Le présent article fait suite à celui, paru dans le quotidien 24Heures le 1.2.2025, de lien:
Los Angeles / Les feux dévastateurs entièrement maîtrisés après 3 semaines
où j’ai démontré dans deux commentaires qu’il va être très intéressant de vérifier si les fermes d’éoliennes géantes des Etats-Unis n’en seraient pas RESPONSABLES (?!)
«1. Parmi les causes profondes des incendies en Californie depuis début janvier 2025, il y a le régime des précipitations, deux ans d’abondance, suivis de 8 mois de sécheresse sévère. Un scénario de fabrication de végétaux très combustibles, rarissime depuis des siècles. // Il sera intéressant d’avoir une analyse des répercussions:
§ sur le régime des vents 🌬 💨,
§ donc sur le régime des précipitations,
des fermes d’éOLIENNES GéANTES en service aux Etats-Unis; on sait que celles en service actuellement prélèvent plus de la moitié de l’énergie, chacune de plus de 500 km³ d’air par an (en général à très basse altitude). En Californie, IL Y EN A UNE MASSE …
Pour des raisons pratiques, elles sont situées aussi près que possible des consommateurs de leur électricité. En principe donc, leur influence sur le régime des vents 🌬 💨 doit être régionale plutôt que continentale (en tout cas pas globale), mais c’est à vérifier ! // Sachant que les dégâts sont de plus de 250 milliards $, cette étude en vaudra la peine ! »
«2. En citant l’article: «… le changement climatique provoqué par l’homme a préparé le terrain aux incendies …», il est sous-entendu qu’il s’agit du CLIMAT GLOBAL, selon toute vraisemblance. // Or le changement climatique global admis est de +1.3°C en moyenne générale, qu’on a attribué en climatologie à des effets de serre; or les calculs en physique quantique de l’effet du CO2 sur la basse atmosphère (qui est ici en cause) dans les 150 dernières années est au maximum de +0.12°C – c’est un effet thermique, sans effet de serre; les autres gaz (par exemple le méthane CH4) ont des effets négligeables. // L’affirmation »… provoqué par l’homme … » est donc vraisemblablement une grossière erreur. // Il en va tout autrement avec les influences régionales et locales: là l’homme y est pour quelques chose, par exemple en freinant systématiquement le déplacement de centaines de milliards de m3 d’air humide, chaque année, par chaque éolienne géante … »
André Bovay-Rohr, Colombier (VD) Suisse, le 3 février 2025