ A propos de transition énergétique problématique, voir: Du photovoltaïque sur le toit

§ CO2 – Démarches officielles; communiqués   …qui montrent que seules les Chambres fédérales pourront invalider la Loi sur le CO2, qui repose sur des données scientifiques frauduleuses; ni le Conseil fédéral, ni le Tribunal fédéral ne le pourront: c’est une situation invraisemblable, où un expert pris à témoin (par exemple pour des manifestants s’étant battus avec la police) pourra fournir n’importe quelle justification dite climatique, très loin des données de la Nature (donc un faux rapport), sans être inquiété pour violation de l’art.307 CP … Il en va de même avec la Presse et les médias, qui tous les jours défient l’art.28 CP en toute impunité, au lieu de faire un travail d’information équilibré: ils pratiquent sans état d’âme une censure constante des données réelles de la Nature.

§ CO2, CH4,… Méthode scientifique en échec / Liste de climatologues avertis le 22 janvier 2020   … suite à un article publié par eux sur internet (!) et qui, pas plus que le Pr. Bourg, n’ont contesté cet avertissement !

§ Plus généralement (attention de bien regarder la date: votre serviteur s’est aussi laissé longuement tromper, avant 2017 !)    Données du blog sur l’affaire du CO2

       André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 21.4.2021, rév. 23.4.2021 

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COVID-19 il faut se soigner – en français

Contre cette maladie à virus SARS-COV-2, il est possible de faire:

– de la prévention, par lavage des mains (alcool concentré), par port du masque et par spray nasal

– en soupçonnant un début d’infection, spray nasal et gargarisme tout de suite, minimum matin et midi

Principe actif du spray nasal: Baby Shampoo dilué (1%) par de la solution physiologique (9 g/l de sel); ce principe est actif contre tous les variants de la COVID-19.

 

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

La 4ème référence montre une tentative de sabotage par une industrie pharmaceutique …

// Note documentaire du 21.4.2021

En utilisant les découvertes du Pr. Craig Meyers, de l’Université Penn State (Philadelphie, USA), on voit que rinçages, sprays nasals et gargarismes sont utilisables pour détruire tous les virus de la COVID-19, à l’aide de l’adjuvant liquide utilisé par ses collègues chirurgiens du nez (ORL); il a simplement vérifié que l’adjuvant était aussi virucide des SARS-COV-2; cet adjuvant n’a donc aucun besoin de passer par des tests, comme un médicament, pour entrer immédiatement en service: il est utilisé chez les patients, après opération en ORL à Penn State, déjà depuis plus de 10 ans à la maison. 

// Fin de note documentaire du 21.4.2021

André Bovay-Rohr, Colombier-sur_Morges, le 5.4.2021, Rév. 6.4.2021

 

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COVID-19 muss man sich pflegen – auf Deutsch

Gegen diese SARS-COV-2-Viruserkrankung kann man unternehmen:

– Vorbeugung durch Händewaschen (konzentrierter Alkohol), Tragen einer Maske und Nasenspray

– bei Verdacht auf Infektionsbeginn sofort Nasenspray und Gurgeln, mindestens morgens und mittags

Wirkstoff des Nasensprays: Baby Shampoo verdünnt (1%) mit physiologischer Lösung (9 g / l Salz); dieses Wirkstoff ist gegen alle Varianten von COVID-19 wirksam.

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

// Dokumentationsnotiz vom 21.4.2021

Anhand der Ergebnisse von Prof. Craig Meyers von der Penn State University (Philadelphia, USA) sehen wir, dass Spülungen, Nasensprays und Gurgeln verwendet werden können, um alle COVID-19-Viren mit dem flüssigen Adjuvans zu zerstören, das von seinen Kollegen vom Nasenchirurgen (HNO) verwendet wird; er verifizierte einfach, dass das Adjuvans auch für SARS-COV-2 viruzid war; dieses Adjuvans braucht daher nicht wie ein Medikament getestet zu werden, um sofort in Betrieb genommen zu werden: es wird bei Patienten nach einer HNO-Operation im Penn State bereits seit mehr als 10 Jahren zu Hause angewendet.

// Ende der Dokumentationnotiz vom 21.4.2021

André Bovay-Rohr, Colombier-sur-Morges, 5. April 2021

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COVID-19 we must take care of ourselves – in English

Against this SARS-COV-2 virus disease, it is possible to do:

– prevention, by washing hands (concentrated alcohol), by wearing a mask and by nasal spray

– by suspecting an onset of infection, apply nasal spray and gargle immediately, minimum morning and noon

Active substance of the nasal spray: Baby Shampoo diluted (1%) with physiological solution (9 g / l of salt); this substance is active against all variants of COVID-19 .

 

 

 

 

 

 

 

Scientific sources: Adjuvant kills-SARS.pdf; see Craig Meyers et al

// Documentary note dated 21.4.2021

Using the findings of Prof. Craig Meyers, Penn State University (Philadelphia, USA), we see that rinses, nasal sprays and gargles can be used to destroy all COVID-19 viruses, using the liquid adjuvant used by his nose surgeon colleagues (ENT); he simply verified that the adjuvant was also virucidal to SARS-COV-2; this adjuvant therefore does not need to go through tests, like a drug, to immediately enter service: it has been used in patients, after ENT surgery at Penn State, already for more than 10 years at home.

// End of documentary note of 21.4.2021

André Bovay-Rohr, Colombier-sur_Morges, on 5.4.2021

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